Ouh la la !!! Mauvais mari, changer de mari !

:

Je plaisaaannnnnte !!!
Bon là pour pouvoir se prononcer il nous faudrait un peu plus de précision.
La pente, elle était vraiment forte ? Tu as une idée du degré de pente ? Elle était courte ou longue (la descente

) ?
C'était plutôt "lisse" ou accidenté (avec des trous ou des ornières pas exemple) ?
Quand tu dis que tu ne pouvais plus tenir le volant, ça veut dire quoi ? La direction était dure ? Le volant donnait des acoups incontrôlables ?
Qu'entends tu par "le toy a fait ce qu'il a voulu" ?
Garder le pied sur l'embrayage, c'est juste le pied posé sur la pédale ou débrayé à fond (descente en roue libre) ?
Quand tu dis que l'arrière a levé, c'est sur un croisement de pont (une roue levée) parce que c'était plein de trous ou bien est-ce que tout l'arrière s'est soulevé ? S'il s'est soulevé, c'est un peu ou beaucoup (quelques cm ou plusieurs dizaines de cm) ?
Sinon la méthode dépend du degré de pente et de sa longueur. Sur une pente forte (mais pas verticale) et longue, la méthode est le pied gauche sur le plancher (par sur l'embrayage

) et le pied droit qui joue subtilement de la pédale de frein pour contrôler la descente mais sans bloquer les roues. Ce même pied droit doit se tenir prêt à se précipiter sur la pédale d'accélérateur si l'arrière se barre en sucette. En réaccélérant un peu, on remets le véhicule sur le droit chemin et on éviter à l'arrière de vouloir passer devant (evidement on accélère pas comme un malade, là aussi, on contrôle

). Comme le précise N@p, il peut être avantageux de descendre en seconde si la première tire vraiment trèsq court.
Pour les descente aussi abruptes que verticales (genre trial), c'est quasiment débrayé et contrôle de la descente au frein cm par cm. Là aussi, il faut se tenir prêt à un éventuel retournement de situation et pouvoir embrayer et réaccélérer si l'arrière veut passer par dessus.