Forum 4x4

phil13 a écrit :Ben justement un dirigeant d'entreprise ( gérant ou PDG ) n'a PAS LE DROIT de cotiser aux allocs chômage .

Mieux , ma femme qui est mon associée , salariée de l'entreprise , n'y a pas droit non plus parce que 100 % des parts sont détenues par le même foyer fiscal.

Pour se mettre à son compte avec sa femme quand on a 4 gosses il faut une part de folie

d'ailleurs le satatut de conjoint collaborateur est une honte ...

de toute façon nombre de femmes de la génération de ma mère en grande partie de moins en moins avec le temps mais encore bcp vieillissent dans la misère pour n'avoir été que l'épouse du mari.

Tient il vienne de parler du temps d'attende pour joindre une administration ou autre, les plus long. 1er L'URSSAF, 2ème la mutuelle étudiante, 3ème, RSI, on est bien représenté................................

Grain.de.Sable a écrit :d'ailleurs le satatut de conjoint collaborateur est une honte ...

de toute façon nombre de femmes de la génération de ma mère en grande partie de moins en moins avec le temps mais encore bcp vieillissent dans la misère pour n'avoir été que l'épouse du mari.

Oui, mais là de nos jours ça ne devrait plus exister.


Conjointe , mariée, concubine................ si elle bosse elle a un salaire correct, 100 % déclaré ,avec des cotises à une bonne retraite complémentaire et puis c'est marre

phil13 a écrit :Oui, mais là de nos jours ça ne devrait plus exister.


Conjointe , mariée, concubine................ si elle bosse elle a un salaire correct, 100 % déclaré ,avec des cotises à une bonne retraite complémentaire et puis c'est marre

oui mais ton cas où il y a un conjoint collaborateur ça existe encore un projet à deux en bossant les 2 ... et là aucune protection digne de ce nom ...



sinon, les femmes de la générations de ma mère sont en train de se le manger dans les dents. et elles ne sont pas si âgées que cela

et les usages de moins travailler quand on a les enfants voire de passer à mi-temps (pour que le couple gagne sur le nounou souvent) en cas de séparation et à la fin de la vie, c'est le femme qui le prend dans les dents aussi.

il y a une vraie misère d'une catégorie de femmes pour un certain nombre c'est lié à leur générations, pour d'autres, elles auraient dû se méfier mais nombre de mi-temps sont décidés aussi par l'époux

mais on est hors sujet.

Grain.de.Sable a écrit :oui mais ton cas où il y a un conjoint collaborateur ça existe encore un projet à deux en bossant les 2 ... et là aucune protection digne de ce nom ...



sinon, les femmes de la générations de ma mère sont en train de se le manger dans les dents. et elles ne sont pas si âgées que cela

et les usages de moins travailler quand on a les enfants voire de passer à mi-temps (pour que le couple gagne sur le nounou souvent) en cas de séparation et à la fin de la vie, c'est le femme qui le prend dans les dents aussi.

il y a une vraie misère d'une catégorie de femmes pour un certain nombre c'est lié à leur générations, pour d'autres, elles auraient dû se méfier mais nombre de mi-temps sont décidés aussi par l'époux

mais on est hors sujet.

Quand je te lis, je me dis que ton mariage a dû être un enfer...

platplat a écrit :Quand je te lis, je me dis que ton mariage a dû être un enfer...

oui mais non ...

moi je n'ai jamais arrêté de bosser, jamais, pas même de congès parental, pas de réduction de quotité horaire comme certaines prof femmes le font (et j'ai toujours dit aui grand dam de la belle famille que je ne voulais pas me démunir moi, on ne sait jamais ... )

mais ma mère oui l'a vécu pour ce qui est des générations d'avant. et pour le reste de nombreuses femmes passent à mi-temps quand tout va bien dans le couple et si divorce, on est dans la nouvelle classe des pauvres qui bossent. là c'est statistique. je sais que ça existe. c'est tout. et c'est assez fréquent.

Mini déterrage pour revenir sur le sujet, et mettre en lumière les dérives de l'organisme de gestion des retraites des auto entrepreneurs sous le statut de professions libérales

La CIPAV (Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d'Assurance Vieillesse) compte 480.000 cotisants composés de 230.000 professionnels libéraux de droit commun et de 250.000 autoentrepreneurs.

Si l'on en croit les dernières news,
- Des milliers d’assurés ne touchent pas leur retraite CIPAV après des années de déboires judiciaires, et des milliers d’autres n’ont aucune information concernant les points de retraites cotisés auprès de cet organisme.
professions liberales: la principale caisse de retraite jugee gravement defaillante

- Cette caisse, qui gère la retraite de 250.000 auto-entrepreneurs sous le statut de profession libérale, n’a toujours pas inscrit les cotisations de ces auto-entrepreneurs sur leurs comptes et n’a donc pas encore enregistré leurs droits à la retraite...
cipav-auto entrepreneur cour des comptes/

Pour se défendre, le président de la Cipav, Jacques Escouroux, estime que les conséquences de l'intégration des auto-entrepreneurs « n'avaient pas été mûrement réfléchies, ni anticipées par le législateur » et demande la création d'une « caisse autonome spécifique » pour ce statut
le service deplorable de la caisse de retraites des professions liberales

Donc pour ceux qui comptent se lancer, faites bien attention ou vous mettez les pieds.

La CIPAV, c'est la misère, je parle en connaissance de cause.

gazadonf a écrit : Des milliers d’assurés ne touchent pas leur retraite CIPAV après des années de déboires judiciaires, et des milliers d’autres n’ont aucune information concernant les points de retraites cotisés auprès de cet organisme.

Je ne peux rien dire concernant ces milliers de gens,

mais lorsque j'ai demandé mon relevé de situation perso, eh bien j'ai retrouvé en compte tous les points que j'avais cotisés à la CIPAV sur 10 ans

pour autant, c'est clair que je ne mise pas là dessus pour financer de vieux jours

Grain.de.Sable a écrit : mais ma mère oui l'a vécu pour ce qui est des générations d'avant. et pour le reste de nombreuses femmes passent à mi-temps quand tout va bien dans le couple et si divorce, on est dans la nouvelle classe des pauvres qui bossent

Pour les générations d'avant le divorce n'était peut-être pas le facteur prépondérant d'appauvrissement. Il y avait les décès prématurés des maris (à 55, 60, 65 ans...) souvent de causes cardiaques, qui laissaient des veuves assez souvent beaucoup plus jeunes, avec parfois une floppée d'enfants, sans qu'il y ait eu - au bon vouloir du mari défunt - de dispositions prévoyantes.

Cela dit, je suis d'accord avec toi que les séparations sont devenues - depuis les années 70 ? - un facteur de plus en plus important dans les causes d'appauvrissement.

Est-ce que les mises en garde portent ? Personnellement j'ai toujours insisté auprès de mes deux filles pour qu'elles assurent leur autonomie... ce qui se traduit dans les faits par... elles privilégient leurs choix personnels / choix d'un conjoint... elles diffèrent le jour d'une maternité... elles comptent plus en cas de coup dur sur l'accompagnement de leurs parents que sur la présence d'un compagnon...

Je ne sais pas si ce comportement (en partie induit) leur apportera plus d'agrément de vie. Mais bon, ainsi va la vie qui fraye son chemin.