Eté 2016 Portugal
Posté : dim. nov. 27, 2016 5:54 pm
Salut à tous,
Un petit retour sur notre été 2016 au Portugal.
Départ le 22 aout 2016 :
Il fait beau et chaud, le véhicule est lourd. Première panne, l’afficheur des centaines de kilomètre HS
. A 99 km/h le véhicule commence à vibrer à 110km/h ca vibre moins. Les pneus vont s’user et d’après la théorie qui s’est avérée vraie, la vibration aura disparue après 2000km. 
Depuis 1H30 nous cherchons une boulangerie ouverte mais nous cumulons deux handicaps : lundi + mois d’aout.
Dans le Doubs nous avons trouvé un distributeur avec l’avant dernier pain (très bon). Puis nous traversons L’isle sur le Doubs. Le quartier par lequel nous entrons dans le bourg est complètement désaffecté, mais le long du Doubs c’est bien plus riant.
Avons mangé à 12H10 à Deluz. Nous longeons le Doubs direction Besançon. Nous roulons vers le sud. Malgré 24°C extérieur, il fait très chaud dans le véhicule. A 15H45 nous faisons une halte à Paray le Monial. Badigeon intérieur jaune et blanc n’est pas plaisant. Edifice vide
L'extérieur est splendide. 
Arrivons à Riom. Nous arrivons au Camping assez tard. Premier essai de la tente de toit.
23 aout
7H19, le soleil est levé, nous allons partir, camping très calme, il fait frais.
Petit déjeuné après les achats à Mozac. Vu sur le puy du Dômes
Les vaches du Salers ont la belle vie. Elles pâturent sur des prés d’herbes fraiches et se couchent à l’ombre des arbres. Nous on crève de chaud dans l’habitacle. Mais la chaleur est tempérée par l’altitude 700 à 800m
Repas à La Feuillade en Vézie. Nous roulons dans l’Aveyron. Longeons le Lot . Nous avons traversé Entrayge, magnifique bourgade. Nous entrons dans les gorges du Lot. Avons traversé la morne plaine vers Toulouse. Avons fui les Landes. Sommes ressorti dans le Béarn ou nous avons trouvé heureusement un camping rempli d’Anglais et de Hollandais. Camping très bien.
24 aout 2016
Avons fait les courses à Saint Jean Pied de Port que nous commençons à bien connaître. Sommes passé en Espagne. Avons suivi un camion jusqu’à la Passe de Ronceveau. Nous longeons le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Il fait 24°C à l’extérieur et très beau. Nous nous dirigeons vers Pamplune. Avant Pamplune avons mangé à Antxoriz. Village sans ombre tout est sec.
Pamplune : glacis d’immeubles rouges et propres. Nous nous dirigeons vers Vitoria/Gasteiz. Roulons entre des chaines de massifs plus ou moins élevés. Nous entrons dans la Sierra Leone par une route secondaire longée de champs de tournesols et de paille de blé. Nous rentrons sur un plateau accidenté. Traverssé la Siera par le défilé de Pancorbo. Arrivons à Valladolid pour y faire le plein.
Nous rencontrons le début de notre trace à Cernadilla (en Galice).
Nous arrivons sur un bel air de bivouac en prenant une via agricola défoncée : terre en friche, herbe folles blondes, au dessus d’un plan d’eau. Endroit tranquille et bucolique. Dans la nuit nous entendons un orage au loin.
L’accès à l’eau a été compromis par la végétation, les genets ont envahi le sentier
25 aout 2016
Passons par Puebla de Sanabria. Nous avons traversé le rio Terra et montons vers la Sierra secondera. Nous nous dirigeons vers le Monte Sinho. La Sierra me semble granitique et schisteuse.
On est sur un presque plateau, sur la droite le Monte Sinho. On prend notre piste à 5km de la frontière. On arrive à la frontière hispano portugaise à Rihonor de castilla.
Une borne granitique marque la frontière. Le village est séparé en deux : un coté en Espagne l’autre côté Portugal. Paysage, les montagnes ici sont comme des montagnes fessues couvertes de végétation sèche et basse. Petit chêne épineux, chêne rouvre. Nous grimpons un petit chemin caillouteux
Fine odeur de pin Sylvestre. Nous évoluons à travers les vallons de pins et débouchons sur un plateau qui offre une vue sur la vallée de Bragança.
Champs de blés fauchés. Ici les monts sont plus écrasés.
Coteaux de vignes pas très taillés, et pas attachés. Oliveraies dans de petites parcelles
Avons mangé à Braganàça une morue. Reprenons une route goudronnée. Nous montons dans la Sierra Nogueira. Nous nous dirigeons vers un belvédère et un sanctuaire. Déception, ce que nous pensions être une lunette astronomique sur la montagne , se révèle être une grosse antenne parabolique : grosse oreille.
Après belle vue sur l’ouest, des collines sur lesquelles serpentes des chemins.
Le frein à main est hors service.
Pas grave, on ne répare pas, on se débrouillera sans lui.
Nous nous arrêtons à une fontaine érigée en 2004 par des jeunes. Merci. Ça nous a permis de laver le linge
Deux villages devant nous Negreda et Celas. Nous sommes sur Sierra de Nogeuira. On roule direction sud , sud ouest
Nous traversons Cabanatas. Nous roulons plein sud le long d’une belle châtaigneraie. Traversons Villa de Ouro : charmant petit hameau aux maisons disséminées sur les coteaux. De gros cumulus se forment : orage en perspective. Arrivons dans Soutelo Mourislo. Beau lavoir encore en usage. Voyons beaucoup de ruines à vendre.
Arrivons à Bourende
Nous évoluons à plus de 1000m dans la Sierra de Nogueira. Ici monoculture de châtaignier. Par longue route goudronnée arrivons à la base nautique du lac Azibo. Des gardes obstruent le passage du chemin que nous aurions dû prendre. Discrètement nous prenons un autre petit chemin plus haut. Malgré la poudre de terre nous ne laissons pas de panache. Petite vitesse
Puis nous retrouvons la piste plus loin avec barrage de Azibo.
Malheureusement la piste débouche sur un B0. Nous retournons sur le pont de l’autoroute. Orage en préparation. Direction est , sud est
On rentre dans une bourgade Maseda de Cavaleiros. De waytpoints en waypoints on se rapproche de notre piste. On a retrouvé la piste on se dirige vers la sierra de bornes. Nous nous dirigeons vers le sommet des crêtes semé d’éoliennes. Il pleut maintenant. Pluies à grosse goute. Il est dit sur l’écriteau qu’il faut s’éloigner des éoliennes en cas d’orage.
La foudre peut être attirée par les mâts et pourrait charger de sol sec. D’où risque si on est piéton non isolé du sol.
Nous avons encore la moitié du parc éolien à passer. Le point d’arrêt programmé n’est pas spécialement chouette. La pluie a cessé. Nous sommes à plus de 1100m d’altitude
On s’arrête sur le chemin. On essaye de descendre vers un baragem. On s’arrête sur un méplat non loin d’un poteau électrique genre 20000V. La foudre a frappé la ligne. L’isolateur du poteau s’est mis à bruler. Une partie de l’énergie électrique est descendu dans le mat et nous a chatouillé lorsque j’ai pris l’échelle en alu en main : (Echelle de tente de toit). Nous avons rangé nos affaires en quatrième vitesse et sommes parti de cet endroit. Nous nous sommes perdu. Recherchions désespérément une chambre d’hôtel dans la ville la plus proche. Malheureusement tout était complet. Sommes revenu sur nos pas en pensant que l’orage ne tape pas deux fois au même endroit. Avons trouvé refuge sur une aire avec une petite chapelle. Avons essuyé orage, vent et pluie, beaucoup de vent toute la nuit.
Ici ils labourent la terre au Katerpilard
26 aout 2016
Départ tardif à 11H36 (heure française) sommes fatigué. Traversons Villares Davalarica. Village aux pentes très raides. Les gens balayent et déblaient les coulées de boues et les routes pleines de cailloux duent à l'orage de hier soir..
Du fenouil sauvage fouette la tôle du 4x4. Plantation d’olivier. Parfois des maisons désaffectées
Grimpons sud est sur Alto da vinha. Nous voyons nos premiers eucalyptus. Jeunes chênes lièges.
La topographie est vallonnée et collines serrées. Fine odeur d’eucalyptus. Grimpons vers le sud. Altitude 500m. Aujourd’hui routes pas poussiéreuses : la pluie à rendue les chemins boueux.
Refuge du 25 aout au soir : Le passage dans le coffrage sous l’autoroute.
Nous redescendons de l’alto da vihia pour rejoindre la grande plaine. Bel assemblage de rangées de vignes alternant avec des parcelles d’oliviers.
Arrêt repas sur un endroit presque plan.
Plus loin plus de piste. Une route récente vient de traverser en contre bas la piste. Nous devons retourner vers Lodoes et recherchons la suite de la trace en nous dirigeant vers le sud ouest. Retrouvons la piste plus loin mais celle-ci s’arrête à nouveau à cause d’une autoroute qui vient d’être construite. Photo depuis hauteur du village de Nabo. Après la vigne nous montons dans un village en ruine abandonné.
Le chemin se poursuit entre deux vieilles murailles jusqu’à Seisodmanhoses Nous arrivons sur un plateau Santa Cecilia avec fontaine plus petite chapelle.
Le chemin passe par Condoso, bourgade moderne. Toujours pas de ravitaillement possible. Après ce village le paysage change. On va vers la vallée du Dourot : vignes en terrasse.
Nous traversons Castahero donorte. Les vignes épousent les lignes de niveaux. Elles sont cultivées en lacet. Aussi loin que porte le regard, que des vignes. Le raisin est presque à maturité. Nous sommes dans le haut Dourot.
Un petit retour sur notre été 2016 au Portugal.

Départ le 22 aout 2016 :
Il fait beau et chaud, le véhicule est lourd. Première panne, l’afficheur des centaines de kilomètre HS


Depuis 1H30 nous cherchons une boulangerie ouverte mais nous cumulons deux handicaps : lundi + mois d’aout.
Dans le Doubs nous avons trouvé un distributeur avec l’avant dernier pain (très bon). Puis nous traversons L’isle sur le Doubs. Le quartier par lequel nous entrons dans le bourg est complètement désaffecté, mais le long du Doubs c’est bien plus riant.
Avons mangé à 12H10 à Deluz. Nous longeons le Doubs direction Besançon. Nous roulons vers le sud. Malgré 24°C extérieur, il fait très chaud dans le véhicule. A 15H45 nous faisons une halte à Paray le Monial. Badigeon intérieur jaune et blanc n’est pas plaisant. Edifice vide


Arrivons à Riom. Nous arrivons au Camping assez tard. Premier essai de la tente de toit.
23 aout
7H19, le soleil est levé, nous allons partir, camping très calme, il fait frais.
Petit déjeuné après les achats à Mozac. Vu sur le puy du Dômes
Les vaches du Salers ont la belle vie. Elles pâturent sur des prés d’herbes fraiches et se couchent à l’ombre des arbres. Nous on crève de chaud dans l’habitacle. Mais la chaleur est tempérée par l’altitude 700 à 800m
Repas à La Feuillade en Vézie. Nous roulons dans l’Aveyron. Longeons le Lot . Nous avons traversé Entrayge, magnifique bourgade. Nous entrons dans les gorges du Lot. Avons traversé la morne plaine vers Toulouse. Avons fui les Landes. Sommes ressorti dans le Béarn ou nous avons trouvé heureusement un camping rempli d’Anglais et de Hollandais. Camping très bien.
24 aout 2016
Avons fait les courses à Saint Jean Pied de Port que nous commençons à bien connaître. Sommes passé en Espagne. Avons suivi un camion jusqu’à la Passe de Ronceveau. Nous longeons le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Il fait 24°C à l’extérieur et très beau. Nous nous dirigeons vers Pamplune. Avant Pamplune avons mangé à Antxoriz. Village sans ombre tout est sec.
Pamplune : glacis d’immeubles rouges et propres. Nous nous dirigeons vers Vitoria/Gasteiz. Roulons entre des chaines de massifs plus ou moins élevés. Nous entrons dans la Sierra Leone par une route secondaire longée de champs de tournesols et de paille de blé. Nous rentrons sur un plateau accidenté. Traverssé la Siera par le défilé de Pancorbo. Arrivons à Valladolid pour y faire le plein.
Nous rencontrons le début de notre trace à Cernadilla (en Galice).
Nous arrivons sur un bel air de bivouac en prenant une via agricola défoncée : terre en friche, herbe folles blondes, au dessus d’un plan d’eau. Endroit tranquille et bucolique. Dans la nuit nous entendons un orage au loin.
L’accès à l’eau a été compromis par la végétation, les genets ont envahi le sentier
25 aout 2016
Passons par Puebla de Sanabria. Nous avons traversé le rio Terra et montons vers la Sierra secondera. Nous nous dirigeons vers le Monte Sinho. La Sierra me semble granitique et schisteuse.
On est sur un presque plateau, sur la droite le Monte Sinho. On prend notre piste à 5km de la frontière. On arrive à la frontière hispano portugaise à Rihonor de castilla.
Une borne granitique marque la frontière. Le village est séparé en deux : un coté en Espagne l’autre côté Portugal. Paysage, les montagnes ici sont comme des montagnes fessues couvertes de végétation sèche et basse. Petit chêne épineux, chêne rouvre. Nous grimpons un petit chemin caillouteux
Fine odeur de pin Sylvestre. Nous évoluons à travers les vallons de pins et débouchons sur un plateau qui offre une vue sur la vallée de Bragança.
Champs de blés fauchés. Ici les monts sont plus écrasés.
Coteaux de vignes pas très taillés, et pas attachés. Oliveraies dans de petites parcelles
Avons mangé à Braganàça une morue. Reprenons une route goudronnée. Nous montons dans la Sierra Nogueira. Nous nous dirigeons vers un belvédère et un sanctuaire. Déception, ce que nous pensions être une lunette astronomique sur la montagne , se révèle être une grosse antenne parabolique : grosse oreille.

Après belle vue sur l’ouest, des collines sur lesquelles serpentes des chemins.
Le frein à main est hors service.

Nous nous arrêtons à une fontaine érigée en 2004 par des jeunes. Merci. Ça nous a permis de laver le linge
Deux villages devant nous Negreda et Celas. Nous sommes sur Sierra de Nogeuira. On roule direction sud , sud ouest
Nous traversons Cabanatas. Nous roulons plein sud le long d’une belle châtaigneraie. Traversons Villa de Ouro : charmant petit hameau aux maisons disséminées sur les coteaux. De gros cumulus se forment : orage en perspective. Arrivons dans Soutelo Mourislo. Beau lavoir encore en usage. Voyons beaucoup de ruines à vendre.
Arrivons à Bourende
Nous évoluons à plus de 1000m dans la Sierra de Nogueira. Ici monoculture de châtaignier. Par longue route goudronnée arrivons à la base nautique du lac Azibo. Des gardes obstruent le passage du chemin que nous aurions dû prendre. Discrètement nous prenons un autre petit chemin plus haut. Malgré la poudre de terre nous ne laissons pas de panache. Petite vitesse
Puis nous retrouvons la piste plus loin avec barrage de Azibo.
Malheureusement la piste débouche sur un B0. Nous retournons sur le pont de l’autoroute. Orage en préparation. Direction est , sud est
On rentre dans une bourgade Maseda de Cavaleiros. De waytpoints en waypoints on se rapproche de notre piste. On a retrouvé la piste on se dirige vers la sierra de bornes. Nous nous dirigeons vers le sommet des crêtes semé d’éoliennes. Il pleut maintenant. Pluies à grosse goute. Il est dit sur l’écriteau qu’il faut s’éloigner des éoliennes en cas d’orage.
La foudre peut être attirée par les mâts et pourrait charger de sol sec. D’où risque si on est piéton non isolé du sol.
Nous avons encore la moitié du parc éolien à passer. Le point d’arrêt programmé n’est pas spécialement chouette. La pluie a cessé. Nous sommes à plus de 1100m d’altitude
On s’arrête sur le chemin. On essaye de descendre vers un baragem. On s’arrête sur un méplat non loin d’un poteau électrique genre 20000V. La foudre a frappé la ligne. L’isolateur du poteau s’est mis à bruler. Une partie de l’énergie électrique est descendu dans le mat et nous a chatouillé lorsque j’ai pris l’échelle en alu en main : (Echelle de tente de toit). Nous avons rangé nos affaires en quatrième vitesse et sommes parti de cet endroit. Nous nous sommes perdu. Recherchions désespérément une chambre d’hôtel dans la ville la plus proche. Malheureusement tout était complet. Sommes revenu sur nos pas en pensant que l’orage ne tape pas deux fois au même endroit. Avons trouvé refuge sur une aire avec une petite chapelle. Avons essuyé orage, vent et pluie, beaucoup de vent toute la nuit.
Ici ils labourent la terre au Katerpilard
26 aout 2016
Départ tardif à 11H36 (heure française) sommes fatigué. Traversons Villares Davalarica. Village aux pentes très raides. Les gens balayent et déblaient les coulées de boues et les routes pleines de cailloux duent à l'orage de hier soir..
Du fenouil sauvage fouette la tôle du 4x4. Plantation d’olivier. Parfois des maisons désaffectées
Grimpons sud est sur Alto da vinha. Nous voyons nos premiers eucalyptus. Jeunes chênes lièges.
La topographie est vallonnée et collines serrées. Fine odeur d’eucalyptus. Grimpons vers le sud. Altitude 500m. Aujourd’hui routes pas poussiéreuses : la pluie à rendue les chemins boueux.
Refuge du 25 aout au soir : Le passage dans le coffrage sous l’autoroute.
Nous redescendons de l’alto da vihia pour rejoindre la grande plaine. Bel assemblage de rangées de vignes alternant avec des parcelles d’oliviers.
Arrêt repas sur un endroit presque plan.
Plus loin plus de piste. Une route récente vient de traverser en contre bas la piste. Nous devons retourner vers Lodoes et recherchons la suite de la trace en nous dirigeant vers le sud ouest. Retrouvons la piste plus loin mais celle-ci s’arrête à nouveau à cause d’une autoroute qui vient d’être construite. Photo depuis hauteur du village de Nabo. Après la vigne nous montons dans un village en ruine abandonné.
Le chemin se poursuit entre deux vieilles murailles jusqu’à Seisodmanhoses Nous arrivons sur un plateau Santa Cecilia avec fontaine plus petite chapelle.
Le chemin passe par Condoso, bourgade moderne. Toujours pas de ravitaillement possible. Après ce village le paysage change. On va vers la vallée du Dourot : vignes en terrasse.
Nous traversons Castahero donorte. Les vignes épousent les lignes de niveaux. Elles sont cultivées en lacet. Aussi loin que porte le regard, que des vignes. Le raisin est presque à maturité. Nous sommes dans le haut Dourot.