Gurgy
Réveil sous la pluie. Ce n’est pas trop fort ni constant. Nous maintenons notre virée à vélo. Monique se couvre. Finalement, le chapeau de pluie servira à protéger le téléphone. Le saule pleureur est comme la pluie : jusque dans l’eau. Pour la cycliste, ça va, la pluie n’est pas trop forte. Par contre, un endroit gravillonné, un coup de frein, et c’est la chute. Rien de grave. Après le repas dans un restaurant italien, Paul continue. Lui a davantage de pluie, surtout sur les derniers kilomètres du trajet. Nous terminons la journée à l’abri et au chaud dans Ulysse.
Départ avec mon ciré acheté en Norvège Un saule pleureur, c’est très beau. Par contre, nous ne pleurons pas dans nos cœurs. Résultat de ma chute. Ce n’est pas encore nettoyé. Un bon repas dans un restaurant italien, avec des pâtes maison Paul arrive sous une pluie battante Notre bivouac vers une écluse, le calme complet Demain, nous continuons.

