y a-t-il un bruit, un signe qui prévient que le câble est en surcharge ???Knut a écrit :Modeste contribution d'un ancien mataf.
Un cable en charge est appelé à rompre.
A cette occasion, il fouette.
Si vous êtes dans sa trajectoire, vous pouvez être décapité, ou cul de jatte, voire tronconné en 2.
Aucune expérience malheureuse dans le domaine, les mises en garde des Sakos m'ont suffit.
Depuis, je préfère toujours les cordages, bien moins dangeureux, et ne reste jamais dans la trajectoire de rupture.
Au pemier signe d'usure, j'ampute le cordage.
J'utilise ien du cable métalique pour le TIRFORT, mais je brase immédiatement tout brin endommagé......et pour l'instant, ça va.
Cordages
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christian.styling
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re: Cordages
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Knut
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re: Cordages
En théorie, je serais tenté de dire oui.... en labo, on enregistrerait certainement un alongement anormal, des bruits de rupture, des alertes.
En pratique, dans le bruit des machines, la force de la houle ou le potin de la foule... NON !
Mais je n'ai jamais vécu cette malheureuse expérience. L'armée à cette vertue, de tout faire comprendre même aux plus cons. ( d'où sa réputation, injuste en fait, puisquevictime de sa pédagogie ).
Comme au stand de tir, quand tu te retournes avec ton arme... nortmalement, tu ne le fait qu'une fois. Une salvatrice et formatrice ranger doit te coller au plafond, et te marquer à vie... de façon à en sauver d'autres !
J'ai gardé de la marine, le gout des cordage, et celui des noeuds. je n'utilise que des drisses, rarement de câbles dont je me méfie, et jamais de chaines qui sont chiantes à assembler et sont limitées au maillon le plus faible. ( sauf en industrie où l'on doit suivre des procédures ).
La tempète de Noêl 1999 nous a bloqué les routes, et j'ai prévenu les autorités que j'allais déblayer avec mes petits bras musclés ( le tracteur porsche de 22CV et ma tronçonneuse de 45cm, j'avais pas encore le TP21 )
En soirée, les gendarmes et les pompiers m'ont donné un coup de main. J'ai du arrêter les flics avec leur câbles d'acier made in Leclerc rayon auto... un truc à tuer quelqu'un. Les pompiers leur ont immédiatement confirmé.
En ligne droite, si ça lache, je suppose que ça fouette le cul du pilote...mais avec un angle ( réa, levier ), on a toute la zone extérieure qui sera balayée.
Je tenterais le câble au treuil, en tirant un véhicule sur sol sec. Mais dans la gadoue élastique et collante, en pente, avec obstacle....je le sens pas....
Au Tirfort, par contre, impec.... on limite la traction par les pinces.
Vive les cordages, les drisses et les nœuds...
laissons les câbles à l'industrie lourde, les chaluts, les remorqueurs... il faut surdimensionner à l'extrème, et de gros bras pour manutentionner, pour ne pas dire des grues.
J'ignore en balade 4X4 comment vous faites, mais quand je sort un passant du fossé, ou que je dépanne un pote, je fais évacuer la zone à risque des inévitables curieux, dont la particularité la plus étonnante est d'aller se fourrer justement là où il ne le faut pas...
. Mes gosses sont vachement prédisposés d'ailleurs
En pratique, dans le bruit des machines, la force de la houle ou le potin de la foule... NON !
Mais je n'ai jamais vécu cette malheureuse expérience. L'armée à cette vertue, de tout faire comprendre même aux plus cons. ( d'où sa réputation, injuste en fait, puisquevictime de sa pédagogie ).
Comme au stand de tir, quand tu te retournes avec ton arme... nortmalement, tu ne le fait qu'une fois. Une salvatrice et formatrice ranger doit te coller au plafond, et te marquer à vie... de façon à en sauver d'autres !
J'ai gardé de la marine, le gout des cordage, et celui des noeuds. je n'utilise que des drisses, rarement de câbles dont je me méfie, et jamais de chaines qui sont chiantes à assembler et sont limitées au maillon le plus faible. ( sauf en industrie où l'on doit suivre des procédures ).
La tempète de Noêl 1999 nous a bloqué les routes, et j'ai prévenu les autorités que j'allais déblayer avec mes petits bras musclés ( le tracteur porsche de 22CV et ma tronçonneuse de 45cm, j'avais pas encore le TP21 )
En soirée, les gendarmes et les pompiers m'ont donné un coup de main. J'ai du arrêter les flics avec leur câbles d'acier made in Leclerc rayon auto... un truc à tuer quelqu'un. Les pompiers leur ont immédiatement confirmé.
En ligne droite, si ça lache, je suppose que ça fouette le cul du pilote...mais avec un angle ( réa, levier ), on a toute la zone extérieure qui sera balayée.
Je tenterais le câble au treuil, en tirant un véhicule sur sol sec. Mais dans la gadoue élastique et collante, en pente, avec obstacle....je le sens pas....
Au Tirfort, par contre, impec.... on limite la traction par les pinces.
Vive les cordages, les drisses et les nœuds...
laissons les câbles à l'industrie lourde, les chaluts, les remorqueurs... il faut surdimensionner à l'extrème, et de gros bras pour manutentionner, pour ne pas dire des grues.
J'ignore en balade 4X4 comment vous faites, mais quand je sort un passant du fossé, ou que je dépanne un pote, je fais évacuer la zone à risque des inévitables curieux, dont la particularité la plus étonnante est d'aller se fourrer justement là où il ne le faut pas...
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Knut
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re: Cordages
En fait, si ! Je treuille souvent des voitures sur le plateau.
Là, je tire une voiture de 1600 kg, sur sol plan, avec un treuil donné pour 2.500 Kg/F.
La pente du plateau m'est connue, même avec le cosinus phi des rampes à 30°, pas besoin de calculette, je suis dans les clous.
Mais quand je treuille, je tourne le dos au câble au moment de la montée... j'aime pas cette manoeuvre.
Je n'ose imaginer un 4X4 embourbé dans la glaise.....
Un de mes cousins joue avec son vieux land, et un cabestan... et du cordage.
Ca me parrait si naturel.
Là, je tire une voiture de 1600 kg, sur sol plan, avec un treuil donné pour 2.500 Kg/F.
La pente du plateau m'est connue, même avec le cosinus phi des rampes à 30°, pas besoin de calculette, je suis dans les clous.
Mais quand je treuille, je tourne le dos au câble au moment de la montée... j'aime pas cette manoeuvre.
Je n'ose imaginer un 4X4 embourbé dans la glaise.....
Un de mes cousins joue avec son vieux land, et un cabestan... et du cordage.
Ca me parrait si naturel.
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christian.styling
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re: Cordages
J'utilise un Tirfor 3,2T (dont le câble est surdimensionné : diamètre double du diamètre d'un câble de treuil électrique !!!) et comme en plus en traction manuelle on y va doucement... ça ne me fait pas trop peur.
Pour le Tirfor j'utilise en connection des élingues de levage estampillées CMU deux tonnes en levage (les vertes) avec un coef de sécurité de six et elles ne servent qu'au Tirfor et n'ont donc jamais encaissé d'à-coups de traction. J'utilise aussi une chaîne élingue réglable en acier de grade 80 résistant à 3,25T (CMU) avec un coef de sécurité de quatre donc ça m'inquiète pas...et je ne me sers que de manilles en 22 mm de diamètre...
Par contre en traction 4x4 avec 4x4... c'est pas la même chanson : je prends des cordages en 22 ou 24 mm de diamètre, en nylon (c'est élastique ça amortit les à-coups) mais je suis souvent mort de pétoche quand je voit ce que les constructeurs de 4x4 appellent des points d'attache !!! Si leur bidule pète on se ramasse tout dans le pare-brise... Maintenant que j'ai lu sur Landmania l'accident qui est arrivé je sécurise avec un deuxième point d'attache et un bout de corde d'un mètre comme ça si le cordage de traction lâche il ne part pas comme un fouet, enfin ça devrait pas... Je crois que la traction d'un 4x4 avec un autre 4x4 est la manoeuvre la plus dangereuse qu'on fasse et c'est aussi la plus courante...
Un copain, marin aussi m'a expliqué qu'il fallait réformer cordages et sangles au bout de cinq ans...
Pour le Tirfor j'utilise en connection des élingues de levage estampillées CMU deux tonnes en levage (les vertes) avec un coef de sécurité de six et elles ne servent qu'au Tirfor et n'ont donc jamais encaissé d'à-coups de traction. J'utilise aussi une chaîne élingue réglable en acier de grade 80 résistant à 3,25T (CMU) avec un coef de sécurité de quatre donc ça m'inquiète pas...et je ne me sers que de manilles en 22 mm de diamètre...
Par contre en traction 4x4 avec 4x4... c'est pas la même chanson : je prends des cordages en 22 ou 24 mm de diamètre, en nylon (c'est élastique ça amortit les à-coups) mais je suis souvent mort de pétoche quand je voit ce que les constructeurs de 4x4 appellent des points d'attache !!! Si leur bidule pète on se ramasse tout dans le pare-brise... Maintenant que j'ai lu sur Landmania l'accident qui est arrivé je sécurise avec un deuxième point d'attache et un bout de corde d'un mètre comme ça si le cordage de traction lâche il ne part pas comme un fouet, enfin ça devrait pas... Je crois que la traction d'un 4x4 avec un autre 4x4 est la manoeuvre la plus dangereuse qu'on fasse et c'est aussi la plus courante...
Un copain, marin aussi m'a expliqué qu'il fallait réformer cordages et sangles au bout de cinq ans...
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Knut
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re: Cordages
Remets en à ton pote marin.
Evite les cordages élastiques. Qui dit élastique, dit retour dans la tronche si ça lache.
La drisse se tend. Si elle lache, elle retombe gentiment au sol.
Evite les cordages élastiques. Qui dit élastique, dit retour dans la tronche si ça lache.
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Tout sur le Tirfor..............enfin presque
Salut à tous,
Comme j’utilise quotidiennement des Tirfor, j’ai pris sur moi de vous faire un petit topo sur cet outil merveilleux.
D’abord un peu de théorie:
Le Tirfor, c’est très simple.
Deux mâchoires tirent successivement le câble,
sur le même principe que lorsque vous tirez sur une corde avec vos mains
Pour manœuvrer le Tirfor on dispose de trois commandes. Deux d’entre elles sont conçues pour accueillir un manche
La première sert à tirer (power stroke lever). Elle est généralement matérialisée par une taille plus importante et sa section est ronde.
La seconde sert à mouler (donner du mou). La section de celle-ci est plus rectangulaire (reversing lever).
La troisième poignée sert à débrailler le Tirfor. Elle est utile pour introduire le câble entre les deux mâchoires et l’amener rapidement à la longueur voulue (clutch actuating lever).
La sécurité
Pour limiter les risques de rupture de l’ensemble dû à des efforts trop importants, Tractel a mit en place des goupilles de sécurité en aluminium sur le levier de traction.
Voici celle d’un T516D
Et celles d’un T13
De petites réserves goupilles neuves sont prévu sur le Tirfor comme ici dans le levier de traction du T13
Utilisation :
La première chose à faire est de prendre soin du déroulage du câble.
Pour dérouler, il est indispensable de faire rouler le touret pour éviter la formation de boucles et la détérioration du câble
Après il faut débrayer le Tirfor (toujours stocker le Tirfor embrayé pour éviter de faire travailler les ressorts)
L’idéal c’est de mettre le Tirfor debout. Dans cette position il est relativement aisé de débrayer !
Avec le T516 pousser la poigné vers le bas :
Position embrayée
Position débrayée
Pour le T13 c’est l’inverse il faut remonter la poigné pour le débrayer
Position embrayée
Position débrayée
Attention, comme vous pouvez le voir avec le T516D et le T13 les systèmes d'embrayage/débrayage sont différents suivant les Tirfor. Certains nécessites qu’on appuie sur un poussoir ou qu’on tourne un bouton!
Ensuite, il faut introduire le câble, pour cela il faut que les mâchoires soient alignées. Petite astuce, Tirfor toujours debout mais sur le crochet, on regarde dans le trou
On manipule alors les leviers de manière à voir la lumière par l’autre trou
Les mâchoires ainsi alignées on peut introduire la câble. Si celui ci a été déroulé correctement, sans boucles, ça devrait bien ce passer.
Après avoir ajusté l’ensemble à la longueur voulue, il n’y plus qu’a embrayer de nouveau le Tirfor
Petites entractes sur les points d’amarrages
Attention ceux-ci doivent être minutieusement choisis. La rupture d’un de ces points pourrait être lourde de conséquence lorsque le Tirfor est en charge.
Lorsqu’on s’amarre après un arbre, on veille à ce que celui-ci ne soit ni pourri ni creux. Si l’arbre répond au critère de robustesse nécessaire on s’attache le plus près du sol possible afin de limiter au maximum l’effet de levier. Autre chose avec les arbres, on ne les blesse pas ! Les sangles textiles larges et solides sont les mieux adaptées pour ce type d’ancrage
Lorsqu’on en est là on peut tirer !
Allez Christian un petit effort
Concernant la manipulation du manche, à deux c’est nettement mieux si la charge est importante !
Attention si vous devez faire un renvoi, utilisez une poulie de manœuvre ! Même un objet bien rond ayant un diamètre conséquent entraînerai un vrillage du câble qui serait fortement préjudiciable à sa longévité et à une manipulation aisée.
Entretien :
Le Tirfor est un outil de levage soumis à des règles et des normes de fabrication. Il est plutôt costaud mais comme tous les outils demande un entretien minimum.
La première chose concerne le câble : il faut veiller à l’enrouler et le dérouler avec soins. Entreposez le soigneusement, pas en vrac dans le coffre du 4x4 avec une enclume dessus :-).
S’il est terreux, un petit coup de brosse en chiendent et de l'huile ordinaire type moteur, pas de graisse.
*Il ne faut pas utiliser d'huile complexe à base de bisulfure de molybdène ou de carbone*.
Le huilage permet d'éviter un phénomène appelé "pompage" qui résulte d'un "grippage" du câble dans les mâchoires. Le câble est zingué pour une protection contre la corrosion. Neuf, le zinc se dépose dans les mâchoires et forme ainsi un phénomène de "zingo-planning" (identique à l'aquaplaning), glissement du zinc sur du zinc. Avec de l'huile, ça ne glisse pas ! !
Pour le Tirfor, prenez en soin aussi, votre sécurité en dépend . Stockez le toujours embrayé ! Faites régulièrement un contrôle visuel de son état, contrôlez le serrage des différentes vis et écrous et balancer de temps en temps un petit coup de dégrippant voir de gasoil à l’intérieur pour éviter la rouille et un grippage éventuel en cas d’une utilisation sporadique.
Voilà voilà, merci à Laurent et Christian pour avoir pris la pose pour les photos!
Comme j’utilise quotidiennement des Tirfor, j’ai pris sur moi de vous faire un petit topo sur cet outil merveilleux.
D’abord un peu de théorie:
Le Tirfor, c’est très simple.
Deux mâchoires tirent successivement le câble,
sur le même principe que lorsque vous tirez sur une corde avec vos mains
Pour manœuvrer le Tirfor on dispose de trois commandes. Deux d’entre elles sont conçues pour accueillir un manche
La première sert à tirer (power stroke lever). Elle est généralement matérialisée par une taille plus importante et sa section est ronde.
La seconde sert à mouler (donner du mou). La section de celle-ci est plus rectangulaire (reversing lever).
La troisième poignée sert à débrailler le Tirfor. Elle est utile pour introduire le câble entre les deux mâchoires et l’amener rapidement à la longueur voulue (clutch actuating lever).
La sécurité
Pour limiter les risques de rupture de l’ensemble dû à des efforts trop importants, Tractel a mit en place des goupilles de sécurité en aluminium sur le levier de traction.
Voici celle d’un T516D
Et celles d’un T13
De petites réserves goupilles neuves sont prévu sur le Tirfor comme ici dans le levier de traction du T13
Utilisation :
La première chose à faire est de prendre soin du déroulage du câble.
Pour dérouler, il est indispensable de faire rouler le touret pour éviter la formation de boucles et la détérioration du câble
Après il faut débrayer le Tirfor (toujours stocker le Tirfor embrayé pour éviter de faire travailler les ressorts)
L’idéal c’est de mettre le Tirfor debout. Dans cette position il est relativement aisé de débrayer !
Avec le T516 pousser la poigné vers le bas :
Position embrayée
Position débrayée
Pour le T13 c’est l’inverse il faut remonter la poigné pour le débrayer
Position embrayée
Position débrayée
Attention, comme vous pouvez le voir avec le T516D et le T13 les systèmes d'embrayage/débrayage sont différents suivant les Tirfor. Certains nécessites qu’on appuie sur un poussoir ou qu’on tourne un bouton!
Ensuite, il faut introduire le câble, pour cela il faut que les mâchoires soient alignées. Petite astuce, Tirfor toujours debout mais sur le crochet, on regarde dans le trou
On manipule alors les leviers de manière à voir la lumière par l’autre trou
Les mâchoires ainsi alignées on peut introduire la câble. Si celui ci a été déroulé correctement, sans boucles, ça devrait bien ce passer.
Après avoir ajusté l’ensemble à la longueur voulue, il n’y plus qu’a embrayer de nouveau le Tirfor
Petites entractes sur les points d’amarrages
Attention ceux-ci doivent être minutieusement choisis. La rupture d’un de ces points pourrait être lourde de conséquence lorsque le Tirfor est en charge.
Lorsqu’on s’amarre après un arbre, on veille à ce que celui-ci ne soit ni pourri ni creux. Si l’arbre répond au critère de robustesse nécessaire on s’attache le plus près du sol possible afin de limiter au maximum l’effet de levier. Autre chose avec les arbres, on ne les blesse pas ! Les sangles textiles larges et solides sont les mieux adaptées pour ce type d’ancrage
Lorsqu’on en est là on peut tirer !
Allez Christian un petit effort
Concernant la manipulation du manche, à deux c’est nettement mieux si la charge est importante !
Attention si vous devez faire un renvoi, utilisez une poulie de manœuvre ! Même un objet bien rond ayant un diamètre conséquent entraînerai un vrillage du câble qui serait fortement préjudiciable à sa longévité et à une manipulation aisée.
Entretien :
Le Tirfor est un outil de levage soumis à des règles et des normes de fabrication. Il est plutôt costaud mais comme tous les outils demande un entretien minimum.
La première chose concerne le câble : il faut veiller à l’enrouler et le dérouler avec soins. Entreposez le soigneusement, pas en vrac dans le coffre du 4x4 avec une enclume dessus :-).
S’il est terreux, un petit coup de brosse en chiendent et de l'huile ordinaire type moteur, pas de graisse.
*Il ne faut pas utiliser d'huile complexe à base de bisulfure de molybdène ou de carbone*.
Le huilage permet d'éviter un phénomène appelé "pompage" qui résulte d'un "grippage" du câble dans les mâchoires. Le câble est zingué pour une protection contre la corrosion. Neuf, le zinc se dépose dans les mâchoires et forme ainsi un phénomène de "zingo-planning" (identique à l'aquaplaning), glissement du zinc sur du zinc. Avec de l'huile, ça ne glisse pas ! !
Pour le Tirfor, prenez en soin aussi, votre sécurité en dépend . Stockez le toujours embrayé ! Faites régulièrement un contrôle visuel de son état, contrôlez le serrage des différentes vis et écrous et balancer de temps en temps un petit coup de dégrippant voir de gasoil à l’intérieur pour éviter la rouille et un grippage éventuel en cas d’une utilisation sporadique.
Voilà voilà, merci à Laurent et Christian pour avoir pris la pose pour les photos!
Pol (Toujours plus haut!)
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christian.styling
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re: Cordages
: un mode d'emploi court clair net et précis et merci pour le "truc" :
comme tu as pu t'en rendre compte je manipulais les leviers jusqu'à ce que ce foutu câble arrive à traverser...On manipule alors les leviers de manière à voir la lumière par l’autre trou
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pol 4x4
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re: Cordages
christian.styling a écrit :
et merci pour le "truc" :comme tu as pu t'en rendre compte je manipulais les leviers jusqu'à ce que ce foutu câble arrive à traverser...On manipule alors les leviers de manière à voir la lumière par l’autre trou
Le "truc" marche si ton câble est bien droit
d'ou l'intérêt de le dérouler avec soin Pol (Toujours plus haut!)
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patrolgr71
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re: Cordages
Merci pour ce tutoriel
Il manque juste un comparatif, quel tirefor ? pour quel vehicule ?
(le mieux c'est peut être d'emmener pol 4x4 )
JCB
Il manque juste un comparatif, quel tirefor ? pour quel vehicule ?
(le mieux c'est peut être d'emmener pol 4x4
)JCB