re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 3:04 pm
En dehors du chevelu du cinéma, pas grand chose .bip-bip a écrit :Ha ouais! ... Marrant ça ... Si je te dit Rambo, tu pense à qui ?
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revoltant
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re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 3:05 pm
t'étais pas dans le bon groupeplatplat a écrit :En dehors du chevelu du cinéma, pas grand chose .
re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 3:13 pm
Possible.Grain.de.Sable a écrit :t'étais pas dans le bon groupe
Ceci dit, nous, n'avons pas touché à la poudre.
re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 5:58 pm
Ha bon... Ben on devait pas trainer dans la même zoneplatplat a écrit :En dehors du chevelu du cinéma, pas grand chose .
... à cassis de 1987 à 1991 environs pour moi...re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 6:01 pm
Hoooo 'tain ..... tu vas pas me dire que t'était une des filles... Noooooooonnnnnnn ...... Ça serai excellent ça ! ! !Grain.de.Sable a écrit :t'étais pas dans le bon groupe
re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 6:07 pm
non. moi ça me gonflait grave ... je suis encore un peu ours mais je me suis arrangée. et je n'ai pas grandi là-bas. et sur les plages de l'aude, yavait bien un peu de trucs de ce genre ... mais je trouvais les jeunes très ennuyeux (et inversementbip-bip a écrit :Hoooo 'tain ..... tu vas pas me dire que t'était une des filles... Noooooooonnnnnnn ...... Ça serai excellent ça ! ! !
)re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 6:38 pm
Grain.de.Sable a écrit :non. moi ça me gonflait grave ... je suis encore un peu ours mais je me suis arrangée. et je n'ai pas grandi là-bas. et sur les plages de l'aude, yavait bien un peu de trucs de ce genre ... mais je trouvais les jeunes très ennuyeux (et inversement
... Bon, bon... Ça me rassure quelque part... re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 9:49 pm
allez une stat:
La consommation d’alcool des Français
(Source : Baromètre santé 2005Lien externe, ouverture dans une nouvelle fenetre, Inpes, sauf mention contraire)
Y a-t-il beaucoup de consommateurs d’alcool en France ?
L’alcool est un produit très largement consommé. En 2004-2005, 85 % des Français de 12 à 75 ans déclarent avoir consommé de l’alcool au moins une fois au cours de l’année écoulée. Seuls 8 % des Français déclarent n’avoir jamais absorbé de boisson alcoolique au cours de leur vie.
Quelles sont les différences entre hommes et femmes ?
La consommation d’alcool est plus fréquente chez les hommes : 20 % d’entre eux en boivent tous les jours, contre 7 % des femmes. Au total, 14 % des Français sont des consommateurs quotidiens. A l’inverse, les consommations occasionnelles (moins d’une fois par semaine) concernent essentiellement les femmes : 41 % des femmes sont des consommatrices occasionnelles contre 15 % des hommes.
En termes de quantités bues, l’écart entre les sexes est également très marqué : les hommes ont bu en moyenne 2,6 verres le dernier jour où ils ont consommé de l’alcool, contre 1,8 verre pour les femmes.
Quelles sont les boissons alcooliques les plus consommées ?
Parmi les personnes ayant consommé de l’alcool au cours des douze derniers mois, 77 % ont bu du vin, tandis que 56 % ont bu un spiritueux (vodka, pastis, whisky, planteur, etc.) et 53 % de la bière. Le vin est aussi la boisson la plus consommée au quotidien : 13 % des consommateurs de l’année en ont bu tous les jours, contre 2 % pour la bière et moins d’1 % pour les spiritueux.
L’ivresse est-elle un comportement répandu ?
Plus d’une personne interrogée sur sept (14 %) déclare avoir été ivre dans les douze derniers mois, les hommes étant environ 3 fois plus nombreux que les femmes à être dans ce cas (22 % contre 8 %).
Combien y a-t-il de consommateurs à risque ?
On estime que 54 % des hommes et 21 % des femmes (35 % au total) ont, de façon occasionnelle ou régulière, une consommation d’alcool à risque, c’est-à-dire qui peut mettre leur santé en danger, à court ou long terme. Ce chiffre inclut 0,9 % de personnes qui présentent un risque de dépendance à l’alcool (1,7 % des hommes et 0,2 % des femmes).
Les jeunes boivent-ils plus d’alcool que les personnes plus âgées ?
Les modes de consommation des jeunes sont différents de ceux de leurs aînés :
en termes de fréquence : la consommation quotidienne est très rare chez les jeunes : 1 % des personnes entre 15 et 19 ans boivent de l’alcool tous les jours, et 3 % entre 20 et 25 ans (à titre de comparaison, 39 % des personnes de 65 à 75 ans sont des consommateurs quotidiens) ;
en terme de quantité : entre 15 et 25 ans, le nombre moyen de verres bus lors de la dernière journée de consommation est d’environ 3 (à comparer à 1,9 chez les 65-75 ans).
De plus, 26 % des jeunes entre 15 et 19 ans et 35 % des 20-25 ans ont été ivres au moins une fois dans l’année (contre 1 % chez les personnes de 65 à 75 ans).
Ainsi, les jeunes consomment de l’alcool moins souvent que les personnes plus âgées, mais quand ils en boivent, les quantités sont plus importantes et les conduisent plus souvent à l’ivresse.
Les jeunes se distinguent également des adultes par la nature des boissons alcooliques qu’ils consomment : alors que le vin est la boisson la plus consommée dans la population française, il l’est peu parmi les 15-25 ans. A l’inverse, la bière et les alcools forts sont plus consommés par les jeunes.
Comment évolue la consommation d’alcool ?
La consommation d’alcool en France diminue régulièrement depuis 40 ans. Entre 1961 et 2008, elle a baissé de moitié, passant de 26 à 12,3 litres d’alcool pur par an et par habitant de plus de 15 ans. Cette baisse est principalement imputable à la diminution de la consommation de vin, qui reste néanmoins la boisson alcoolique la plus consommée. La consommation totale de bière, après une légère augmentation jusqu’au milieu des années 1970, a retrouvé son niveau de 1960, tandis que celle de spiritueux reste relativement stable (voir le graphique réalisé par l’OFDTLien externe, ouverture dans une nouvelle fenetre).
La diminution de la consommation d’alcool s’accompagne d’un changement des modes de consommation. Selon les professionnels du secteur, l’alcool passe de l’univers des repas à celui des loisirs ; en particulier, le vin comme boisson quotidienne régresse, mais il accède de plus en plus à un statut festif. Ces constats sont confirmés par les données de l’Insee : les Français se tournent désormais vers les vins de qualité (2,7 % d’augmentation par an en moyenne depuis 1960) au détriment des vins de consommation courante (2,4 % de baisse par an).
Comment la France se situe-t-elle par rapport aux autres pays, en termes de consommation ?
Parmi les pays membres de l’Union européenne en 2003, la France occupait le 5ème rang pour ce qui est de la consommation annuelle d’alcool pur par habitant de 15 ans et plus, derrière la République Tchèque, le Luxembourg, l’Irlande et la Hongrie (source : Drees).
toutes les stats vont dans le même sens , la conso en France diminue, faut pas confondre le ressenti et les faits
les jeunes peuvent picoler beaucoup d'un coup, mais peu, sur l'année, parce qu'ils ne boivent plus de pinard tous les jours à table et en quantité comme dans les années 60 et 70. A cette époque, pas mal d'apprentis rentraient dans les ateliers avec un petit coup dans le casque, maintenant les plus mauvais de la classe, ou ceux qui ont été finis au pipi ne partent plus en apprentissage, mais moisissent sur les bancs du collège d'abord, puis quelques années de plus au lycée, et se défoncent, juste un poil moins que leurs anciens
La consommation d’alcool des Français
(Source : Baromètre santé 2005Lien externe, ouverture dans une nouvelle fenetre, Inpes, sauf mention contraire)
Y a-t-il beaucoup de consommateurs d’alcool en France ?
L’alcool est un produit très largement consommé. En 2004-2005, 85 % des Français de 12 à 75 ans déclarent avoir consommé de l’alcool au moins une fois au cours de l’année écoulée. Seuls 8 % des Français déclarent n’avoir jamais absorbé de boisson alcoolique au cours de leur vie.
Quelles sont les différences entre hommes et femmes ?
La consommation d’alcool est plus fréquente chez les hommes : 20 % d’entre eux en boivent tous les jours, contre 7 % des femmes. Au total, 14 % des Français sont des consommateurs quotidiens. A l’inverse, les consommations occasionnelles (moins d’une fois par semaine) concernent essentiellement les femmes : 41 % des femmes sont des consommatrices occasionnelles contre 15 % des hommes.
En termes de quantités bues, l’écart entre les sexes est également très marqué : les hommes ont bu en moyenne 2,6 verres le dernier jour où ils ont consommé de l’alcool, contre 1,8 verre pour les femmes.
Quelles sont les boissons alcooliques les plus consommées ?
Parmi les personnes ayant consommé de l’alcool au cours des douze derniers mois, 77 % ont bu du vin, tandis que 56 % ont bu un spiritueux (vodka, pastis, whisky, planteur, etc.) et 53 % de la bière. Le vin est aussi la boisson la plus consommée au quotidien : 13 % des consommateurs de l’année en ont bu tous les jours, contre 2 % pour la bière et moins d’1 % pour les spiritueux.
L’ivresse est-elle un comportement répandu ?
Plus d’une personne interrogée sur sept (14 %) déclare avoir été ivre dans les douze derniers mois, les hommes étant environ 3 fois plus nombreux que les femmes à être dans ce cas (22 % contre 8 %).
Combien y a-t-il de consommateurs à risque ?
On estime que 54 % des hommes et 21 % des femmes (35 % au total) ont, de façon occasionnelle ou régulière, une consommation d’alcool à risque, c’est-à-dire qui peut mettre leur santé en danger, à court ou long terme. Ce chiffre inclut 0,9 % de personnes qui présentent un risque de dépendance à l’alcool (1,7 % des hommes et 0,2 % des femmes).
Les jeunes boivent-ils plus d’alcool que les personnes plus âgées ?
Les modes de consommation des jeunes sont différents de ceux de leurs aînés :
en termes de fréquence : la consommation quotidienne est très rare chez les jeunes : 1 % des personnes entre 15 et 19 ans boivent de l’alcool tous les jours, et 3 % entre 20 et 25 ans (à titre de comparaison, 39 % des personnes de 65 à 75 ans sont des consommateurs quotidiens) ;
en terme de quantité : entre 15 et 25 ans, le nombre moyen de verres bus lors de la dernière journée de consommation est d’environ 3 (à comparer à 1,9 chez les 65-75 ans).
De plus, 26 % des jeunes entre 15 et 19 ans et 35 % des 20-25 ans ont été ivres au moins une fois dans l’année (contre 1 % chez les personnes de 65 à 75 ans).
Ainsi, les jeunes consomment de l’alcool moins souvent que les personnes plus âgées, mais quand ils en boivent, les quantités sont plus importantes et les conduisent plus souvent à l’ivresse.
Les jeunes se distinguent également des adultes par la nature des boissons alcooliques qu’ils consomment : alors que le vin est la boisson la plus consommée dans la population française, il l’est peu parmi les 15-25 ans. A l’inverse, la bière et les alcools forts sont plus consommés par les jeunes.
Comment évolue la consommation d’alcool ?
La consommation d’alcool en France diminue régulièrement depuis 40 ans. Entre 1961 et 2008, elle a baissé de moitié, passant de 26 à 12,3 litres d’alcool pur par an et par habitant de plus de 15 ans. Cette baisse est principalement imputable à la diminution de la consommation de vin, qui reste néanmoins la boisson alcoolique la plus consommée. La consommation totale de bière, après une légère augmentation jusqu’au milieu des années 1970, a retrouvé son niveau de 1960, tandis que celle de spiritueux reste relativement stable (voir le graphique réalisé par l’OFDTLien externe, ouverture dans une nouvelle fenetre).
La diminution de la consommation d’alcool s’accompagne d’un changement des modes de consommation. Selon les professionnels du secteur, l’alcool passe de l’univers des repas à celui des loisirs ; en particulier, le vin comme boisson quotidienne régresse, mais il accède de plus en plus à un statut festif. Ces constats sont confirmés par les données de l’Insee : les Français se tournent désormais vers les vins de qualité (2,7 % d’augmentation par an en moyenne depuis 1960) au détriment des vins de consommation courante (2,4 % de baisse par an).
Comment la France se situe-t-elle par rapport aux autres pays, en termes de consommation ?
Parmi les pays membres de l’Union européenne en 2003, la France occupait le 5ème rang pour ce qui est de la consommation annuelle d’alcool pur par habitant de 15 ans et plus, derrière la République Tchèque, le Luxembourg, l’Irlande et la Hongrie (source : Drees).
toutes les stats vont dans le même sens , la conso en France diminue, faut pas confondre le ressenti et les faits
les jeunes peuvent picoler beaucoup d'un coup, mais peu, sur l'année, parce qu'ils ne boivent plus de pinard tous les jours à table et en quantité comme dans les années 60 et 70. A cette époque, pas mal d'apprentis rentraient dans les ateliers avec un petit coup dans le casque, maintenant les plus mauvais de la classe, ou ceux qui ont été finis au pipi ne partent plus en apprentissage, mais moisissent sur les bancs du collège d'abord, puis quelques années de plus au lycée, et se défoncent, juste un poil moins que leurs anciens
re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 10:00 pm
earl a écrit :[...] Selon les professionnels du secteur, l’alcool passe de l’univers des repas à celui des loisirs ; en particulier, le vin comme boisson quotidienne régresse, mais il accède de plus en plus à un statut festif. Ces constats sont confirmés par les données de l’Insee : les Français se tournent désormais vers les vins de qualité (2,7 % d’augmentation par an en moyenne depuis 1960) au détriment des vins de consommation courante (2,4 % de baisse par an).[...]
re: revoltant
Posté : sam. nov. 19, 2011 10:03 pm
ben oui.
j'ai jamais dit que dans la consommation quotidienne ils buvaient plus ??
au contraire
moins de consommation de bière, de vin ... enfin tous ces verres à table ou à l'apéro que nous (par exemple) nous buvons.
en revanche, lors des soirées il y a une approche défonce de l'alcool fort utilisé comme une drogue qui explose.
c'est cet usage "violent" et un peu nouveau à ce point de l'alcool fort qui inquiète. et bien sûr que du coup, c'est pas tous les jours. mais quand ils font des soirées, c'est no limit le plus vite et le plus efficacement possible.
j'ai parlé d'alcoolisme festif dans mes toutes premières inter. (il me semble) et non d'alcoolisme au quotidien. oui les quantité globales sont probablement moindre. mais on n'est pas dans le même genre d'alcool, ni dans le même comportement associé (là c'est pas des cacahuètes et un bon repas qui accompagnent mais plutôt d'autres produits) avec des conséquences différentes.
je n'ai dit à aucun moment que les jeunes buvaient plus gloabelement , mais que le comportement face à l'alcool avait changé.
j'ai jamais dit que dans la consommation quotidienne ils buvaient plus ??
au contraire
moins de consommation de bière, de vin ... enfin tous ces verres à table ou à l'apéro que nous (par exemple) nous buvons.
en revanche, lors des soirées il y a une approche défonce de l'alcool fort utilisé comme une drogue qui explose.
c'est cet usage "violent" et un peu nouveau à ce point de l'alcool fort qui inquiète. et bien sûr que du coup, c'est pas tous les jours. mais quand ils font des soirées, c'est no limit le plus vite et le plus efficacement possible.
j'ai parlé d'alcoolisme festif dans mes toutes premières inter. (il me semble) et non d'alcoolisme au quotidien. oui les quantité globales sont probablement moindre. mais on n'est pas dans le même genre d'alcool, ni dans le même comportement associé (là c'est pas des cacahuètes et un bon repas qui accompagnent mais plutôt d'autres produits) avec des conséquences différentes.
je n'ai dit à aucun moment que les jeunes buvaient plus gloabelement , mais que le comportement face à l'alcool avait changé.