Dans l'enfer ou le paradis, disons le purgatoire de l'Adelaide River
Posté : mar. janv. 20, 2015 3:55 pm
Salut à tous
Comme je vous l'avais promis il y a quelques temps, me voici donc sur le forum pour une nouvelle aventure.
Aventure qui a débuté, à la fin de l'année 2011pour l'idée, et qui s'est concrétisée au mois de juin 2012. Aventure qui consistait à descendre la rivière Adélaïde en bateau. Je ne vais pas vous faire un schéma, du bateau et de la rivière, la vidéo vous rendra mieux compte de l'un et de l'autre. J'ajouterai simplement, que la durée de la descente ne devait pas dépasser quinze jours, et qu'il fallait emporter le ravitaillement pour ces deux semaines.
Je vous passerai, les cinq mois de préparation, peut-être y reviendrai je plus tard, nous débuterons donc notre un certain 22 mai 2012.
Aéroport de Nice Côte d'Azur, sur un vol Emirates, direction Brisbane. Vingt-quatre heures de vol plus cinq ou six heures d'escale.
Brisbane, six heures du matin, je prends le bus pour Yandina , petit village situé à 120 km, à l'arrivée, Francis m'attend.
Francis, c'est le gars chez qui je laisse depuis douze ans mon 4x4 et il fait parti de notre aventure.
Le troisième luron de notre Odyssée (oui sais, certains vont dire que j'emploie de grands mots pour de petits faits mais vu que j'ai déjà employé cinq fois, depuis le début, le mot aventure il me fallait trouver autre chose, et le mot Odyssée me semblait tout approprié :-) donc le troisième luron c'est Gilbert, mon bof. Ces deux énergumènes, soixante-cinq ans et pas toutes leurs dents ont la double nationalité française et australienne, ils habitent cette île continent depuis les années soixante-quinze. Gilbert est le géniteur de cette idée, le principal préparateur de cette odyssée est le chef entre guillemets de notre épopée.
Je mettrai un peu plus tard en ligne les photos de cette préparation.
Donc nous voici àYandina à 120 km de Brisbane et nous prenons la route pour Darwin dans le North Territory qui se trouve 4500 km plus loin. Après cinq jours de route nous voici à Darwin où nous restons deux jours pour peaufiner nos préparatifs, achat de matériel de camping, ravitaillement etc,,,etc
Comme dans tout voyage bien préparé, il incombe que la tâche de chacun soit bien spécifiée.
Pour Francis, tout ce qui était mécanique (il y en avait très peu) électronique (panneaux solaires batteries) et pagayer.
Pour Gilbert, vu qu'il avait habité la région pendant trente ans, il c'était, on l'avait, auto et proclame capitaine mais il devait aussi pagayer.
Pour moi, gérer le ravitaillement, faire la tambouille, prendre le maximum de photos et de vidéos et comme tous les autres, pagayer.
La moyenne d'âge de cet équipage était à l'époque de soixante-cinq ans. Moyenne très facile à faire car nous avions chacun soixante-cinq ans ce qui donne la formule
(65+65+65*) /3= 65 les maths ça toujours été mon fort.
Déroulement d'une journée :
Le mois de juin, dans l'hémisphère austral est le début de l'hiver. Il commence à faire jour vers les sept heures et la nuit tombe vers dix-sept heures, il ne faut pas oublier que nous sommes 12° en dessous de l'Équateur, le jour se lève très vite et la nuit en fait de même.
Donc lever vers six heures du matin, petit déjeuner et démontage du camp à la frontale, puis départ,
Aux alentours de midi, casse-croûte sur le pouce.
Vers quinze heures, montage du bivouac*; préparation de la bouffe et pêche.
Soirée au coin du feu et vers vingt heures au dodo.
Et ainsi de suite pendant deux semaines.
Je vais arrêter là mon bla-bla et vous présentez succinctement la première vidéo.
Le film que nous en avons tiré dure 1h25, il aurait pu durer dix heures. Donc j'ai partitionné la vidéo en dix épisodes que je mettrai en ligne au fur et à mesure.
Le fil du film est basé sur mes commentaires, étant donné que mes deux acolytes n'étaient pas très prolixes en paroles je me suis permis de parler pour eux et même des fois plus. Alors je ne serai pas vexé du tout si de temps en temps il vous arrivait de baisser le son.
Vous remarquerez aussi que parfois tout en filmant il fallait donner un coup de main, ce que j'ai fait, et avec plaisir. Je ne me suis pas toujours réfugié derrière le viseur de l'appareil photo.
Ceci dit, voici la première vidéo.
.
Comme je vous l'avais promis il y a quelques temps, me voici donc sur le forum pour une nouvelle aventure.
Aventure qui a débuté, à la fin de l'année 2011pour l'idée, et qui s'est concrétisée au mois de juin 2012. Aventure qui consistait à descendre la rivière Adélaïde en bateau. Je ne vais pas vous faire un schéma, du bateau et de la rivière, la vidéo vous rendra mieux compte de l'un et de l'autre. J'ajouterai simplement, que la durée de la descente ne devait pas dépasser quinze jours, et qu'il fallait emporter le ravitaillement pour ces deux semaines.
Je vous passerai, les cinq mois de préparation, peut-être y reviendrai je plus tard, nous débuterons donc notre un certain 22 mai 2012.
Aéroport de Nice Côte d'Azur, sur un vol Emirates, direction Brisbane. Vingt-quatre heures de vol plus cinq ou six heures d'escale.
Brisbane, six heures du matin, je prends le bus pour Yandina , petit village situé à 120 km, à l'arrivée, Francis m'attend.
Francis, c'est le gars chez qui je laisse depuis douze ans mon 4x4 et il fait parti de notre aventure.
Le troisième luron de notre Odyssée (oui sais, certains vont dire que j'emploie de grands mots pour de petits faits mais vu que j'ai déjà employé cinq fois, depuis le début, le mot aventure il me fallait trouver autre chose, et le mot Odyssée me semblait tout approprié :-) donc le troisième luron c'est Gilbert, mon bof. Ces deux énergumènes, soixante-cinq ans et pas toutes leurs dents ont la double nationalité française et australienne, ils habitent cette île continent depuis les années soixante-quinze. Gilbert est le géniteur de cette idée, le principal préparateur de cette odyssée est le chef entre guillemets de notre épopée.
Je mettrai un peu plus tard en ligne les photos de cette préparation.
Donc nous voici àYandina à 120 km de Brisbane et nous prenons la route pour Darwin dans le North Territory qui se trouve 4500 km plus loin. Après cinq jours de route nous voici à Darwin où nous restons deux jours pour peaufiner nos préparatifs, achat de matériel de camping, ravitaillement etc,,,etc
Comme dans tout voyage bien préparé, il incombe que la tâche de chacun soit bien spécifiée.
Pour Francis, tout ce qui était mécanique (il y en avait très peu) électronique (panneaux solaires batteries) et pagayer.
Pour Gilbert, vu qu'il avait habité la région pendant trente ans, il c'était, on l'avait, auto et proclame capitaine mais il devait aussi pagayer.
Pour moi, gérer le ravitaillement, faire la tambouille, prendre le maximum de photos et de vidéos et comme tous les autres, pagayer.
La moyenne d'âge de cet équipage était à l'époque de soixante-cinq ans. Moyenne très facile à faire car nous avions chacun soixante-cinq ans ce qui donne la formule
(65+65+65*) /3= 65 les maths ça toujours été mon fort.
Déroulement d'une journée :
Le mois de juin, dans l'hémisphère austral est le début de l'hiver. Il commence à faire jour vers les sept heures et la nuit tombe vers dix-sept heures, il ne faut pas oublier que nous sommes 12° en dessous de l'Équateur, le jour se lève très vite et la nuit en fait de même.
Donc lever vers six heures du matin, petit déjeuner et démontage du camp à la frontale, puis départ,
Aux alentours de midi, casse-croûte sur le pouce.
Vers quinze heures, montage du bivouac*; préparation de la bouffe et pêche.
Soirée au coin du feu et vers vingt heures au dodo.
Et ainsi de suite pendant deux semaines.
Je vais arrêter là mon bla-bla et vous présentez succinctement la première vidéo.
Le film que nous en avons tiré dure 1h25, il aurait pu durer dix heures. Donc j'ai partitionné la vidéo en dix épisodes que je mettrai en ligne au fur et à mesure.
Le fil du film est basé sur mes commentaires, étant donné que mes deux acolytes n'étaient pas très prolixes en paroles je me suis permis de parler pour eux et même des fois plus. Alors je ne serai pas vexé du tout si de temps en temps il vous arrivait de baisser le son.
Vous remarquerez aussi que parfois tout en filmant il fallait donner un coup de main, ce que j'ai fait, et avec plaisir. Je ne me suis pas toujours réfugié derrière le viseur de l'appareil photo.
Ceci dit, voici la première vidéo.
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