Forum 4x4

Et le couillon à qui tu donnes le joystick... c'est le problème.

Alice4x4 a écrit :Et le couillon à qui tu donnes le joystick... c'est le problème.

Faut arrêter de penser que tous les "autres" sont des couillons....

Alice4x4 a écrit :Et le couillon à qui tu donnes le joystick... c'est le problème.

on dit pas le couillon, on dit "l'interface siège/manette"

je vois pas pourquoi ça serait pire qu'un ULM

et si un jour il a l'autorisation , les acquéreurs devront passer une licence

et l'interdiction de survol les zones urbaine

Pour que ce soit autorisé, il faudra que ce soit certifié selon les règles EASA (processus long, couteux et complexe).
Ensuite, il faudra un cadre réglementaire (licence de pilote, conditions de vol, maintien de la navigabilité, etc).
Il faut environ 40 heures de vol pour former un pilote d'avion privé (VFR = Visual Flight Rules) et encore une bonne vingtaine (au moins) pour apprendre et maîtriser la partie théorique (aérodynamique et mécanique du vol, navigation, espaces aériens (A,B,C,D,E,F et G), réglementation(s), facteurs humains...)
Il faut aussi faire une licence de radiotéléphoniste navigant (encore quelques heures).

Pour les ULMs, c'est un peu différent, on n'est pas (encore) dans le cadre EASA. Ce sont les différents pays membres qui font à leur sauce. C'est en train de changer, l'EASA veut contrôler aussi ça.
En Suisse, les ULMs sont en principe interdits, en France c'est bien plus libre (pour l'instant).
Les ULMs sont à la base des aéronefs à voilure fixe d'un poids inférieur à 475kg et d'une charge alaire inférieure à 20kg/m2 (et encore, la définition change selon les pays membres de l'EASA).

Demandez à Bruno Guimbal (Hélicoptères Guimbal) ce qu'il pense des multirotors autonomes.

Dans l'aviation classique ça progresse aussi

https://kulturegeek.fr/news-246226/roll ... PVQDB5SbP8

Le monde change vite en ce moment

Le Suricate a écrit : Pour les ULMs, c'est un peu différent, on n'est pas (encore) dans le cadre EASA. (...)
Les ULMs sont à la base des aéronefs à voilure fixe d'un poids inférieur à 475kg et d'une charge alaire inférieure à 20kg/m2 (et encore, la définition change selon les pays membres de l'EASA).

Quelques imprécisions : maintenant un ULM biplace c'est 525kg avec un parachute ou 500 sans parachute.
Il n'y a pas que des voilures fixes puisqu'il y a des dirigeables (genre mongolfière), hélico ou autogire, et le paramoteur (parachute...)

Une formation de pilote ULM c'est entre 20 et 50h de vol, c'est pas très compliqué. La formation radio n'est pas obligatoire, ça dépend de ce que tu veux faire.

cedricfred a écrit :Ca me semble complètement impensable de laisser des hélices à cette hauteur à l'endroit on on monte à bord sans au moins un cerceau de fibre autour mais à part ça bien, ça fait envie

pas besoin de protection au niveau des hélices, c'est comme sur les tondeuses auto-portées: si tu quitte le siège, ça arrête les moteurs sinon, ça fait du hachis...

rover17 a écrit :Zêtes mauvaises langues les gars , c'est une débroussailleuse

plus besoin de nacelle pour élaguer, c'est juste qu'il faut pas être trop gourmand en section de branchage!

mais ça doit être fort en sensations!!

sergio a écrit :pas besoin de protection au niveau des hélices, c'est comme sur les tondeuses auto-portées: si tu quitte le siège, ça arrête les moteurs sinon, ça fait du hachis...



plus besoin de nacelle pour élaguer, c'est juste qu'il faut pas être trop gourmand en section de branchage!

mais ça doit être fort en sensations!!

tu change pas gamin


le vieux marc42

Ramel a écrit :Quelques imprécisions : maintenant un ULM biplace c'est 525kg avec un parachute ou 500 sans parachute.
Il n'y a pas que des voilures fixes puisqu'il y a des dirigeables (genre mongolfière), hélico ou autogire, et le paramoteur (parachute...)

Une formation de pilote ULM c'est entre 20 et 50h de vol, c'est pas très compliqué. La formation radio n'est pas obligatoire, ça dépend de ce que tu veux faire.

Comme je disais, les réglementations sont différentes selon les pays membres. Exemple en suisse, il est impossible d'immatriculer un ULM mais il est permis de voler dans l'espace aérien avec un ULM.
L'EASA veut réglementer tout ça, on n'est pas sorti de l'auberge.