Petite balade en Lozère par une belle journée de mai !
Posté : dim. mai 09, 2021 6:23 pm
Avec le printemps et la liberté de bouger retrouvée, voici quelques vues d’une petite virée sur le Causse Méjean en Lozère à la recherche de quelques pistes et mégalithes qu’on n’avait pas encore découverts.
On aurait pu fêter les 200.000 km au compteur de notre Panda sur le Causse mais non ! On frôle à peine les 199.000 !!! Dommage, ç’aurait été un bel endroit !
On se retrouve dans la partie nord du causse, celle qui n’est pas dans le Parc national. Les pistes sont bien roulantes et sans aucune poussière vu les averses récentes.
Les orchidées sauvages sont assez fréquentes dans ce coin.
Un site de pulsatilles rouges !
Cette partie du parcours est bien agréable pour l’œil ! Du vert et du jaune à gogo !
Direction notre 1er dolmen inconnu et, surprise, on peut y aller sans avoir à faire une longue marche, le sentier de la carte étant en fait une piste carrossable entièrement herbue.
Notre fidèle Panda tourne toujours comme une horloge !
Dans cette partie du causse, on rencontre souvent ces barrières métalliques autrement plus faciles à ouvrir et refermer que les anciens portails bricolés maison. Mais moins charmants !
Ma fidèle coéquipière à la recherche de plantes et insectes ! Ici, la quête est fructueuse avec l’adonis écarlate endémique du causse et un charançon à identifier.
Sur le haut du versant dominant les Gorges du Tarn, les pistes sont parfois moins roulantes et des fois, on ne sait plus où aller !
Dans ce secteur où se trouve le point culminant des « sommets » du nord du causse, on peut quand même rencontrer des pentes à 20% ! Le sommet est coiffé d’une antenne. Pour y accéder, il faut « oublier »un vieux panneau en grande partie effacé qui en réserve l’accès aux seuls riverains (il n’y en a aucun !!!) et ouvrir une barrière à l’ancienne qui pèse une tonne !
Nous rencontrons la dame-d'onze-heures ! Plus sympa comme nom qu'ornithogale à ombelle !!
Nous sommes maintenant sur une piste herbeuse menant à notre second dolmen recherché.
Un seul arrêt et hop ! Une photo d’insecte en plus ! Ici, une cicindèle !
Certaines pistes forestières côté Tarn sont encore autorisées mais, mauvaise surprise, une de mes « anciennes » ne l’est plus ! Une perte compensée par la "réouverture" de celle descendant du causse à Quézac.
De retour sur le causse, on reçoit la visite d’un beau renard qui se laisse photographier !
On finit notre journée à Florac dont j’adore le centre-village très calme avec les bars et restos fermés. Quand on sait que ce gros village est la sous-préfecture de la Lozère, je me suis posé la question de savoir s’il y avait une sous-préfecture moins peuplée en France ! Recherche faite, j’avais bien vu car, avec 2000 habitants, c’est la 232ème sur 233 !!! Seule Castellane dans les Alpes-de-Haute-Provence est encore moins peuplée (1500 hab !) !!!
La Lozère nous a offert une nouvelle superbe journée ! Mais, bon pour les 200.000 km de la Panda, je sens que ça va être dans les Alpes pour le week-end de l'Ascension !
On aurait pu fêter les 200.000 km au compteur de notre Panda sur le Causse mais non ! On frôle à peine les 199.000 !!! Dommage, ç’aurait été un bel endroit !
On se retrouve dans la partie nord du causse, celle qui n’est pas dans le Parc national. Les pistes sont bien roulantes et sans aucune poussière vu les averses récentes.
Les orchidées sauvages sont assez fréquentes dans ce coin.
Un site de pulsatilles rouges !
Cette partie du parcours est bien agréable pour l’œil ! Du vert et du jaune à gogo !
Direction notre 1er dolmen inconnu et, surprise, on peut y aller sans avoir à faire une longue marche, le sentier de la carte étant en fait une piste carrossable entièrement herbue.
Notre fidèle Panda tourne toujours comme une horloge !
Dans cette partie du causse, on rencontre souvent ces barrières métalliques autrement plus faciles à ouvrir et refermer que les anciens portails bricolés maison. Mais moins charmants !
Ma fidèle coéquipière à la recherche de plantes et insectes ! Ici, la quête est fructueuse avec l’adonis écarlate endémique du causse et un charançon à identifier.
Sur le haut du versant dominant les Gorges du Tarn, les pistes sont parfois moins roulantes et des fois, on ne sait plus où aller !
Dans ce secteur où se trouve le point culminant des « sommets » du nord du causse, on peut quand même rencontrer des pentes à 20% ! Le sommet est coiffé d’une antenne. Pour y accéder, il faut « oublier »un vieux panneau en grande partie effacé qui en réserve l’accès aux seuls riverains (il n’y en a aucun !!!) et ouvrir une barrière à l’ancienne qui pèse une tonne !
Nous rencontrons la dame-d'onze-heures ! Plus sympa comme nom qu'ornithogale à ombelle !!
Nous sommes maintenant sur une piste herbeuse menant à notre second dolmen recherché.
Un seul arrêt et hop ! Une photo d’insecte en plus ! Ici, une cicindèle !
Certaines pistes forestières côté Tarn sont encore autorisées mais, mauvaise surprise, une de mes « anciennes » ne l’est plus ! Une perte compensée par la "réouverture" de celle descendant du causse à Quézac.
De retour sur le causse, on reçoit la visite d’un beau renard qui se laisse photographier !
On finit notre journée à Florac dont j’adore le centre-village très calme avec les bars et restos fermés. Quand on sait que ce gros village est la sous-préfecture de la Lozère, je me suis posé la question de savoir s’il y avait une sous-préfecture moins peuplée en France ! Recherche faite, j’avais bien vu car, avec 2000 habitants, c’est la 232ème sur 233 !!! Seule Castellane dans les Alpes-de-Haute-Provence est encore moins peuplée (1500 hab !) !!!
La Lozère nous a offert une nouvelle superbe journée ! Mais, bon pour les 200.000 km de la Panda, je sens que ça va être dans les Alpes pour le week-end de l'Ascension !
