re: 1 semaine de Raid au Maroc en xc70. 2 adultes, 2 enfants. Aout 2016.
Posté : mar. août 16, 2016 7:08 pm





Portail communautaire francophone consacré à la pratique du 4x4 : Informations pratiques, annonces, clubs, voyages, trial, préparation et forum de discussions.
https://www.forum4x4.org/
Salut, il y avant de la tempête sur le détroit ??? 6 heures c'est fou !Nico 34 a écrit : 6 heures et demi pour la traversée des 15 kilomètres du détroit de Gibraltar.
Certaines pistes et petites routes coupées dans le RIF. (Prévention terrorisme)
Décision de descendre par l'Atlantique.
Premières pistes Marocaine.
En décembre 2003, un rapport de l’Office contre la drogue et le crime (ODC) des Nations unies [1][1] Nations unies, Office contre la drogue et le crime... a apporté une confirmation scientifique à ce que tous les experts estimaient depuis longtemps : avec 135 000 hectares de culture de cannabis produisant chaque année plus de 3 000 tonnes de haschisch, le Maroc est de très loin le premier producteur/exportateur mondial de cette substance [2][2] Selon Interpol, en 1999, la somme des saisies au Maroc.... Non seulement 90% du haschisch consommé en Espagne et en France provient de la région du Rif, mais les trafiquants utilisent leurs réseaux pour acheminer en Europe des drogues dures comme la cocaïne et y blanchir leurs profits. Ces derniers représentent la plus importante source de devises dans l’économie marocaine et sont à l’origine de réseaux de corruption et de clientélisme allant du choix, par la population, de trafiquants comme autorités villageoises dans le Rif jusqu’aux plus hauts niveaux des autorités de l’État, du moins sous le règne de Hassan II. Si ce dernier avait laissé aux trafiquants et à leurs appuis dans l’administration et au sein des élus une marge de manœuvre importante dans la région du Nord, c’était pour préserver la loyauté d’une région réputée hostile au pouvoir central – loyauté d’autant plus nécessaire qu’à partir du début des années 1990 le pouvoir mettait progressivement en place une ouverture démocratique risquant de rendre difficilement contrôlable les nouveaux partis politiques. Simultanément, la tolérance dont bénéficient les cultures illicites de la part du gouvernement permet aux populations paysannes berbères marginalisées économiquement et socialement discriminées de survivre dans un environnement dégradé.
2
La place prise par le haschisch marocain sur les marchés de consommation espagnol et français doit beaucoup aux réseaux de corruption, actifs ou passifs, qui facilitent son importation dans ces deux pays. Si, en Espagne, la corruption induite par le trafic de transit touche essentiellement les membres des forces de répression, en France, en revanche, les ministres de l’Intérieur successifs affirment que la consommation du cannabis constitue un « fléau » conduisant à l’usage des drogues dures [3][3] Cette théorie de l’escalade n’est pas partagée par..., mais s’arrangent pour que la responsabilité du Maroc dans sa production et son exportation soit occultée. Cette politique, bien entendu, est dictée par des intérêts économiques et géopolitiques « supérieurs ». Par conséquent, on peut se demander si la décision de Mohammed VI d’autoriser la première évaluation des superficies de culture et de s’en prendre, depuis l’été 2003, à d’importants trafiquants et à leurs complices dans l’appareil d’État est le signe d’un changement politique dans ce domaine ou bien seulement un rideau de fumée, comme ce fut à deux reprises au moins le cas sous le règne d’Hassan II.
Rappelle moi le montant de son héritage et comment la fortune de son fils s'accroit de + en + au pays des berbères STPAmazighland a écrit :Tu le crois toujours vivant, Hassan II ???![]()
L’hebdomadaire français Point de vue, une revue de grande diffusion de la presse du cœur francophone, spécialisée dans la vie des têtes couronnées, a publié cette semaine un dossier sur la fortune des « royals ». « Fortune des rois : secrets, fantasmes et réalités », tel est l’intitulé du dossier que cette publication a consacré aux nobles fortunés.
Contrairement à ces malveillantes et roturières publications qui défendent les principes républicains, Point de vue ne l’est point. Elle est plutôt royaliste puisqu’elle s’intéresse de très près aux querelles dynastiques qui oppose la maison d’Orléans aux Bourbons pour savoir qui des deux chefs de ces deux rames devrait occuper le trône de France l’improbable jour où la monarchie serait rétablie dans l’Hexagone. C’est-à-dire quand les poules auront des dents.
Pour ne pas faire dans l’amateurisme, Point de vue est donc allée recueillir les lumières de Pascal Dayez-Burgeon, un agrégé d’histoire spécialiste en sang bleu et qui vient de publier un livre sur « La fortune des rois ».
Comme on s’y attendait, ce qui ressort de cette interview et de l’enquête menée par le magazine, la monarchie marocaine n’est pas très raisonnable en ces temps de vaches maigres et de crise économique endémique.
Sur une liste de 15 monarques, Mohamed VI est classé 7e, avec une fortune personnelle estimée à 2,5 milliards de dollars. Or, de toutes les monarchies présentes sur la liste, seul le Swaziland peut-être considéré comme moins favorisé économiquement que le Maroc. Le reste de la liste est constitué de pétromonarchies ou de riches Etats occidentaux.
Si le souverain le plus riche de la planète est celui de la Thaïlande, Bhumibol Adulyadej, le roi du Maroc, Mohamed VI, est plus riche que l’émir du Qatar, ce qui est tout de même paradoxal. L’émir du Qatar est assis sur des barils de pétrole alors que son homologue marocain est installé sur des mares de pauvreté et de chômage.
L’expert français explique que beaucoup de monarchies arabes, dont la marocaine, « perçoivent des allocations publiques pour mener leur mission de souveraineté à bien : liste civile, dotations annexes, palais de fonction. Mais pour vivre lorsqu’ils ne sont pas en représentation, les princes détiennent également des biens privés. Ces deux sources de revenus sont en principe distinctes, mais s’avèrent souvent poreuses, c’est-à-dire que les fonds publics servent à financer la vie privée, voire permettent aux princes d’accroître leur fortune personnelle ». « C’est cet amalgame qui passe de moins en moins bien auprès de l’opinion, au Maroc notamment », précise Dayez-Burgeon.
Point de vue rappelle qu’avec l’astronomique somme de 254 520 000 euros touchée chaque année, la monarchie marocaine est celle qui reçoit le plus d’argent public. C’est trop de « générosité », signale sarcastiquement l’hebdomadaire.
Par exemple, la monarchie hollandaise touche de l’Etat la somme de 39 millions d’euros par an, la belge 31 millions, la norvégienne 22,6 millions, la suédoise 13 665 000 euros et la pauvre luxembourgeoise 8,8 millions. Une vraie misère comparée à ce que touche Mohamed VI.
Avec ces chiffres, on a la fâcheuse impression que la monarchie marocaine se sert plus qu’elle ne sert.
Car 254 millions d’euros par an, ce n’est plus une rente, c’est un hold-up permanent si on prend en compte le fait que tous les collègues européens de Mohamed VI dirigent des Etats riches et développés.
Mohamed VI possède un yacht, El Boughaz I, de 70 mètres. Au Maroc, il a la jouissance d’une trentaine de palais et de résidences dont les lourds frais de fonctionnement sont assumés par l’Etat en ces temps de misère. Et en France, outre le célèbre château de Betz, dans l’Oise, le souverain possède l’hôtel de Broglie, rue de Varennes, l’une des plus belles et des plus grandes résidences de Paris.
Et la famille n’est pas loin. « Lalla Latifa, la mère de Mohammed VI se repose dans un hôtel particulier à Neuilly, boulevard Maurice Barrès », commente Point de vue qui affirme que les sœurs du roi habitent, avenue Foch, à Paris, mais pas très loin de leur mère.
Un vrai contre de fée, certes, sauf que le Maroc n’a plus vocation à continuer d’entretenir autant de besoins colossaux et gargantuesques.
Et puis enfin, si effectivement le souverain a cédé une partie de ses prérogatives à son chef de gouvernement, la logique ne voudrait pas qu’il lui cède également une partie de l’argent perçu ?
Une chose est sûre, avec ce dossier sur les fortunes arabes, au beau milieu des révolutions arabes, c’est pas demain la veille que le directeur de Point de vue sera invité à notre fête du trône.
Badr Soundouss
Tu es un très gros jaloux incurable !!! Je te file une pièçette ?110-HCPU-CR a écrit :Rappelle moi le montant de son héritage et comment la fortune de son fils s'accroit de + en + au pays des berbères STP![]()
Amazighland a écrit :Tu le crois toujours vivant, Hassan II ???![]()