Ce causse de Sauveterre est bien agréable, moins sauvage que le Causse Méjean, plus campagnard et un peu plus habité mais bon, on n’aura rencontré quasiment personne ! Les pistes sont roulantes dans l’ensemble. Juste quelques rares tronçons étroits où même avec une Panda, il faut se frayer un chemin et ne pas se soucier de la peinture. Mais il s’agit de quelques centaines de mètres sans plus.
Au nord de Ste-Enimie, le parcours nous fait parcourir quelques pistes paisibles et visiter le dolmen de Dignas. Le causse est verdoyant à cette époque de l’année.







Au bord des chemins, on rencontre les cazelles, ces abris construits en pierre par les bergers pour se protéger.

Le photogénique menhir du Bac et, à son pied, des plantes endémiques des Causses.






En vue, le petit village de Champerboux.

Un dolmen peu visible sur les étendues de la Plone avec ses orchidées dont le cœur a une forme étonnante !



Ce grand puits est très particulier. Sur le causse Méjean qu’on connaît très bien, on n’en a jamais rencontré de semblable.



Les 2 menhirs de Roumaldis sont très dissemblables !


A l’Aire des Trois-Seigneurs, une curieuse allée coudée très bien conservée mais dont les (probables) pierres de couverture ont disparu.


Le dolmen de la Cham, un nom qu’on retrouve dans le massif du Mont Lozère.


Un enclos traditionnel en pierre sèche. Le mur d’enceinte est très épais.


Le dolmen de la Rouvière.


Une belle lavogne typique du causse. Bien en eau, elle attire un grand nombre d’insectes.


Au lieu-dit Les Combes, le mélange rouge/bleu, coquelicots/bleuets, est saisissant.


