Il est rare de voir dans la gamme des constructeurs une auto qui ne doive pas être développée pour jouer la gagne.Pat a écrit :je vais aller encore plus loin, on peut affirmer, sans risquer la conspuation, qu'aucune alpine de série, même jusqu'à la fin, n'a reçu de moteur 'noble' ou avec une once de modernisme comme l'avait ses rivales allemandes ou italienne
Celle qui ont fait l'histoire en bleu au tour de corse ou ailleurs avait des moteurs Mignotet par exemple...
Bref, heureusement que les autres qualités compensaient en partie ce qui étaient un gros problème, la différence étant compensée par les 'cojones' de ceux qui ont sû en faire quelquechose au volant et ont marqué l'histoire, enfin ceux qui ont survécu à cette époque
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Mignotet partait d'une base de R16TS/TX pour faire un moteur performant.
Si l'auto est bien née, le moteur est souvent à corriger, mais c'est un détail nécessaire.
Le moteur 1219 cm3 des Samba rallye qui ont amusé une génération était issu d'une 104GL6 (boujour l'oignon), développé par Peugeot pour en tirer 90ch. Le PTS vendait le 1235cm3 en kit pour 115ch.
Les sorciers Brozzi, Barbe... grimpaient à 1296cm3 et ça commençait à jouer la gagne.
J'ai une Visa 1000 pistes Mathiot, parti de 1360cm3 porté à 1440 qui développe 145ch... et c'était loin de jouer la gagne au Monté Carlo 85... Il manquait un autre sorcier et un vrai directeur de Citroen compétition.
L'interface entre le siège et le volant aide bcp... mais ne fait pas tout !