j'ai pas mis la tartine complète, mais facile à retrouver, l'expression viendrait peut-être de Mathis avec qui s'était associé Bugatti à ces débuts, Mathis qui lui venait de l’aéronautique, là où le poids était vraiment l'ennemi, faut aller à Mulhouse faire un petit tour au musée les gars

concernant Chapman, c'est certain, après vérification, qu'il était bien dans les gesticules de son père à cette époque là.
Bien que responsable de la fabrication automobile de Deutz, il conserva la possibilité de travailler pour son propre compte et c'est ainsi qu'il profitera de ses moments de loisirs pour fabriquer (la légende veut que ce soit dans sa cave) une 4 cylindres de 1208 cm3 (63mm x 100mm), de 300 kg, qui atteint les 80 km/h. Une voiture qu'il sera obligé de démonter, pièce par pièce, pour pouvoir la sortir de chez lui, l'auto ne passant pas... la porte ! Officiellement dénommé Type 10 (ce qui correspond à l'étude n° 10), ce châssis est baptisé "petit pur-sang" par Ettore Bugatti mais est plus connu des passionnés de la marque sous le nom de "Baignoire", à cause de sa carrosserie. Cette voiture reprend nombres de solutions déjà vue sur la Type 9 mais en étant de dimensions 3 ou 4 fois moindre. Très légère, parfaitement proportionnée, cette jolie voiture enthousiasme tous ceux qui la conduisent. Elle révéla à Ettore la règle d’or de l’automobile : « le poids c’est l’ennemi » alors que 20 ans avant Levassor professait « faite lourd, vous ferez solide ! ». Quelques exemplaires seront produits par Deutz avant qu'Ettore ne décide finalement de s'établir à son compte. On est alors en 1909 et le jeune homme de 28 ans a du répondant. Aidé par son ami Vizcaya, l'un des principaux actionnaires de la Darmstadt Bank, il s'installe au mois de décembre à Molsheim, non loin de Strasbourg, dans une ancienne teinturerie abandonnée. Contrairement à ce que beaucoup pense, l’emblème Bugatti n’a pas était dessiné par Ettore puisqu’il s’agissait, ni plus ni moins, de celui de Deutz auquel Ettore a seulement remplacé le nom de Deutz par le sien. D’ailleurs la description de l’emblème de Deutz est sans appel : « dans un ovale rouge, entouré de petits points noirs sur un liseré blanc, on lit le nom Deutz. Celui-ci est surmonté d’un petit blason sur lequel est inscrit le mot « otto ». »
voir aussi bio Emile Mathis

Un con est un imbécile qui n'a de cet organe ni la profondeur, ni la saveur.