Klug a écrit :Les prix baissent bien, les clones chinois à 200€ semblent tout à fait intéressants pour l'usage ponctuel.
Les softs ne sont pas trop compliqués à prendre en main ?
Tu as essayé un scan 3D puis une reproduction de la pièce scannée ?
C'est "qu'est-ce que je vais faire avec ?" la vraie question que je me pose...
J'ai une chinoiserie à 200€ depuis Décembre 2015, ça marche pas trop mal. C'est bien pour faire du prototypage ou des pièces dont l'esthétique n'est pas primordial.
Il y a plusieurs "étapes", je te le fais en version simplifiée :
0. (une fois) On monte l'imprimante, si c'est une chinoiserie il faut un peu tatonner, mais ça se fait bien. Il faut compter une bonne après-midi.
1. (une fois) On configure l'imprimante. Cette étape est un peu compliqué au début, mais en 2 ou 3 jours j'avais déjà de bon résultat, maintenant j'affine. Une fois les bons réglages atteint, on se garde la configuration qui va bien et qu'on rechargera à chaque fois.
Maintenant j'adapte uniquement la température, épaisseur du filament déposé, etc... en fonction de la pièces (ça prend 30 secondes).
2. (à chaque fois) La fabrication de la pièces en 3D (avec des logiciels tel que autocad (quoi que bof en 3d), solidworks ou même freecad (gratuit) font parfaitement l'affaire)
Il y a bcp de tutoriel pour l'utilisation de freecad, c'est un coup à prendre et pas forcement évident. C'est comme tout ça s'apprend.
Mais au pire si quelqu'un d'en ton entourage fait de la création 3D sur des logiciels industriel. Il te les envois et t'imprime.
===> On sépare le coté création 3D du coté impression.
2bis. On peut télécharger des pièces toutes prêtes sur le net.
3. (à chaque fois) On ouvre son fichier 3D avec un "trancheur", c'est un logiciel qui va permettre de trancher le modèle 3D pour créé le programme qui sera envoyé dans l'imprimante, c'est automatique.
4. (à chaque fois) Go ! et ça imprime.
L'imprimante 3D chez moi elle marche 1x par mois environ. Pendant 2 3 jours je fais pas mal de truc puis j'arrête un moment et ça me reprend le mois d’après
C'est pas essentiel mais tellement indispensable quand on l'a
