Vos couteaux : mettez vos photos...

[famak]

C'est ce que je pense, mais je sais aussi que mon couteau principal est littéralement noyé lorsqu'il pleut et que je suis en brêle. Je ne porte pas de tenue de pluie.

A ce jour, entretenu avec un peu d'huile, il vie bien.

[jcnappee]

quel intérêt de passer la lame d'un couteau aux ultrasons ?

[rover17]

Selon le Glaude , ça fait chanter la lame

[famak]

D'avantage le manche, a certains endroits inaccessibles.

[christian.styling]

Quelques gouttes d'huile d'olive
( vierge extra première pression à froid (⁠•⁠‿⁠•⁠) ).

Sur un chiffon doux
et on frotte la lame, le manche.

Puis on essuie. Ça suffit comme entretien.
On plie le chiffon pour nettoyer l'intérieur.

Surtout : aucun trempage !

Pour neutraliser les traces d'usage ( petites rayures de surface ) il suffit de frotter sur un chiffon, qu'on peut ''tendre'' sur une planchette et qu'on peut préalablement frotter avec de la pâte à polir fine. C'est valable autant pour le manche que pour le ressort et la lame.

Pas besoin de matériel coûteux.

[christian.styling]

Depuis la pierre taillée, puis la pierre polie et en passant par le bronze, le fer puis l'acier, le couteau est sans doute l'outil qui a plus aidé l'homme à survivre chaque jour. Le couteau et de quoi allumer le feu.

[christian.styling]

D'où l'expression :

<< mon Bic et mon couteau >>.

(⁠•⁠‿⁠•⁠)

[terranobis]

Depuis la pierre taillée, puis la pierre polie et en passant par le bronze, le fer puis l'acier, le couteau est sans doute l'outil qui a plus aidé l'homme à survivre chaque jour. Le couteau et de quoi allumer le feu.

Celui de Rahan était en ivoire

[rover17]

Le fils de Crâo l'avait pas les moyens de se payer un Laguiole

[christian.styling]

C'est vrai que ça coûte cher un Laguiole.

Un Laguiole ( platines, plaquettes, ressort... ) c'est compliqué à faire : les couteliers ont une centaine d'opérations diverses à faire dessus et ça a un coût.

Le couteau de poche pliant existait déjà au temps des romains ; mais c'était pas à la portée de tout le monde de s'en payer.. Avant la révolution les gens du peuple avaient une vie de subsistance qui était sans aucun superflu de ce genre.

Après la révolution française un ''pouvoir d'achat'' un peu plus important leur a permis d'acheter un couteau pliant.
Le Laguiole, par exemple, date de 1829.
Il y avait des couteaux pliants plus simples et moins chers : un mache en bois ou en corne dans lequel se repliait la lame qui pivotait sur un clou.

Au XV° siècles, pour ce qu'on sait, il y avait déjà de très nombreux couteliers installés un peu partout en France. Mais ils faisaient des couteaux chers pour ''ceux qui avaient les moyens''.
Avant, au moyen-âge, on sait pas trop....

La paysannerie de l'époque, utilisait un couteau à longueur de journée mais était encore bien trop pauvre pour 'acheter', et donc, elle se débrouillait avec un bout de fer aiguisé planté dans un manche en bois. Un bon outil rigide qui était porté grâce à un fourreau rudimentaire en bois ou en cuir dans la ceinture de flanelle.

Au XVIII° siècle, encore, la coutellerie française produisait toujours essentiellement, des couteaux de luxe pour les ''riches''.

Mais...
Dès le début du XIX° siècle, suite à la révolution, le pouvoir d'achat des simples paysans était devenu un peu plus notable et certains citoyens possédaient désormais leur couteau de poche pliant.

Couteau pour couper les légumes, sectionner des cordages, raccourcir une rène en cuir, tailler un bout de bois.

Selon les régions, les colporteurs et autres vendeurs de couteaux sur les marchés tentaient de répondre au mieux aux désidératas de leur clientèle et ils demandaient à leur coutelier fournisseur de bien vouloir respecter les tailles et les formes demandées et c'était l'origine des '' couteaux régionaux ''.

Chaque type régional de couteau avait ses propres caractéristiques.

Les formes de lames, les manches étaient très divers.
( Ensuite, la coutellerie de Thiers - semi industrielle - reprendra à son compte et surtout pour moins cher, la fabrication des ''régionaux'' qu'elle enverra à des revendeurs ).

L’usage voulait que chacun ait son propre couteau en poche.

Les couteaux fermants remplaçaient les couteaux rigides.