Gacko a écrit :+1
Pas plus qu'il ne me viendrait à l'idée de me faire opérer dans les cliniques privées qui sont pour la plupart des centres de profit bien avant d'être des centres de soins...
Je SOUHAITE que l'on est toujours le choix !
Le probléme c'est que tu a des chirurgiens du privé qui viennent opérer à l'hopital avec toutes la logistique et les moyens gratos malgré que ça se fait peut être un peu moins aujourd'hui d'où la riposte des privés voir ci dessous !
talviv44 a écrit :Tout va bien bien au pays ....
Par contre va falloir être malade à la carte...sortons nos nouveaux GPS programmables croix rouges ..
Le jeu" des pistes H" va bientôt commencer !!
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet ... 5_actu.Htm
Et un dernier pour la route .....
La CASSE DES HOPITAUX est en route au profit des ETS privés
Tentées de conserver les patients rentables
Dans le grand mercato qui s’annonce, les syndicats de personnels hospitaliers, CGT et SUD en tête, ainsi que de nombreux directeurs d’hôpitaux redoutent que les cliniques ne remportent la mise. Les associations public-privé risquent en effet de leur profiter car elles pourraient être tentées de conserver les patients rentables, en multipliant les opérations de routine très rémunératrices, et de renvoyer les autres vers l’hôpital. Une pratique courante selon un médecin de Seine-Saint-Denis: "C’est déjà le cas dans les services d’urgence de certaines cliniques. On garde les malades qui nécessitent de nombreux examens et on renvoie vers l’hôpital du coin ceux qui ont des pathologies lourdes et incurables ou dont l’état est peu stable."
CETTE PRATIQUE NE DATE PAS D'AUJOURD'HUI "on meurt à l'hopital"

Lors d’un récent symposium à Malte, l’un des premiers réseaux de cliniques privées français a ainsi organisé une formation pour apprendre aux infirmières à "optimiser" chaque patient. En clair, à bien choisir les cas et actes les plus rémunérateurs… Pour faire accepter la réorganisation de la carte hospitalière, le gouvernement devra veiller à ne pas se laisser prendre en otage par le privé.

"Notre souci, c’est l’intérêt général et la sécurité des patients", riposte le député de la majorité et président de la Fédération hospitalière de France (FHF) Jean Leonetti