Une rivière peu profonde qui longe la plage. Je dessend, sonde le terrain..de l'eau jusqu'au niveau du haut de la jante, et hop...je passe...et fier avec ça...

Semaine suivante.
La même rivière, le même terrain...je passe..jusqu'au moment ou il faut remonter la butte en sable...Tiens mais c'est plus profond que la dernière fois ?... de l'eau jusqu' aux portières..vite, marche arrière, je recule et...m'ensable dans du mou. Rien à faire.
Il a plu copieusement les jours précédents et l'eau a creusé sur le fond...
Pas d'arbre pour attacher...pas de treuil non plus de toutes façons...

Excès de confiance... j'appelle mon cousin Pompier qui vient avec un ami et son Navarra pour me sortir de ce mauvais pas.
Evidemment, il y avait attroupement... Alors, on a oublié son cerveau ?..
Je vous fais grâce des quolibets divers et variés...
Mais :
1 / après vérification que le filtre à air était au dessus de la surface de l'eau (ouf!) le T2 a démarré à la stupéfaction générale de l'attroupement...
2/ 3 mètres cubes d'eau se sont répandus sur les pieds des spectateurs quand j'ai ouvert les portières..
3/ séchage sommaire..et ..En avant pour de nouvelles aventures...
Un grand merci à Jean-Luc et à Joseph qui ont interrompu leur apéro pour me sortir de là...
