DEATH VALLEY, la Vallée de la Mort ......... en fourgon de plombier !
Posté : sam. oct. 06, 2018 5:31 pm
Bonjour les amis 
L’année dernière nous avions partagé avec vous notre découverte du désert le plus chaud du monde près des frontières de l’Afghanistan :
viewtopic.php?t=162984-DASHT-E-LUT-l-en ... -plombier-!
Cette année, d’après les climatologues, nous avons roulé sur le second site le plus brûlant de la planète, au sud de la Californie.
Merci aux américains rencontrés pour leurs précieux conseils
Organiser la visite sur 2 jours, éviter les heures les plus chaudes pour les balades,
aborder le secteur d'Artist's Drive en fin d'après-midi.
Puis passer la nuit au campground du National Park.
Le lendemain, refaire les pleins d’eau avant d’enchaîner Zabriskie Point, Badwater Basin, et les lacs salés.
Pour ceux qui veulent des infos sur les USA avec son véhicule,
cet hiver je prendrai le temps de vous faire un compte-rendu.
Inutile de me questionner maintenant
Les photos suivent exactement notre parcours.
1. En approchant Death Valley, on est tout de suite plongé dans la réalité de conditions climatiques extrêmes.
On découvre des villes fantômes, désertes, abandonnées depuis la fin du XIX ème siècle.
2. Certaines sont restées dans le même état, loin de l'ambiance Disney des reconstitutions de villages de l’Ouest pour touristes.
3. On entre ensuite dans le périmètre du Park en suivant bien sûr les recommandations de sécurité.
Des provisions d’eau potable, rouler sur les pistes autorisées, ne pas s’éloigner du véhicule en cas de panne ……
4. Au nord de la vallée, de vastes étendues de sable dont on se demande comment les pionniers en chariots les traversaient !
5. Puis en s’enfonçant dans la vallée, la végétation disparaît complètement.
Plus d’herbe, plus d’arbres, rien !
6. On continue la route autorisée en essayant de trouver un coin protégé pour s’arrêter.
Impossible et il fait 44 degrés à l’ombre, 53 degrés derrière le pare-brise du Trafic !
7. La chaleur est telle que le goudron se dégrade très vite obligeant les autorités du Park à refaire régulièrement la chaussée.
Comme ici où en avril nous roulons sur un tronçon rénové le mois précédent.
8. En fin d’après-midi, nous arrivons enfin dans le magnifique secteur d’Artist Point.
9. On se gare pour une courte randonnée en suivant attentivement le parcours balisé.
La température sous abri est de 45 degrés !
10. Puis nous reprenons la route vers le campground du National Park.
11. On s’installe et on attend que la température baisse.
Mais, lorsque la nuit tombe, il fait toujours plus de 40 degrés avec un vent très chaud
qui donne l'impression d'être dans un sèche-cheveux géant !
12. Le lendemain matin, départ à 5 heures pour être à Zabriskie Point au lever du jour.
13. Déjà, les premiers rayons dessinent les reliefs.
14. Puis, progressivement, les formes sculptées par l'érosion se distinguent dans un ensemble exceptionnel,
bien plus que ne le montrent les photos prises avec nos petits compacts.
15. Fascinés par ce spectacle, nous restons un long moment à contempler ce tableau unique.
16. Nous descendons ensuite découvrir Badwater Basin.
C'est une première pour nous, nous n'avions jamais roulé à une telle profondeur sous le niveau des mers.
Moins 344 feet exactement !
17. C’est face à ces immensités désertiques d’une hostilité absolue que l’on se rend compte du calvaire enduré
par les convois de pionniers avec femmes, enfants, outils, provisions ….. juchés sur des chariots aux roues en bois !
18. Puis nous découvrons un lac salé traversé par une piste bien visible.
N’ayant jamais roulé sur ce type de terrain, je suivrai prudemment les traces !
19. En fin d’après-midi, nous prenons un peu de hauteur et sortons enfin de l’immense cuvette que constitue Death Valley.
20. En soirée, nous quittons le Park et trouvons un bivouac avec enfin un peu d’ombre.
Mais aucune fraîcheur, toujours plus de 40 degrés à la tombée de la nuit !
Le lendemain, nous découvrirons un autre monde, à des années-lumière de Death Valley, LAS VEGAS !
Voila
Ceux qui veulent s'initier à la pratique du fourgon de plombier peuvent consulter notre page Web :
TRAFIC LIFE, un fourgon d'artisan sur 4 continents
Cordialement
Sylvie & Bernard
L’année dernière nous avions partagé avec vous notre découverte du désert le plus chaud du monde près des frontières de l’Afghanistan :
viewtopic.php?t=162984-DASHT-E-LUT-l-en ... -plombier-!Cette année, d’après les climatologues, nous avons roulé sur le second site le plus brûlant de la planète, au sud de la Californie.
Merci aux américains rencontrés pour leurs précieux conseils
Organiser la visite sur 2 jours, éviter les heures les plus chaudes pour les balades,
aborder le secteur d'Artist's Drive en fin d'après-midi.
Puis passer la nuit au campground du National Park.
Le lendemain, refaire les pleins d’eau avant d’enchaîner Zabriskie Point, Badwater Basin, et les lacs salés.
Pour ceux qui veulent des infos sur les USA avec son véhicule,
cet hiver je prendrai le temps de vous faire un compte-rendu.
Inutile de me questionner maintenant
Les photos suivent exactement notre parcours.
1. En approchant Death Valley, on est tout de suite plongé dans la réalité de conditions climatiques extrêmes.
On découvre des villes fantômes, désertes, abandonnées depuis la fin du XIX ème siècle.
2. Certaines sont restées dans le même état, loin de l'ambiance Disney des reconstitutions de villages de l’Ouest pour touristes.
3. On entre ensuite dans le périmètre du Park en suivant bien sûr les recommandations de sécurité.
Des provisions d’eau potable, rouler sur les pistes autorisées, ne pas s’éloigner du véhicule en cas de panne ……
4. Au nord de la vallée, de vastes étendues de sable dont on se demande comment les pionniers en chariots les traversaient !
5. Puis en s’enfonçant dans la vallée, la végétation disparaît complètement.
Plus d’herbe, plus d’arbres, rien !
6. On continue la route autorisée en essayant de trouver un coin protégé pour s’arrêter.
Impossible et il fait 44 degrés à l’ombre, 53 degrés derrière le pare-brise du Trafic !
7. La chaleur est telle que le goudron se dégrade très vite obligeant les autorités du Park à refaire régulièrement la chaussée.
Comme ici où en avril nous roulons sur un tronçon rénové le mois précédent.
8. En fin d’après-midi, nous arrivons enfin dans le magnifique secteur d’Artist Point.
9. On se gare pour une courte randonnée en suivant attentivement le parcours balisé.
La température sous abri est de 45 degrés !
10. Puis nous reprenons la route vers le campground du National Park.
11. On s’installe et on attend que la température baisse.
Mais, lorsque la nuit tombe, il fait toujours plus de 40 degrés avec un vent très chaud
qui donne l'impression d'être dans un sèche-cheveux géant !
12. Le lendemain matin, départ à 5 heures pour être à Zabriskie Point au lever du jour.
13. Déjà, les premiers rayons dessinent les reliefs.
14. Puis, progressivement, les formes sculptées par l'érosion se distinguent dans un ensemble exceptionnel,
bien plus que ne le montrent les photos prises avec nos petits compacts.
15. Fascinés par ce spectacle, nous restons un long moment à contempler ce tableau unique.
16. Nous descendons ensuite découvrir Badwater Basin.
C'est une première pour nous, nous n'avions jamais roulé à une telle profondeur sous le niveau des mers.
Moins 344 feet exactement !
17. C’est face à ces immensités désertiques d’une hostilité absolue que l’on se rend compte du calvaire enduré
par les convois de pionniers avec femmes, enfants, outils, provisions ….. juchés sur des chariots aux roues en bois !
18. Puis nous découvrons un lac salé traversé par une piste bien visible.
N’ayant jamais roulé sur ce type de terrain, je suivrai prudemment les traces !
19. En fin d’après-midi, nous prenons un peu de hauteur et sortons enfin de l’immense cuvette que constitue Death Valley.
20. En soirée, nous quittons le Park et trouvons un bivouac avec enfin un peu d’ombre.
Mais aucune fraîcheur, toujours plus de 40 degrés à la tombée de la nuit !
Le lendemain, nous découvrirons un autre monde, à des années-lumière de Death Valley, LAS VEGAS !
Voila
Ceux qui veulent s'initier à la pratique du fourgon de plombier peuvent consulter notre page Web :
TRAFIC LIFE, un fourgon d'artisan sur 4 continentsCordialement
Sylvie & Bernard
