christian.styling a écrit :Mais une piste que tu connais comme habituellement très roulante, peut avoir été "travaillée" par des grosses précipitations, et tu te retrouves sans t'y attendre dans un piège sans retour en arrière possible. Là, t'as intérêt à avoir un véhicule en état de faire un peu de franchissement, certes très soft par rapport à un terrain de trial, mais quand même : les kg en trop en hauteur vont peser lourd dans les gros dévers...
+1, l'hiver peut faire de gros dégâts d'une année sur l'autre. Idem pour de violents orages. Dame nature peut nous donner de belles surprises, même sur une piste que l'on connait par cœur et qui d'ordinaire est très roulante.
pat 25 a écrit :Pour le moment l'Afrique se résume a ....................pas grand chose
Le Canada, c'est spécifique, c'est un peu comme l'Australien, en plus vert.
+1, et c'est pour cela que je disais tout dépend des voyages que l'on entreprend. C'est plus que certain que dans les Alpes, tu n'a pas vraiment besoin d'une grosse autonomie carburant. Tous les jours tu es dans un village en gros. Mais dans des contrées plus inhospitalières, ben t'as pas vraiment le choix, et si on me donne le choix de transporter des jerrycans sur le toit, ou bien mettre un réservoir auxiliaire en bas, mon choix est vite fait : réservoir additionnel. Ayant donc déjà trimballer 100L sur le toit, je peux t'assurer que tu as interet d'êtyre dou sur le volant dans les courbes, et sur la pédale de droite, et si tu as un devers à passer avec un tel chargement, ben tu serres les fesses. J'ai demandé à ma femme de descendre du G, et pourrtant le devers n'était pas si gros que ça, mais avec le ballant que je ressentais, j'avais franchement le trouillomètre à zéro. Faisait pas le malin le gars.
bob74 a écrit :En fait quand tu charge le véhicule tu te poses la question de ce que l'objet que tu vas mettre est nécessaire, indispensable ou superflus !! si j'en m'en passe avec quoi je pourrais le remplacer sur place ??
Si tu roules seul (ce qui n'est pas conseillé) il faut être autonome tant sur le dépannage mécanique que sur la vie au quotidien. Si la ballade se fait a plusieurs il faut vous concerter pour ne pas prendre tous la même chose
C'est sûr que ce n'est pas conseillé, mais cela fait des années que je sorts souvent seul et sur des trajets dépassant 2000 km dans la nature, au milieu de nulle part. C'est un choix. Donc ayant choisit cette option, ben tu calcules à 2 fois avant de franchir un obstacle, et puis donc, tu ne parts pas avec rien. Il faut pouvoir se dépanner. J'ai toujours avec moi ma caisse à outil complète, (c'est un gros tiroir de mon aménagement), cela a un poids certain. Après, pour les pièces, je ne m'emmerde pas avec ça, j'ai toujours une courroie de rechange par exemple, car ça ne pèse rien, et du matos pour faire une réparation de fortune, mais rien qui a du poids dans ce matos. Une seule roue de secours.........
Ensuite par exemple pour ce qui est du parechoc, c'est celui d'origine du G, et je ne suis pas certain qu'il soit plus léger qu'un parechoc fait maison avec support de treuil. Celui du G pèse un âne mort d'origine, par contre c'est du costaud.
Ensuite le confort que l'on désire va pas mal dicter nos choix. Personnellement jusqu'à maintenant je dors dans un abris base quechua. Par contre l'an prochain, je compte avoir une James Baroud. C'est sûr que là, le poids embarqué va changer, et je vais devoir changer mes suspensions.