oui, il est évident que LR a souffert de ses choix de motorisation mais il y a une nuance entre la motorisation et la motricité. là où c'est rigolo c'est comment avec des moteurs aussi merdiques on a une aussi bonne motricitéchristian.styling a écrit :le stage one j'avais lu le nom mais je ne savais pas à quoi il correspondait... j'ai encore beaucoup à apprendre
en espagne et au portugal on voit énormément de santana dont des modèles vraiment antiques. ça semble un type de 4x4 capable de très bien vieillir malgré une utilisation d'engin agricole multi-fonctions. après qu'il ne soit pas un vrai land-rover, je suis d'accord : c'est marqué santana dessus
ceci dit un six cylindres 3.5 L D aurait sans doute boosté les ventes d'un land-rover... parce que mis à part le moteur buick essence à vingt litres aux cent en conduite pépère... ça manque cruellement de gros moteur chez les anglais non ? un trois litres sous le capot d'un DEF aurait bien fait l'affaire des clients de japoniaiseries. faut pas se mettre la tête dans le sable : beaucoup ont rêvé de ça... et ont acheté autre chose
mon nissan a été usiné en espagne alors je ne suis pas puriste des marques![]()

mais au delà de ce clin d'oeil on est bien d'accord que le def aurait connu un autre destin commercial si les choix moteurs avaient été plus ouverts.
ensuite, c'est bien pour cela que Phil et moi sommes convaincus que même si on est allé piquer certains organes, les 2 familles de véhicules ont évolué de façon indépendantes ; l'une s'inspirant des solutions modernistes testées sur les gammes RRC / disco (et à mon avis cela va continuer) et l'autres restant plus figée (sans critique) sur un esprit utilitaire-rustique-voire archaïque ... les solutions anciennes étaient sans doute plus adaptées au marché national.