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Affligeant. Comment peut-on raconter autant de conneries en si peu de temps et sans jamais rien argumenter ni prouver, en mélangeant tout, en jouant sur la corde sensible ? Ça me dépasse.
Bon, c'est vraiment pas de chance pour ces gens-là! Jusque là je suis sérieux! J'ai subi une "délocalisation" forcée due à une guerre civile et la réinstallation dans un autre pays est plus que pénible.
Mais ils n'ont vraiment pas de chance de vivre sur un atoll dans une région du monde où l'eau monte. Si je suis l'idée du reportage, c'est à croire que l'eau de cette région du monde fait une "bosse" ou une colline. Et moi qui croyait que la surface de l'eau était plate! Là je ne le suis plus!
Phill83 a écrit :
Mais ils n'ont vraiment pas de chance de vivre sur un atoll dans une région du monde où l'eau monte. Si je suis l'idée du reportage, c'est à croire que l'eau de cette région du monde fait une "bosse" ou une colline. Et moi qui croyait que la surface de l'eau était plate! Là je ne le suis plus!
C'est typiquement le type d'amalgames réalisés par les hystériques de la théorie du réchauffement. Je crois que les récifs coralliens s'enfoncent sous leur propre poids (d'ailleurs à un moment dans la vidéo il est dit "les iles coulent"). De là à dire que l'eau monte, il n'y a qu'un pas que ces bouffons franchissent allègrement.
rover17 a écrit :ils ont échoué , nos enfants trinqueront
à la votre
Il faut relativiser, et remettre les choses à leur place: ils ont échoué sur deux points principaux:
- la limitation à 2 degrés du pseudo-réchauffement climatique (ils sont tombés d'accord pour 1,5 °...)
- Le niveau de financement des fonds investis dans la "lutte contre le réchauffement climatique" pour chaque pays, les petits pays (pays "émergents" - quand on menace certains pays de couler, jugez de l'humour ) n'étant pas prêts à investir autant que les pays dits "civilisés" dans l'écologie, qui les préoccupe beaucoup moins que de faire progresser leur PIB et le niveau de vie de leur ressortissants.
Ce n'est pas pour autant qu'ils vont lâcher l'affaire chez les pays du G20, et on n'a pas fini de nous faire ch..r avec les restrictions de libertés et lees taxes diverses et variées sous couvert écologique en France. Sarko veut à tout prix piquer des voix à la gauche en tapant dans les rangs des verts-de-gris.
Le Maverick est parti avec ma femme, le Toy avec un huissier... j'aurai préféré que l'huissier parte avec ma femme ! ,
1. Les lampes à basse consommation fluocompactes, soit ces ampoules qui s’échauffent deux minutes avant d’éclairer péniblement et qui coûtent six fois plus cher que nos anciennes ampoules. Mais comme leur gain énergétique est de 80 %...
2. Les piles qu’on ne doit plus jeter dans la corbeille, mais rapporter pour recyclage dans les endroits prévus pour. D’accord, mais où ?
3. Le cabas qu’on a oublié d’emporter pour trimbaler ses courses afin d’éviter de prendre à la caisse ces sacs plastique si difficilement dégradables...
4. La douche de préférence glacée et brève en rêvant des matins douillets où l’on pouvait encore se prélasser dans une baignoire mousseuse, qui gaspille l’équivalent de treize minutes sous le pommeau.
5. Les noix de lavage extraites de la saponaire, à acheter par correspondance, qui lavent mal, moussent peu et ne sentent pas bon.
6. Les produits nettoyants biologiques à base de vinaigre et de bicarbonate de soude. A base d’huile de coude surtout.
7. Le tri sélectif qui nous impose d’accueillir trois poubelles dans la cuisine sans jamais savoir dans laquelle jeter le carton de lait vidé et rincé, les papiers ou sacs plastique.
8. Le panier du paysan local à cause duquel on devra cuire du chou et du panais tout l’hiver, en rêvant d’un ananas ou d’une orange sucrée, ces fruits impossibles à compenser en taxe carbone.
9. Le papier déjà imprimé au recto qu’on place dans la photocopieuse pour imprimer au verso. Deux fois sur trois, on se trompe de face.
10. L’eau du robinet qu’il faut préférer à celle, minérale, pétillante, embouteillée dans du plastique, livrée par la supérette du coin en voiture.
Le Maverick est parti avec ma femme, le Toy avec un huissier... j'aurai préféré que l'huissier parte avec ma femme ! ,
Les gains de consommation avec la fenêtre triple vitrages sont faibles voire très faibles voire même négatifs ! alors
que le U est abaissé de plus de 50% !
Ces résultats qui peuvent surprendre démontrent une nouvelle fois que si l’amélioration de l’isolation
s’accompagne de la détérioration des apports solaires des fenêtres la performance énergétique pour la maison
n’est pas au rendez-vous !
La forte dégradation du facteur solaire g du vitrage et l’augmentation des profilés des fenêtres triple vitrage
pénalisent la partie positive de la contribution de la fenêtre : les apports solaires d’hiver.
Les conditions météorologiques des 8 zones climatiques utilisées pour les calculs de consommation par la RT 2005
ne sont pas comparables avec celles de nos voisins du nord de l’Europe.
Les gains en consommation d’énergie (au mieux 3% en H1b soit 421,5KWh/an et 20€/an pour la maison
étudiée !!) sont totalement disproportionnés avec l’augmentation des coûts et les surconsommations de matières
premières.
La pertinence des triples vitrages sur le territoire français n’est donc pas démontrée surtout au regard des coûts
élevés, des contraintes techniques et de l’augmentation des matières consommées (+50% de float, +100% de
barrière d’étanchéité, +100% de couche basse émissivité).
Ces enseignements s’appliquent aussi bien au neuf qu’à la rénovation.
L’importance d’un bon facteur solaire pour les fenêtres de rénovation est à souligner car on ne peut généralement
jouer ni sur la surface ni sur l’orientation.
Les fenêtres aluminium à rupture de pont thermique équipées de vitrages VIR bénéficient à la fois d’un bon
coefficient d’isolation et d’un facteur solaire élevé, c’est cette combinaison qui optimise leur performance
énergétique.
La récupération maximum des apports solaires en hiver n’exclut pas le confort d’été assuré par des volets, stores
ou masques extérieurs.
) n'étant pas prêts à investir autant que les pays dits "civilisés" dans l'écologie, qui les préoccupe beaucoup moins que de faire progresser leur PIB et le niveau de vie de leur ressortissants.
