Suite des aventures.
J'ai donc peaufiné mes croquis...

:
Quelle jolie coupe... Merci Autocad.
Et j'ai trouvé ma tôle
coupée aux dimensions que je voulais (ça évite de se retrouver avec une feuille de 1,00 x 2,00 dont on n'a que faire

) chez... Weber métaux à Ivry-sur-Seine.
Donc je suis parti sur la base d'une tôle d'acier de 1,5 mm d'épaisseur.

Ici on voit le gabarit du tronc de cône développé (merci machin-cad

) posé sur la tôle.

Le tronc de cône tracé.

C'est pas massacre à la tronçonneuse, c'est attaque à la scie sauteuse. Avec la lame qui va bien c'est un plaisir.

C'est facile comme tout de suivre le tracé de la courbe extérieure.

Découpe de l'intérieur de la courbe. Moins facile que l'extérieur, la lame à tendance à vouloir aller vers l'extérieur et c'est pas évident de ne pas mordre le tracé. Faut prendre un peu de marge quitte à rectifier à la lime après.

Mon tronc de cône après deux-trois coups de lime pour rectifier mes débordements.

Un petit rebord (soyage) qui va me permettre de refermer mon tronc de cône comme il faut et de le souder facilement.

Début du "formage". Contre toute attente, c'est facile comme tout et j'arrive à travailler mon bout de ferraille à peu près comme je veux.

On y est presque.

Et voila ! C'est tout bon !
Trop fort, je devais avoir 100 et 126 mm de diamètres intérieurs et je les ai à 0,5 mm près !

: J'en suis encore sur le cul.
Etape suivante : présentation de la pièce à sa future place pour voir si tout colle bien puis découpe du disque pour fermer la partie inférieure du tronc de cône (diamètre prévu : 100,7 mm

). Après ce sera finition de la pièce (soudure sur la pièce du disque inférieur et de l'écrou de 12 et fermeture du cône) puis soudure sur le châssis.
