re: on ne doit pas publier de vidéos/photos de balades en zone "interdite"
Posté : dim. avr. 26, 2015 9:19 pm
Je suis en train de pondre un document concernant ce qui nous arrive.
Je part de notre héritage culturel, des voies créent et empruntées ,des hommes primitifs, en passant par les gaulois, jusqu'aux paysans du début du siècle.
Voies devenues routes goudronnées ou toujours à l'état de chemins, qui ont vu défiler, chars, charrettes, carrosses, convois, etc .... La majorité des chemins Français tirent leurs origines de passages ancestraux.
J'invoque le droit d'aller et venir en toute liberté sur ces voies que techniquement nous assumons et entretenons par nos impôts.
Je fais le parallèle et la différence entre les dégâts occasionnés par nos pneus, et par les ravages causés par les orages et les incendies.
Je met en évidence que la fermeture de tous les chemins par les propriétaires et la végétation, empêchent les pompiers d'accéder rapidement aux foyers, créant ainsi la disparition d'un biotope, animal et végétal., et la disparition des voies de communication historique.
J'explique que si nous devions payés des amendes pour avoir roulé dans un endroit considéré comme non carrossable, pour des raisons écologiques, et qui si ces associations écolo en ayant le droit de se porter partie civile, puissent remplir les caisses de leurs associations par ce fait.
Il est normal et notre devoir de les aider, et donc de porter systématiquement plainte contre toutes les mairies, régions, réserves naturelles ou propriétaires, qui n'entretiendraient pas leurs voies carrossables permettant la protection de la nature. ( incendies, invasion animale ou végétale, propagations de nuisibles etc ...) Et n'assurant pas leur fonction de nous permettre d'utiliser notre droit d'aller et venir librement sur les voies carrossables du domaine publique.
Je fais le parallèle entre des traces de pneus, (photos) et les chemins emportés, ravagés, détruit par les orages, les éboulis, les lits de rivière dévastés, les inondations etc (photos) ... En expliquant que si nous devions payer, afin de protéger la nature, ceux qui aux manettes politiques ne faisaient rien à leur niveau pour éviter ces catastrophes, devaient être condamnés de la même manière, car responsables de dégâts encore bien pires, et de ne pas les réparer.
Pointer du doigt la responsabilité des associations écolo qui ne bougent jamais le petit doigt en ce qui concerne le curage des fossés, le nettoyage des zones naturelles, la coupe des arbres invasifs, le ramassage des cocons des chenilles procécionnaires, ou la remise en état de la nature aprés le passage d'un incendie ou d'un orage. Et donc porter plainte contre eux aussi.
Et pour finir trouver la solution, de l'aménagement de zones, d'accés, de périodes, entre les vrais écologistes, et les usagers des chemins et engins motorisés, pour trouver un accord équitable entre les deux partis.
Car là on voit bien que les écolos ont leurs entrées au gouvernement et qu'ils imposent tout ce qu'ils désirent en matière de répression et de récolte d'argent, du moment que ce n'est pas économique ni social.
Nous sommes sois disant dans un état de droit ou l'équité entre les citoyens est respectée, il faudrait peut être se mobiliser de manière construite et contre attaquer, car là ça ne va plus le faire du tout.
Je part de notre héritage culturel, des voies créent et empruntées ,des hommes primitifs, en passant par les gaulois, jusqu'aux paysans du début du siècle.
Voies devenues routes goudronnées ou toujours à l'état de chemins, qui ont vu défiler, chars, charrettes, carrosses, convois, etc .... La majorité des chemins Français tirent leurs origines de passages ancestraux.
J'invoque le droit d'aller et venir en toute liberté sur ces voies que techniquement nous assumons et entretenons par nos impôts.
Je fais le parallèle et la différence entre les dégâts occasionnés par nos pneus, et par les ravages causés par les orages et les incendies.
Je met en évidence que la fermeture de tous les chemins par les propriétaires et la végétation, empêchent les pompiers d'accéder rapidement aux foyers, créant ainsi la disparition d'un biotope, animal et végétal., et la disparition des voies de communication historique.
J'explique que si nous devions payés des amendes pour avoir roulé dans un endroit considéré comme non carrossable, pour des raisons écologiques, et qui si ces associations écolo en ayant le droit de se porter partie civile, puissent remplir les caisses de leurs associations par ce fait.
Il est normal et notre devoir de les aider, et donc de porter systématiquement plainte contre toutes les mairies, régions, réserves naturelles ou propriétaires, qui n'entretiendraient pas leurs voies carrossables permettant la protection de la nature. ( incendies, invasion animale ou végétale, propagations de nuisibles etc ...) Et n'assurant pas leur fonction de nous permettre d'utiliser notre droit d'aller et venir librement sur les voies carrossables du domaine publique.
Je fais le parallèle entre des traces de pneus, (photos) et les chemins emportés, ravagés, détruit par les orages, les éboulis, les lits de rivière dévastés, les inondations etc (photos) ... En expliquant que si nous devions payer, afin de protéger la nature, ceux qui aux manettes politiques ne faisaient rien à leur niveau pour éviter ces catastrophes, devaient être condamnés de la même manière, car responsables de dégâts encore bien pires, et de ne pas les réparer.
Pointer du doigt la responsabilité des associations écolo qui ne bougent jamais le petit doigt en ce qui concerne le curage des fossés, le nettoyage des zones naturelles, la coupe des arbres invasifs, le ramassage des cocons des chenilles procécionnaires, ou la remise en état de la nature aprés le passage d'un incendie ou d'un orage. Et donc porter plainte contre eux aussi.
Et pour finir trouver la solution, de l'aménagement de zones, d'accés, de périodes, entre les vrais écologistes, et les usagers des chemins et engins motorisés, pour trouver un accord équitable entre les deux partis.
Car là on voit bien que les écolos ont leurs entrées au gouvernement et qu'ils imposent tout ce qu'ils désirent en matière de répression et de récolte d'argent, du moment que ce n'est pas économique ni social.
Nous sommes sois disant dans un état de droit ou l'équité entre les citoyens est respectée, il faudrait peut être se mobiliser de manière construite et contre attaquer, car là ça ne va plus le faire du tout.
