@Bebop; Le vrai nom, le vrai nom, comme tu y va fort.
Comme toujours en technologie, tout dépend de l'état de l'art du moment.
Au début il n'y avait que le chalumeau à l'acétylène avec les cailloux à arroser et le réseau de distribution dans tout l'atelier. Tu pouvais souder avec sans métal d'apport, braser, découper mais c'était les servitudes étaient nombreuses et l'installation peu transportable.
Et puis dans les années 30, l'arc électrique s'est développé. Qui ne permet que de souder mais tellement plus vite qu'avec le chalumeau et avec une qualité tellement meilleure: merci l'enrobage (ou le laitier déposé directement). Il faut voir qu'a l'époque la soudure était vue comme un point de faiblesse dans les structures. L'arc avec son enrobage a permis de laisser de côté ce problème.
Et puis avec fée électricité, augmenter la puissance, ce n'est pas un problème. Et avec un groupe électrogène, le matériel devient transportable. Plus besoin de réseau spécifique de distribution de gaz explosif.
Après, arrivèrent tous les procédés avec gaz internant, parce que pour faire des avions en aluminium, c'est bien pratique. En France de mémoire, c'est juste avant guerre la 2 guerre mondiale.
Le chalumeau a longtemps fait de la résistance. N'oublions pas que dans les années 50, le réseau électrique ne permettait pas toutes les folies. La campagne Française regorge d'histoires de branchement sauvage pour faire, qui une réparation sur une charrue, qui une benne maison etc...
Actuellement, il est acquis que l'arc avec électrode enrobée n'est pas approprié pour certaines épaisseurs fines. Que le mig mag peut aller plus bas. Et que pour d'encore plus faible épaisseur, il faut le tig. Quand les épaisseurs augmentent, tout est fonction de la constitution de ton poste, du temps disponible et de la maitrise de l'humain.
Bonne matinée à tous.