•Jusqu'en 2009-2010 les prêteurs étaient encore des banques privées, dont françaises et allemandes très exposées. La France et l'Allemagne ne pouvaient pas se permettre que leurs banques aillent au tapis à cause d'une dette grecque pourrie. D'où les premières vagues de plans d'aide sur fonds publics européens.christian.styling a écrit :qu'ils votent oui ou qu'ils votent non, qu'ils sortent de l'euro, de l'europe, ou qu'ils sortent pas... de toutes façons les prêteurs veulent revoir la couleur du pognon qu'ils ont prêté !
•Maintenant qu'il n'y a quasiment plus de fonds privés dans la dette grecque, il y a beaucoup moins de risques de remous (paniques et spéculations) sur les marchés financiers... ce qui explique une position européenne plus forte pour plier la Grèce aux exigences de réforme
Tu veux parler des prêteurs qui prêtent à la France, pour que la France puisse prêter au fond d'aide à la Grèce ?christian.styling a écrit :les prêteurs veulent revoir la couleur du pognon qu'ils ont prêté !
