

Et c'est bien dommage

Modérateurs : christian.styling, cedricfred
Pour le chomage.mimouss a écrit :Pour le chômage ca m'interroge graaave.
Autour de moi toutes les boites cherchent a embaucher mais aucun candidat.
Chez nous un simple poste de technicien met entre 6 mois et 1 an a être pourvu et c'est souvent une purge technique...![]()
L'artisanat (1er employeur de france...) N'arrive pas plus a embaucher.
L'automatisation remplace les humains sur les chaines de production soit. Mais il reste combien d'usines en france????
Du coup puisque les robots c'est moins chiant qu'un travailleur, n'y a t'il aucune chance que certaines boite refabriquent en France? Créant, du coup, de l'emploi en France ( secrétaire, maintenance, transports routier, etc...)
Le chômage c'est une fumisterie qui aide a baisser les salaires. En gros c'est une subvention d'état servant les multinationales...
bytoun a écrit :Les jeunes veulent plus rien foutre me disait un grand oncle à propos des poste de tonneliers à pourvoir dans son groupe (en très, très bonne santé), notamment son entreprise mère. Ben oui mon vieux, c'est plus toi aux manettes
Effectivement, y a 30 ans un gars rentrait chez lui et doublait son salaire en 2 ans. Maintenant, ils sont payés au lance pierre, et ils trouvent personne, ou des branquignols. Lui connaissait chaque ouvrier, et commençait sa journée à l'heure de la chauffe pour saluer tous les gars de l'atelier. Le gars qui voulait un poste, même maintenance ou autre, il se tapait 2 ans à faire des tonneaux avant de faire autre chose. Sytème paternaliste, coups de gueule quand il fallait et aide à certains qui étaient dans la merde. Les gars se battaient pour produire plus et mieux, pour eux et un mec qui savait de quoi il parlait.
Son fils (qui ne sait même pas faire un tonneau) a fait de grandes écoles de gestion aux Etats Unis, repris le groupe, achète, grossi, grossi, le groupe prospère... mais est de moins en moins productif sur ses différents sites de production. Les gars n'en ont plus rien à foutre et je les comprends.
Non c'est pas ça !christian.styling a écrit :les entrepreneurs proposent du boulot tandis que les jeunes cherchent des salaires
ça tombe mal !
Rythmes plus souples, hiérarchie pyramidale dynamitée, dématérialisation des postes… Les premiers Z nés en 1995 arrivent en stage et changent déjà les règles du jeu dans l’entreprise.
Comment se préparer à les accueillir pour réussir à les intégrer ?
“Il vaut mieux leur donner des objectifs et les laisser travailler par eux-mêmes”
Règle numéro un : ne cherchez pas à les canaliser.
Les jeunes issus de la génération Z ne supportent pas d’être marqués à la culotte par leur supérieur. Supérieur ? Un mot qui suscite l’hostilité chez eux : “Ils détestent la hiérarchie et les ordres : ce sont des free-lance nés“, assure Eric Delcroix, conseil en entreprise, qui tient une revue de presse mondiale sur la génération Z, consultable sur son site. “Il vaut mieux leur donner des objectifs et les laisser travailler par eux-mêmes : vous verrez, ça marche !”
Alexandra Gaudin, DRH de l’agence de communication Australie, qui a signé quatre contrats professionnels de Z, confirme : “Ils sont dans l’attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi. Il faut les challenger en permanence pour ne pas les ennuyer !”
Campagne d’affichage à gérer en un mois, opération de communication sur les réseaux sociaux à piloter pendant deux semaines… Ces responsabilités supplémentaires, perçues par les autres générations comme une surcharge de travail, sont très prisées par les Z, qui ont besoin de percevoir le cap de l’entreprise à court-terme. “Ils sont dans l’attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi”
Certaines entreprises comme Google vont plus loin, en aménageant l’emploi du temps de leurs salariés. Nicolas Sadirac, directeur général de l’école 42, témoigne : “Un à deux jours par semaine, ils peuvent profiter des infrastructures et bénéficier du carnet d’adresses de Google, pour réaliser leur projet personnel.” En clair, les sociétés qui développeront un incubateur en interne doperont massivement leur attractivité. Un bon moyen pour fidéliser dans l’entreprise cette génération sans attache, prompte à quitter le navire aux premiers ronrons.
Adapter complètement les rythmes de travail aux Z est l’autre difficile défi à relever pour les managers. Au travail, mais aussi chez eux, ils bousculent les heures de bureau en se connectant via leur tablette ou leur smartphone : “Ils sont beaucoup plus flexibles que leurs aînés, qui ont pris l’habitude de différencier la vie professionnelle de la sphère privée“, constate Eric Delcroix. “Aux USA, les restos U sont désormais ouverts 24 heures sur 24 pour les accueillir !”
Son conseil : développer un réseau social qui leur permet d’interagir entre eux et avec la direction quand ils le veulent en quelques clics. Le blogueur poursuit : “Nés avec le web 2.0, ils sont habitués à une grande réactivité et ne connaissent pas le formalisme des rapports hiérarchiques : s’adresser directement au patron de la société ne leur pose aucun problème.” Les cadres sup’ orgueilleux vont en prendre pour leur grade…
Mais pourquoi un tel besoin ? Les Z veulent du feed back. Finis les points mensuels ou hebdomadaires. La nouvelle génération a constamment besoin d’être rassurée, encouragée, sans être asphyxiée. “Les retours peuvent durer de quelques minutes à une demi-heure : ils sont très sensibles aux prises de contact informelles dans la journée“, explique Grégoire Buffet, fondateur du cabinet de recrutement H3O. L’attention qu’on leur porte permet de les aiguiller et doper leur motivation. Et pas besoin de prendre des pincettes si le retour est négatif. “Ils peuvent tout entendre et ne se braquent pas“, témoigne Alexandra Gaudin. Les réseaux sociaux les ont habitués aux critiques parfois virulentes.
Nicolas Sadirac abonde : “Ils ont un rapport décomplexé à l’erreur ! Pour eux, c’est normal de se tromper : ils ne diabolisent pas l’échec comme les autres générations.” La plus grosse erreur pour un manager serait d’essayer de maquiller son incompétence en donnant une réponse erronée à une question posée.
Fabienne Arata, directrice générale d’Experis IT, filiale de Manpower, a accueilli six stagiaires de l’école 42 : “Il ne faut pas avoir peur de dire je ne sais pas, plutôt que d’être pris en flagrant délit d’incompétence : ils vérifient tout sur le web et ne supportent pas l’imposture.” Confiance et transparence sont les maîtres mots pour obtenir leur estime.
La transparence, un principe qui s’applique aussi pour la culture d’entreprise : les sociétés doivent maintenant dévoiler les coulisses de leurs bureaux pour espérer attirer les Z.
L’agence de communication Australie l’a bien compris et s’est offert une vitrine sur le site Welcome to the jungle, une plateforme de recrutement qui développe la marque employeur. Interviews d’employés et photos des locaux leur permettent d’évaluer l’ambiance au boulot. “Les candidats de la génération Z font très attention à l’e-reputation d’une entreprise et collectent toutes les infos possibles sur internet pour évaluer les conditions de travail sur place“, expose Alexandra Gaudin.
Aujourd’hui, offrir un bon salaire ne suffit plus pour être attractif : il faut également proposer un cadre de vie séduisant. “Ça peut sembler futile, mais de nombreux candidats sont attirés par notre grande terrasse et ses transats“, ajoute Alexandra Gaudin. Et pour briser la routine au travail, les créateurs de l’agence Australie ont trouvé un truc : déménager régulièrement les services d’un étage à un autre, répartis sur sept niveaux. Un tour de passe-passe qui bouscule les points de repère des salariés et réintroduit de la nouveauté dans un espace souvent trop cloisonné. Les sociétés doivent dévoiler les coulisses de leurs bureaux pour espérer attirer les Z.
Dernier prérequis pour accueillir les Z : se mettre au diapason technologique. “J’ai dû convaincre mon directeur des systèmes d’informations d’offrir à mes stagiaires un accès privilégié au réseau, pour accroître leur autonomie“, raconte Fabienne Arata, d’Experis IT. “Et leurs ordinateurs m’ont coûté trois fois plus cher que les autres…” : quand ils arrivent en entreprise, les Z s’attendent à trouver le même matériel qu’à la maison. Tout retard technologique leur paraît invraisemblable.
“Mais ça valait le coup : ils ont excellé dans leur projet et remotivé tout mon service, avec leur capacité virale à s’emparer de n’importe quel défi.” Résultat, Fabienne Arata compte tous les embaucher au moins à temps partiel avant la fin de leur école… à moins qu’ils ne trouvent une meilleure offre. Fidéliser les zappeurs de la génération Z sera certainement le casse-tête le plus difficile à résoudre pour les DRH de demain.
elle montre quoi la photo ?mimouss a écrit :Preuve que tout le monde s'en cogne...
Prise il y a 10minutes dans un rond-point...![]()
Pour le coup, je peux arriver a comprendre qu'a un moment de la vie, plutot que la carriere, on ai d'autres aspirations, par contre, d'un autre coté, comme on est pas capable de donner de soi pour l'entreprise, faut pas lui demander de payer un max, ni d'etre sympa.110-HCPU-CR a écrit :Non c'est pas ça !
Les jeunes de la génération Y travaillaient ponctuellement pour financer leurs loisirs
Les nouveaux jeunes de la génération Z cherchent un revenu avec la supervision d'un truc internet qui marche tout seul sans vraiment en branler une...
Les DRH s'arrachent les cheveux et suivent le guide :
et :platplat a écrit :
C'est encore une fois l'histoire du beurre et de l'argent du beurre.
La bouche d'égout qui a malencontreusement fini sous la bordure du rond-point...platplat a écrit :elle montre quoi la photo ?
Ah, oui, j'avais vu....mimouss a écrit :La bouche d'égout qui a malencontreusement fini sous la bordure du rond-point...
A un moment donné il y en a un qui est passé en mode rien a battre...
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