Centres de soins faune sauvage en détresse
Posté : dim. nov. 20, 2022 10:39 am
Hier, je suis allé pour la première fois voir mon fils sur son lieux de travail dont il occupe le poste de responsable dans un centre de soins en basse Normandie aux alentours de Lisieux.
Capacitaire de certaines espèces animales et ayant travaillé dans des zoo, parc animaliers…, il a désiré se rendre utile auprès des animaux blessés de la faune sauvage plutôt que continuer dans cette voie de présentation au public ou reproduction par désire de se sentir plus utile.
Ce que je trouvais merveilleux jusqu’à hier matin à cédé la place à une immense tristesse à la vue de ces animaux diminués dans l’attente du verdict pour retrouver la liberté dont la condition est de voler, courir, sans être imprégné de l’homme afin de retrouver leurs instincts et autonomie.
Je dois admettre être admiratif de la pugnacité de ces soignants qui permettent de donner une chance de survie à ces naufragés dans ces conditions de sous effectifs, de manque de moyens financiers, d’infrastructures, voir de Bénévoles pour l’entretien ou la création/modification des espaces alloués au bien être des rescapés.
Pour faire court, si des locaux possèdent des tôles de bardage, du grillage, fil de fer, profilés aciers, des filets…dont ils ne se servent pas, et/ou tout ce qui pourrait consolider, agrandir, entretenir les cages, volières et infrastructures, soyez certain qu’ils seraient bien employés dans ces centres dont les besoins sont énormes.
Hier, le temps d’une journée, 2 de ses pensionnaires sont morts, 1 buse ainsi qu’une pie, dans quelques jours il relâchera un cygne ainsi que des oiseaux de proies.
N’oublions pas que beaucoup de ces animaux sont récupérés blessés ou malade sur fond d’activité de l’homme, sans aucun désir de polémiquer!
Merci de m’avoir lu.
Capacitaire de certaines espèces animales et ayant travaillé dans des zoo, parc animaliers…, il a désiré se rendre utile auprès des animaux blessés de la faune sauvage plutôt que continuer dans cette voie de présentation au public ou reproduction par désire de se sentir plus utile.
Ce que je trouvais merveilleux jusqu’à hier matin à cédé la place à une immense tristesse à la vue de ces animaux diminués dans l’attente du verdict pour retrouver la liberté dont la condition est de voler, courir, sans être imprégné de l’homme afin de retrouver leurs instincts et autonomie.
Je dois admettre être admiratif de la pugnacité de ces soignants qui permettent de donner une chance de survie à ces naufragés dans ces conditions de sous effectifs, de manque de moyens financiers, d’infrastructures, voir de Bénévoles pour l’entretien ou la création/modification des espaces alloués au bien être des rescapés.
Pour faire court, si des locaux possèdent des tôles de bardage, du grillage, fil de fer, profilés aciers, des filets…dont ils ne se servent pas, et/ou tout ce qui pourrait consolider, agrandir, entretenir les cages, volières et infrastructures, soyez certain qu’ils seraient bien employés dans ces centres dont les besoins sont énormes.
Hier, le temps d’une journée, 2 de ses pensionnaires sont morts, 1 buse ainsi qu’une pie, dans quelques jours il relâchera un cygne ainsi que des oiseaux de proies.
N’oublions pas que beaucoup de ces animaux sont récupérés blessés ou malade sur fond d’activité de l’homme, sans aucun désir de polémiquer!
Merci de m’avoir lu.