Islande 2017

[edefaverney]

Un grand merci à toi Vincent !!!!
Juste avant de partir au travail ça remonte le moral de voir de si beaux paysages et d'avoir de vos nouvelles !!!
J'espère que vous profitez bien et que les hot spots sont à bonne température !!!
À bientôt !!!!

Manu

[TotoCamboui]

Merci pour ce début de récit et......... bon vent.



Vincent

[prado74]

[Keegan]

Génial! Je me réjouis de partir dans 2 semaines. Profitez bien!!

[Keegan]

Je profite de ce post pour une petite question à ceux qui se sont déjà rendus la bas. Est-ce qu'un jerrican serait nécessaire ?

[edefaverney]

À vrai dire non !
Mais c'est mieux !!!!
Tu rouleras plus détendu !!!
En principe il y a assez de stations pour ne jamais être inquiété mais....si tu doit faire un détour parce qu'il y a une piste fermée ou un mauvais gué alors tu risques d'être un peu juste et tu ne profiteras pas de la même façon en roulant avec les yeux sur la jauge !!!!

[matth]

perso, sans jerrican en consommant entre 12 et 15 L/100 (80l de réservoir)
je partais du principe qu’après avoir consommé 1/4 du plein, des que je croisais une station, je refaisais le plein

en faites pour être précis j'avais prevu le jerrican mais je l'ai oublié a la maison en partant

[Keegan]

Top. Merci pour vos réponses

[vincent sch]

Salut à tous,

Je profite d'une halte dans une guesthouse avec Wifi pour quelques news. On a eu la chance de pouvoir relier l'Askja depuis Myvatn par une piste que je n'avais pas sur mes cartes Oziexplorer. Merci aux cartes 1/250000. Rien ne vaut la navigation avec la carte papier. Merci Manu Je m'étais renseigné à l'agence locale de tourisme de Reykihalid pour savoir si la piste était ouverte. La dame m'a déconseillé cet itinéraire parce que destiné uniquement aux "High cars". Elle ne savait pas trop si la route n'était pas enneigée sur la dernière partie mais elle ne nous à pas dit que c'était infaisable.
Nous avons pris la décision de partir quand même par cette piste. Pas toujours facile à repérer sur le terrain. Après quelques jardinages et un peu de camping sauvage, nous avons atteint le refuge du Dyngjufjalladalur. Il y avait un vent d'enfer. On avait du mal à ouvrir les portes du véhicule. Pour ouvrir et fermer la porte du refuge fallait être à 2. Sur tout le trajet, pas une âme qui vive. Au refuge un marcheur français bloqué ici à cause du vent.
Il m'a demandé si je pouvais l'emmener vers le camping de l'Askja. Comment faire? Pas assez de place dans la cabine. Je lui ai proposé d'accrocher son sac à dos au dessus de la roue de secours et lui ai proposé de se tenir debout sur le marche pied. On a ouvert la vitre latérale pour pouvoir échanger et surtout lui restituer un peu de chaleur.

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C'est comme cela qu'on à croisé les gardes du parc du Vatnajökull. La je me suis dit: c'est bon, on va se prendre une prune.
Ils m'ont posé un tas de questions sur d'ou je viens, ou je vais, si j'ai rencontré d'autres marcheurs et surtout ils voulaient connaître l'état de la piste coté Myvatn. Ils avaient peur que cela soit très boueux de ce coté la. Ils m'ont appris qu'ils venaient d'ouvrir la piste le jour même de notre passage.

Le marcheur fut interrogé de la même sorte. Ils lui ont donné de l'eau. Ils insistent pour vérifier qu'on a bien assez d'eau avec soit. Et surprise, pas la moindre prune. Nous avons terminé le voyage comme cela jusqu'au camping Dreki au pied du Akja. Pas mal de bourbiers sur la fin du voyage mais cela passe bien avec les Muds.

Tien, une autre anecdote. En cherchant une piste vers un hotspot qu'on en trouvera jamais pour cause de création d'un nouveau complexe géothermique sur ce secteur. Partout des BO ou des pencartes de ce type la.

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Je ne lâche pas l'affaire, je chercher et trouve enfin une piste avec ce panneau.

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Arrivé au parking du Krafla, voilà ce que je trouve en me retournant.

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Pas étonnant que tous les regards étaient tournés vers nous. Décidément.. bizarre... pas étonnant qu'une fois de plus nous étions seul toute la journée sur cette piste.

Ah les hots spots. Quand il n'y a pas un chat. Faut y aller avant 9H00 ou après 19H00 et c'est top de chez top. Merci Manu

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Faut faire un tour dans la rivière froide derrière et la on apprécie d'autant plus la chaleur.

Pleins de photos, pleins de souvenirs et d'anecdotes à raconter. Je ferai un retour plus tard. Pour l'instant ion va continuer de profiter

A plus

Vincent

[vincent sch]

Pour le vent: c'est toute une expérience à acquérir.
Il faut rechercher des points bas où la tente de toit soit la moins possible exposé au vent. Pendant qu'on fait les pistes, on note les waypoints qui seraient parfait pour complètement cacher véhicule et tente . Observer l'orientation des vieilles maisons et se mettre dans le sens de leur toiture. La partie mince du toit orienté dans la direction de la porte d'entrée des vieilles maisons. Après avoir essuyé les pointes de 72km/h à Höfn. On est plus serein lorsque la tente claque mais qu'on lit des valeurs de 35km/h sur l'anémomètre. Ca permet quand même d'arriver à fermer un peu l'oeil la nuit.

Pas facile d'éviter le vent ici. Les renseignements que l'on obtient des rangers sur la vitesse du vent et son orientation sont très peu fiable. Eux même me disent que coté vent, rien n'est prévisible ici. Les personne qui dorment avec tentes au sol, se réveillent le matin avec plein de poussière de scories dans les tentes et duvets. Nous en tente de toit on est plutôt secoué. On apprend tout doucement à vivre avec.

Je suis très content de la double peau isolante d'hivernage accessoire de la tente Columbus. On a essuyé pas mal de vent et de pluie et pour l'instant la tente est parfaitement sèche. Seul la condensation ne peut être évitée. Un coup de papier absorbant et 20minutes d'aération et voilà la tente prête à être repliée même s'il pleut. Seul la paroi externe reste mouillée.

A plus

Vincent