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pour nous , c'est comme pour la majorité des intervenants , la pelle et le rouleau ,au coin du bois et le flacon de solution hydro alcoolique dans la poche .
ensuite , je profite du sujet pour pousser un petit coup de gueule .bien sur , ça ne vise personne en particulier mais ce desagrément est tellement recurrent que ça a le don de foutre la rougne !
je veux parler des petits papier blancs , accessoire indispensable aux petit pissous de ces dames qui balisent malgré eux et en abondance nos sentiers de randonnée et autres lieux de ballades .
PUTAIN DE BORDEL DE MERDE VOUS POUVEZ PAS LES RAMASSER ET LES METTRE DANS UN PLASTIQUE AU FOND DE VOTRE POCHE JUSQU A LA FIN DE LA JOURNEE ,ET TROUVER UNE POUBELLE AUTRE QUE LA NATURE ! EST CE VRAIMENT SI COMPLIQUE ?
OUI JE SAIS :C EST BIODEGRADABLE ! ET ALORS ? C EST PAS UNE RAISON POUR EN FOUTRE PARTOUT ! MERDE, VAUT FAITES CHIER LES GONZESSES !
non mais sans deconner.......................
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une fois je me suis offert un énorme plaisir
on avait fait un picnic Myriam et moi et on se faisait chauffer par le soleil dans les fauteuils en regardant les feuilles des arbres bouger et en écoutant les petits oiseaux chanter. quand un énorme groupe de randonneurs avec un ou deux accompagnateurs a débarqué sur notre plateau.
bon c'est vrai qu'ils étaient éreintés par la montée du raidillon tandis que nous on avait pris la piste carrossable et autorisée... ça devait les gonfler... ils n'ont rien dit mais nous ont jeté des regards qui en disaient long. ils sont allés s'installer à cinquante mètres et ont sorti la bouffe de leurs sacs. j'avais repéré que plusieurs gosses laissaient tomber leurs briques de lait au chocolat, que des papiers s’étaient envolés... bref que leur installation manquait de tenue.
ni une ni deux : j'ai sorti un sac poubelle, j'ai enfilé des gants et je suis allé dans leur camp ramasser leurs ordures SANS UN MOT ! et j'ai mis le sac poubelle dans le coffre du 4x4... j'aurais bien voulu entendre leur conversation... mais même sans ça je jubilais
christian.styling a écrit :une fois je me suis offert un énorme plaisir
on avait fait un picnic Myriam et moi et on se faisait chauffer par le soleil dans les fauteuils en regardant les feuilles des arbres bouger et en écoutant les petits oiseaux chanter. quand un énorme groupe de randonneurs avec un ou deux accompagnateurs a débarqué sur notre plateau.
bon c'est vrai qu'ils étaient éreintés par la montée du raidillon tandis que nous on avait pris la piste carrossable et autorisée... ça devait les gonfler... ils n'ont rien dit mais nous ont jeté des regards qui en disaient long. ils sont allés s'installer à cinquante mètres et ont sorti la bouffe de leurs sacs. j'avais repéré que plusieurs gosses laissaient tomber leurs briques de lait au chocolat, que des papiers s’étaient envolés... bref que leur installation manquait de tenue.
ni une ni deux : j'ai sorti un sac poubelle, j'ai enfilé des gants et je suis allé dans leur camp ramasser leurs ordures SANS UN MOT ! et j'ai mis le sac poubelle dans le coffre du 4x4... j'aurais bien voulu entendre leur conversation... mais même sans ça je jubilais
J'y étais , je vais pouvoir te dire :
En arrivant : " Tiens ya Christian . Les gars , si vous ne voulez pas vous frapper la poubelle pendant tout le retour , faites mine de tout envoyer peter dans la nature , Christian à coup sûr viendra ramasser "
En repartant : " Alors qu'est-ce que j'vous disais , il est venu ramasser et en plus pas emmerdant , n'a pas dit un mot pour pas nous deranger " . Merci Christian
Je plaisantes ( je ne savais pas que tu allais venir )
BBS06 a écrit :pour nous , c'est comme pour la majorité des intervenants , la pelle et le rouleau ,au coin du bois et le flacon de solution hydro alcoolique dans la poche .
ensuite , je profite du sujet pour pousser un petit coup de gueule .bien sur , ça ne vise personne en particulier mais ce desagrément est tellement recurrent que ça a le don de foutre la rougne !
je veux parler des petits papier blancs , accessoire indispensable aux petit pissous de ces dames qui balisent malgré eux et en abondance nos sentiers de randonnée et autres lieux de ballades .
PUTAIN DE BORDEL DE MERDE VOUS POUVEZ PAS LES RAMASSER ET LES METTRE DANS UN PLASTIQUE AU FOND DE VOTRE POCHE JUSQU A LA FIN DE LA JOURNEE ,ET TROUVER UNE POUBELLE AUTRE QUE LA NATURE ! EST CE VRAIMENT SI COMPLIQUE ?
OUI JE SAIS :C EST BIODEGRADABLE ! ET ALORS ? C EST PAS UNE RAISON POUR EN FOUTRE PARTOUT ! MERDE, VAUT FAITES CHIER LES GONZESSES !
non mais sans deconner.......................
J'avais pas vu ton post avant donc j'ai effacé je "dénonçais" aussi cela c'est INFERNAL de voir le long des routes PQ ,Kleenex et autres papiers ,surtout quand tu aperçois un petit coin champêtre et tout joyeux tu te dis allez on se fait une pause casse croûte et tu arrive et découvre un" champ de mine "quand à la biodégradabilité ça va pas si vite que cela loin de la !
Bonjour à tous,
Pour le fun, une histoire authentique.
Comme il à été dit, il est de bonne pratique de bruler son PQ.
Il y a longtemps, très longtemps (2004), pépère et sa moitié sont dans le "très" sud Algérien.
Pas loin du Niger, alors qu'ils "balladaient" à pieds, Mme ressent le besoin d'une envie aussi présente que liquide.
Dans sa grande mansuétude, Allah (ou Dieu) avait prévu quelques cailloux bien accueillants.
L'un deux semblait idéal:
1 Bon mètre de Haut, une forme (vue de haut) en 1/2 lune, pourquoi résister à tant de commodités?
Une fois le pipi fait, et voulant préserver notre chère planète, Mme entreprend de vouloir bruler ses chères "fleurs de lotus" en les soummetant à la chaleur d'un briquet.
Malédiction !, Saperlipoppette!, Ventre-Saint-Gris,, B....l-de-M...E!!!!!!!!.
MMe avait déposé son PQ sur une vipère à cornes qui roupillait!!!!!!
Heureusement, cet animal roupillait très fort ou devait avoir du savoir vivre (en faisant semblant de n'avoir rien remarqué).
Bref, sans rire, on a frisé la Cata, car dans le cas (et l'endroit) particulier, l'Aspi-Venin ou autre méthode n'auraient été que de peu d'utilité (Zône fortement vascularisée) et peu aisés à mettre en oeuvre.
Maintenant, on en rigole, mais ce jour là..........
On oublie trop facilement les règles élémentaires (ce fut le cas pour nous):
Zônes déseriques, se méfier des Vipères, scorpions et autres créatures divines;
Ces saloperies fréquentent les zônes "de rupture"fragmentées ainsi que celles "à vie possible" pour elles, mais surtout pour leurs proies.
Ce sont essentiellement:
Les jonctions sable/roches avec fragmentation (un rocher en grès "massif" plongeant dans le sable n'est pas concerné).
Les tas de cailloux, y compris les murs en pierres sêches (les scorpions en raffollent!!)
Les zônes "alimentaires" pour leurs proies (végétation, arbres, zônes humides (gueltas, fonds d'oueds), zônes de bivouacs (restes alimentaires, on dit d'ailleurs qui'il ne faut pas s'alimenter juste à côté de l'endroitdu couchage).
Nb: Près des arbres, il est très fréquent de repérer des traces de vipères (suites de traces en "S"); Bien souvent la bestiole est partie, mais bien le vérifier, ces saloperies sont dures à repérer dans les arbres et adorent se laisser tomber sur leur
casse-croute (Hoggar 1993, heureusement, cible manquée).
Ceci étant dit, que cela ne nous empêche pas de fréquenter ces zônes mais peut-être avec un minimum de rigueur. Mme, elle, s'en est remise mais maintenant, regarde certains rochers avec une approche toute particulière...........
Je m'aperçois que je ne fais pas assez attention à ces bébêtes. Merci, j'en prends note.
Ce que je connais déjà, ce sont les orties.
Quand je n'étais vraiment pas bien, en 2011, un peu pétée à cause des médicaments, je n'ai pas regardé et ai pissé sur des orties. Elles ne m'ont pas sauté dessus, heureusement.
Mais cela signifie que je me suis accroupie sans regarder.
Des belles, grosses.
Un peu de crème et depuis, j'ai utilisé le bidon. Et maintenant, je vais mieux.
dans le sud est de la france on a des petites vipères (vipère d'orsini) mais il suffit de taper le sol du talon pour qu'elles se sauvent (normalement) ; attention à ceux qui cueillent des fraises des bois...
j'aurais bien voulu entendre leur conversation... mais même sans ça je jubilais 
frôlé la cata 
