Forum 4x4

Salut à tous,

De retour en France avec plein d'images et du bonheur dans le coeur. C'est très dure de reprendre le chemin du boulot après cela.

Ici quelques vidéos de notre rallye. Ce sont des montages de Franck réalisés à partir de ses propres vidéos et de toutes celles rassemblées auprès des concurrentes. Lui même ne faisait pas parti de la course mais avec sa moto il allait d'un coin à un autre pour prendre un maximum de vidéos.
L'année dernière il était copilote de Isabelle. Cette année on lui doit une grande partie de la réussite de ce rallye. Il ne l'a pas dit, mais je pense qu'il est à l'origine de pas mal de modifications dans le réglement, et à l'origine du PC virtuel. C'est lui qui assurait le difficile rôle de nous annoncer chaque soir au brieffing les pénalités récoltées et était le porte parole de l'organisation quand Nadia était prise ailleurs

Voilà un déjà quelques vidéos que je trouve particulièrement bien réussis. J'aimerai bien arriver à faire des montages comme ceux la.

Ici le parcours qui a été révélé avant le début de la course.
http://www.dailymotion.com/video/xces7t ... arcou_auto

Manque la vidéo des vérifications techniques.

La première liaison
http://www.dailymotion.com/video/xcs5sv ... on-tu_auto

Enfin les choses sérieuses commencent: Etape 1
http://www.dailymotion.com/video/xcshes ... ape-1_auto

Etape 2
http://www.dailymotion.com/video/xcsmig ... ape-2_auto

Etape 3
http://www.dailymotion.com/video/xcswve ... ape-3_auto

Etape 4
http://www.dailymotion.com/video/xct4ng ... ape-4_auto

Etape 5
http://www.dailymotion.com/video/xctsho ... ape-5_auto

Remise des prix
http://www.dailymotion.com/video/xcul1t ... se-de_auto

Voilà pour commencer

A plus

Vincent

aaahh !!! enfin un de belles images ........
Il manque encore tes éclats/impressions des moments de joie & de galères .

Je te comprends pour le retours aux boulots .

ps : pour les vidéos utilise la fonction des images





Cordialement Raf .

Salut à tous,

En, fait, des galères nous en avons eu dès le départ. Depuis le remplacement des roues par les Muds, j’avais une vibration générale de la caisse qui commençait à 60km/h et qui s'amplifiait avec la vitesse. J’ai longtemps incriminé les pneus. Nous venions de passer le col du Lautaret pour nous rendre sur Gênes et ces vibrations ne faisaient qu’empirer.
En passant, les Muds, c'est pas terrible sur les routes enneigées et en lacets des cols.

Après vérification, il c'est avéré que c'était le croisillon arrière de l'arbre de transmission qui avait pris un sacré jeu. Mais alors un jeu vraiment monstre, :koi as loin de 5mm. Plus une trace de graisse. Plus d’aiguilles dans un des roulements. Pourtant j’avais graissé le tout au moment du départ. J’avais déjà un très léger jeu mais la en même pas 500 bornes c’était la cata.
Heureusement cette année j'avais prévu un arbre complet en secours. Le T2 était chargé comme un âne. Plus la moindre place de libre pour y caser quoique se soit. Nous n’avons pas pu emporter tout le matériel de l’humanitaire tellement il y en avait. Et naturellement l’arbre se trouve tout en bas au fond du T2, idem pour les outils. On sort tout, les cartons, les sacs de voyages, les jerricans enfin on accède aux outils et à l’arbre. Une voiture passe et son conducteur nous regarde de façon soupsonneuse. « Non, Monsieur, nous ne sommes pas en train de créer une décharge sauvage ». Lors de la dépose de l'arbre, mince, il y a de l'huile de boite qui fuit. Ce n’est pas grand chose, mais ce n’est pas très agréable. Naturellement je me prends de l’huile sur le pull.
Je monte le nouvel arbre et hop on repart vers Gênes.
Super ! Plus de vibrations, tout est parfait. Serein nous reprenons la route. Après 200 bornes, un coup d’œil sur l’odomètre, histoire de voir si tout marche bien. Et mince ! L’odomètre n’affiche plus que la moitié du kilométrage réel. Diagnostique, une des vis montées sur l’arbre de transmission de remplacement doit être trop éloignée de la sonde. Mince de mince. Bon, nous verrons cela une fois arrivé au port de Gênes.
Une fois arrivé Gênes, nous avons retrouvé d’anciens concurrents (Zab de T-Cap, et Eve Jacquot ), ainsi que de nouveaux participants, tout comme le camion d’assistance qui ne savait pas encore qu’il allait devoir assurer l’assistance complète du rallye.
La chipie de Eve, nous avait réservé une sacrée surprise, jusqu’à là, elle nous disait toujours vouloir participer avec son Maverick au rallye. Elle avait poussé le vis à me demander plein de renseignements pour trouver un débitmètre pas cher pour son Mav. Elle me demandait ce que j’avais fait comme préparations sur mon T2. Je la charriait parce qu’elle s’était occupé des billets de réservation pour les aller retours Gênes Tunis et sur ces billets, ne figurait pas son Mav. Je lui disait qu'elle s'était fait avoir et que Euromer avait oublié son véhicule. Elle m’a bien eu.
Nous n’en avons pas cru nos yeux en la voyant arriver, cette gringalette, au volant d’un HDJ 80 (ça promettait pour la suite, nous étions cernés de HDJ 80 et de HDJ 100).
Je crois que c'est un HDJ 80, je ne connais pas bien les Toys.



La suite va nous prouver qu’elle va attaquer dur, même très dure. Une des rares photos d’un HDJ en pleine action. On se demande même si on est dans un rallye de régularité quand on voit cela.


Bon, j’ai passé une partie des longues heures d’attente sur le quai à refaire l’alignement correct des vis devant la sonde de l’odomètre.
Naturellement une galère n'arrive jamais seul, j'avais de l'huile qui fuyait par la sortie arrière de la boite de transfert. Difficile de dire si c'est le reste de l'huile qui est sorti lors de la dépose de l'arbre ou si cela venait d'un joint à lèvre HS. Le coffre du T2 était tapissé de fines taches d'huile.
L’embarquement s’est fait dans une cohue italienne bien organisée et la traversée s’est déroulé sans incident.
Arrivée à Tunis 24h après, ou nous avons été accueilli par Mr Chad Li, président de l’automobile club tunisien, qui nous a facilité toutes les formalités d’entrée sur le territoire (attention de ne pas oublier de déclarer son GPS à la douane).
Cette année nous avions pris l’option d’aller vivre chez l’habitant (à Bizerte) pour les jours de repos que nous avions avant d’attaquer notre compétition , et le jour de repos après . Nous étions chez une connaissance de Mireille, qui nous a reçu comme si nous étions des propres membres de sa famille.

Le 20 mars, nous avons rallié Tunis pour nous rendre aux vérifications administratives et techniques, nous en avons profité pour déposer nos cartons pour l’humanitaire. Ouf, cela libère déjà pas mal de place. Tout ceci s’est fait face au Biwa (annexe du bureau de Nadia).
Au cours de ces vérifs ( poussées et pointilleuses pour notre prope sécurité) , nous avons retrouvé tous les concurrents, anciens et nouveaux. A part une jeep et nous, nous étions cernés par de gros bestiaux dont certains préparés pour des catégories T2.
La fuite au niveau de la sortie boite m’inquiétait. Je laissais des tâches sur le sol carrelé du garage de notre hôte. Elle avait poussé l’hospitalité jusqu’à sortir sa propre voiture du garage pour me permettre de mettre mon T2 à l’abri. Si ce n’est pas de l’hospitalité cela !
L’année dernière j’avais suivi les conseils de Tanguy qui me disait d’emporter toutes les huiles qui vont bien pour le T2. Comme je les avait pas utilisé l’année dernière, j’avais cru malin de ne pas les emporter cette année.
Impossible de trouver l’huile de boite manuelle dans les stations service de Tunis. Ils ont de l’huile pour boite auto. Après avoir fait 5 stations comme Oillybia, Total je me suis décidé à acheter de la 80W90. C’est pas ce qui est préconisé, mais au moins ce sera mieux que rien. Impossible de trouver une serringue pour transférer le précieux liquide vers la boite.
Heureusement, Mireille à la bonne idée de penser à une pipette. Bon, ou trouver une pipette ? A la sortie de Tunis, direction Bizerte, il y a un grand complexe commercial avec un Bricomachin. J’y ai trouvé une pipette, ouf !
Après les vérifications en retournant chez notre hôte, nous nous sommes arrêté dans un oued soit disant désertique et tranquille pour refaire le niveau de la boite.
Une fois installé sous la voiture pour déposer les skis , et oui, impossible d’accéder au bouchon de remplissage sans déposer le ski, une nuée de gamins surgis de nulle part, est venue nous tenir compagnie et regarder tout ce que nous faisions, un dialogue chaleureux s’est instauré entre nous malgré la barrière du langage. J’avais des gamins sous le véhicule en train de m’aider à tenir la tôle. Ils ne m’ont rien demandé, ils ne me comprenaient pas, pas plus que je les comprenais eux. Une ou deux fillettes parlaient un peu le français et on s’est débrouillé. Nous leur avons laissé des stylos, des barrettes pour les cheveux et d’autres petites choses. Les enfants étaient hyper heureux et c’est leurs mères, venues de je ne sais ou, qui ont voulu nous inviter à partager le couscous. Malheureusement nous avions pris notre repas avant d’attaquer les travaux. C’est une expérience inoubliable que ces gamins.
Au final, il manquait l’équivalent d’un verre à moutarde d’huile dans la boite. Ce n’était pas trop alarmant. Ouf, par la suite les fuites se sont arrêtées.

Quelques photos de la vérification des véhicules et des forces en présence


Je tiens à préciser que la tâche de gras sur le sol devant mon T2 ne vient pas de mon T2.

Les formalités administratives et bagage des poulets euhh des concurrents comme des poulets.

A droite Franck de T-cap qui fait parti du staff de l'organisation. Et à droite Joël qui assume le rôle de "Monsieur sécurité, technicien de dépannage des véhicules qui auraient des soucis de non conformités, et de Monsieur humanitaire" Ici distribution des Tee Shirt à l'effigie du Rallye.
La liste des points qui seront vérifiés.
Cette année les vérificateurs ont été tatillons. On ne badine pas avec la sécurité.


Un concurrent en pleine action de remise à niveau d'un faisceau d'éclairage de toy. Je n'y connais rien, mais lentement, en partant de l'ampoule, on va remonter tout le faisceau pour finalement trouver un fusible cramé. Tout le monde donne son avis et tout le monde aide les copains.


Certaines nouvelles concurrentes viennent avec le stricte minimum. N'est ce pas "Les pétillantes" En premier plan ce qu'on appelle une sangle. Elle semble bien light. Si je ne me trompe pas elle posera des soucis plus tard.



D'autres engins beaucoup mieux garnis. Celui d'Isa avec Didier




Un autre tout aussi bien préparé.




Et enfin, ce qui a mon avis est dans le top des prépas. Les vainqueurs de l'année passé sont venu cette année en force avec un engin comme celui la. Je ne donne que quelques photos. Il mériterait bien plus.






Seul laisse à désirer la fermeture du hayon arrière qui posera d'ailleurs des soucis plus tard. Les concurrents vont perdre leurs bagages dans une spéciale.


Il ne faut pas se laisser impressionner. Tous les véhicules sont égaux dans la course de régularité. C'est d'ailleurs deux véhicules sans grande prépa qui vont terminer aux deux premières places.

En tout cas, cette année les véhicules étaient mieux préparés que l'année passé.

A plus


Vincent

La nouveauté de l'année. Le CP virtuel. Ou plutot la boite du CP virtuel.


Cette année, Nadia a vraiment galéré pour réussir à maintenir le rallye. La crise passe également par la. Elle n'a pas réussi à rassembler la moitié du budget de l'année passé. Résultat, les effectifs des commissaires ont été réduits. La catégorie des hôtels a été réduite d'une étoile. Le nombre des véhicules des commissaires ont été réduits. Moi, cela ne me dérange pas du tout. Les hôtels étaient très bien. Rien à redire. Cela me convient parfaitement.
Je serai même prêt à faire plus de bivouacs et moins d'hôtels. Mais à ma grande surprise, Nadia nous a appris que les bivouacs revenaient financièrement plus chers que les hôtels. Pourquoi ne pas négocier tous les bivouacs avec le même partenaire ? Peut être qu'il y a possibilité de réduire les couts de ces prestations.

Pour palier à la réduction des effectifs, l'organisation a décidé d'installer un CP virtuel par étape. Au départ des étapes, le commissaire de course nous donnait un jeton à notre numéro qu'il fallait glisser dans la boite. C'est pas mal comme idée.
Personnellement je trouve la recherche de ce CP virtuel un tout petit peu trop facile. (La boite était placée sur un point GPS) Pourquoi ne pas compliquer un tout petit peu la chose. A voir. Pourquoi pas plusieurs CP virtuels par étapes ?

En tous les cas, malgrès la réduction des éffectifs, les commissaires me semblaient bien plus impliqués et mieux organisés que l'année passée. Malgrès des moyens en moins, l'organisation m'a semblé plus au top que l'année dernière.

En fin de journée le mot d'acceuil de Nadia



A gauche Tarek le directeur de course et le père de Nadia, Monsieur Mohammed Gammoudi. C'est le premier Tunisien à gagner une médaille olympique et aussi le premier à avoir remporté une médaille d'or. Avec quatre médailles olympiques à son actif, il est le sportif tunisien qui a remporté le plus de médailles, ce qui fait de lui le meilleur sportif tunisien de tous les temps.
Nadia, à juste titre, est vraiment très très fière de son père. Son père et sa mère l'assistent et suivront la course avec nous. Ce grand monsieur a su rester très simple et sera la pour aider Nadia et n'hésitera pas à mettre la main à la pâte.
C'est beau à voir cet amour partagé.


A plus

Vincent

Le 21 mars, au matin, nous avons pris le départ pour la première liaison nous ralliant de Tunis à Ksar Ghilane (556km). La Tunise reste le réseau routier ou l’on trouve le plus d’Isuzu , et de 504 camionnettes chargés à bloc. Nous étions en deuxième place derrière les gagnants de l’année passée. Quelle ne fut pas notre surprise de voir le véhicule nous précédent arrêté sur le bord de la route 100M à peine après le départ. Explication, le monstre lachait son gas oil dans l’habitacle. Impossible pour Nathalie et Jean Marc de poursuivre comme cela, ils étaient en train de suffoquer. Vite retour au garage pour réparation des durites d’alimentation. A la fin de la liaison, nous arrivons sur notre premier campement perdu dans les dunes. L'arrivée par les dunes est superbe. Vraiment de belles dunes sympa bien rondes. Je n'ai pas de photos mais dès que je maitrise un peu le montage, je mettrai des vidéos. Nous avons été accueilli par des berbères qui nous ont offert le thé de bienvenue. Puis l’organisation, nous avait préparé un succulent repas sous un grand chapiteau (de la chorba, des feuilles de brick, couscous et oranges très douces)
Au pied du Fort de Ksar Ghilane, nous avons planté nos tentes, et avons pu admirer le coucher du soleil sur le sable orangé des immenses dunes.

Quelques photos du départ et des paysages traversés.

Première étape:
Le 22 mars, enfin nous allons attaqué les choses sérieuses, départ pour la première spéciale (Ksar Ghilane-Bir Aouin 121km), chaque véhicule part à 5mn d’intervalles.



Au programme du jour, pas mal de dunettes à passer, des pistes cassantes, pistes ondulées, franchissements et pas mal de roulage au cap. Comme l’année dernière Mireille et moi, nous nous sommes encore pas mal crépé le chignon, mais finalement, au bout de quelques heures de navigation tout rentre dans l’ordre.

































La galère commence : des ensablements. Heureusement que ça passe en seconde en rapport court car même en première longue on reste scotché dans le sable même à 3000 tours . Nous avons voulu essayé de rouler avec 2,4bars de pression dans les pneus , mauvaise idée, plus loin nous avons dégonflé et descendu à 1,5 bars et là, oh miracle tout passait très bien. Résultat de la journée : 1 contrôle de passage loupé et un autre que nous avons cherché parmi les grandes dunes alors qu’il était tout simplement en bordure d’une piste. A la fin de la journée, nous étions 5ème au classement général avec 68 points de pénalités. L’équipage n°13 (HDJ 80) a cassé sa boite dès le départ de l’épreuve et n’a pu continuer sur sa lancée. Il est parti à Douz pour faire changer sa boite, et de ce fait a pris 270 points de pénalités . Le lendemain il seront sur la ligne de départ avec un véhicule réparé.

C'était vraiment une étape beaucoup plus technique que celles de l'années passées. C'était vraiment une superbe étape. Bravo à Nadia et à son équipe pour avoir fignolé ce parcourt. Il était vraiment crevant pour le matériel et pour nous. La je crois qu'on a atteint un niveau de difficulté qui est sympa. J'en demande pas plus. Ce soir la le rallye avait pris une nouvelle dimension et nous nous inquiétions pour les journées à venir. Si tout est de ce niveau de difficulté on va être bien en fin de rallye.

Le soir arrivée sur notre deuxième lieu de bivouac: Bir Aouin. Un lieu magique avec une source chaude (certainement 40°C) Un véritable régal que cette eau sulfurée. Bain et douche en pleine nature.
La encore accueil par les mêmes berbères avec un thé à la menthe servi sous chapiteau.
Merci à eux pour le succulent repas servis ce soir sous ces mêmes chapiteaux. Le camion d’assistance équipé d’un groupe électrogène nous permettait d’avoir un éclairage ambiance tamisée. Nous retrouvons tous les concurrents se désaltérant après cette journée passée à manger et respirer du sable. Dès la première journée le Terrano est rempli de sable qui est une véritable plaie pour les appareils photo. Plus tard les concurrents ont préparés les books et chacun fait ses calculs secrets de moyenne, de temps, de vitesse pour le lendemain. Introduction des points GPS à la lumière des lampes de poche. Un briefing à la lumière vacillante des ampoules alimentés de façon aléatoire par le groupe électrogène surchargé par les chargeurs des équipements vidéos, caméras, appareils photos, PC et autres électroniques.
Le ciel se faisait menaçant et sombre, nous pensions essuyer une tempête de sable cette nuit. Les tentes ont été attachées tant bien que mal après les véhicules et la végétation tout autour. Les sardines s’enfoncent dans le sable sans en assurer un maintient correct. Heureusement le temps n’a pas viré à la tempête.

Tenez, quelques photos de galères.
Naturellement je n'en mets pas de nous.









On était parfois à 4 4X4 ensablés sur les mêmes tronçons. Parfois les copilotes sortaient et couraient sur les dunes pour voir ou cela pouvait passer avant de reprendre l'élan.

Mireille suit mes traces faites à pied. Ne sort pas de cette trajectoire. Naturellement ébloui par le soleil elle ne suivait pas toujours la piste indiquée. Je disais à droite et montrait la direction à gauche avec mon bras. C'est pas évident de pouvoir suivre les directives d'un copilote qui se mélange les pinceaux.

AAaaaaah ! ! Vincent !!
quel régal de te lire

comme quoi , il n' est pas toujours nécessaire d' avoir un véhicule de ouf pour se faire plaisir en rallye
.... ceci dit ton Terrano est certainement le plus abouti que je connaisse