Comme Olivier S.

Nous essayons quand même de choisir l'endroit pas trop boueux.
Le problème, c'est quand il se met à pleuvoir pendant la nuit et que l'on n'a pas percuté que nous étions dans une petite cuvette. Cela nous est déjà arrivé.
Dans ces cas-là, de toute façon, tout est sale, donc nettoyage quand c'est sec.
L'avantage de la boue, c'est que c'est facile à enlever quand c'est sec. Un bon coup de brosse
Il nous est aussi arrivé de plier sous une pluie battante, à être mouillé jusqu'au slip et d'avoir une série de pluie forte et sans discontinuer toute la journée sans arrêt. Là, le moral est moins au beau fixe. Ce que nous avions de mouillé s'est séché dans la journée, stocké dans la voiture avec le chauffage.
Et nous avons mis en oeuvre une bonne synchronisation pour l'ouverture le soir.
La pire soirée de tous nos bivouacs qui se comptent à plus de 500 maintenant.
Il pleuvait et soufflait tellement que nous n'avions plus envie de sortir de notre auvent. J'ai donc pris la photo depuis l'intérieur de notre tente. Le reflet dans la fenêtre en plastique, c'est le flash de l'APN.
Les deux autres véhicules qui étaient avec nous étaient à environ 5 à 10 mètres de nous. Nous n'avons pas pu communiquer : trop de bruit pour entendre les klaxons, plus de CB car le contact coupé et les téléphones en rade car ils n'avaient plus de charge. Nous ne pouvions plus ranger car trop de vent.
Le quatrième véhicule n'avait rien déplié et a passé la nuit à l'hôtel.
