Forum 4x4

beurk a écrit : des prothèses de pieds

Ah bon , pas des prothèses de tong ?

pachy54 a écrit :.

quand as-tu utilisé les services de cette Cie ?
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Il faut arrêter de dire tout et n'importe quoi !
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Depuis le temps que je fréquente la SARDINIA - CORSICA FERRIES, je ne compte plus les traversées (en 2014 : 12 dont 6 / CSF)- je n'ai jamais vu d'équipages philippins ou d'ailleurs exotiques, sur les lignes desservies par cette compagnie !
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Par contre, quelques polonaises parlant 4 ou 5 langues oui ! (de sacrées belles plantes soit dit en passant !)
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P.S.
Une DSP est payée en fonction d'un trafic pour les passagers et non pas en fonction de la nationalité des équipages !

où as tu lu que j'avais trouvé des philippins chez CF? des polonais oui, subventionnés par la continuité territoriale, ça oui, je l'ai écrit, mais tu as le droit de trouver cela normal, puisque c'est légal, et si en plus elles sont bandantes les blondes , tout le monde sait, qu’après un cinq contre un, on est jamais déçu.

ça ça vient de senat.fr, et la légalité, va falloir gratter un peu pour la trouver, non seulement ces mecs s'emplâtre la subvention, mais en plus, il paient leurs équipages aux lance pierre, qui sont les clients de cette compagnie, qui accepteraient de faire le boulot de marin pour
700€ par mois?


Une concurrence déloyale intra-européenne ?

S'il est incontestable que le RIF a permis de stabiliser en volume la flotte française, ce système a également permis à nos partenaires de maintenir leur compétitivité, au risque de concurrencer directement la flotte française dans un secteur où elle n'autorise pas son pavillon bis : la navigation au sein des eaux territoriales françaises et notamment le cabotage entre les îles.

Dans ce domaine, le règlement n°3577/92 prévoit l'application des règles de l'État du port. Le décret n°99-195 du 16 mars 1999 qui transpose ledit règlement prévoit qu'il soit fait application en matière de rémunération du salaire minimum interprofessionnel de croissance maritime (SMIC maritime) ou des dispositions des conventions collectives en vigueur dès lors qu'elles prévoient un seuil de rémunération supérieur. Les marins embarqués sur des navires pratiquant un service de cabotage en France doivent par ailleurs être couverts par la législation applicable en matière de sécurité sociale de l'un des États membres de l'Union européenne ou d'un État partie à l'Espace économique européen.

Le décret semble cependant peu adapté à la réalité du trafic et à l'émergence des navires de second registre. Le cas est particulièrement net dans le cas de Corsica Ferries. Cette compagnie low cost, propriété de la holding suisse Lozali, effectue des dessertes entre Nice, Toulon et la Corse, via des navires affrétés par une société italienne, Lota Maritima et inscrits au registre « bis » italien. Le système des registres bis ou des registres papiers consacrent l'extra-territorialité des lois sociales en posant notamment le principe que le contrat de travail du marin ne relève pas de la loi du pavillon mais du lieu de résidence du marin. Il registro internazionale a été mis en place en Italie en 1998. Les revenus que l'armateur tire de son navire sont exonérés de l'impôt sur les sociétés pour 80 % de leur montant. Le taux frappant les 20 % restants n'est que de 7,5 %, au lieu de 53,2 % dans le droit commun. Les salaires des officiers et des marins échappent quant à eux complètement à la fiscalité sur le revenu. De même, ils sont exonérés de toute charge sociale, tant pour la part salariale que patronale.

A ces avantages fiscaux indéniables, s'ajoute une pratique contraire au droit en matière de salaire. Si la compagnie communique sur le fait que ses marins italiens, sont rémunérés dans des conditions identiques à celle des conventions collectives françaises, elle occulte sciemment le recours à des sociétés de manning pour le recrutement de membres d'équipage bulgares, portugais et roumains et leur rémunération aux conditions de ces pays. Ce qui déroge aux principes contenus dans le règlement n°3577/92 et au décret de transposition français de 1999. Le contrat ci-dessus montre ainsi que pour une période de quatre mois, un marin roumain recruté par la filiale de Corsica Ferries, Forship, percevait en 2008, 2824,63 euros sur 4 mois, soit environ 706 euros, ce qui est, bien évidemment en deçà du SMIC maritime.

je précise que je ne milite pas, je me fous complétement de la marine française

mais faudrait pas nous prendais que pour des bourricot tout de même

je suis allé en corse via la sncm; réservation longtemps à l'avance. un groupe de copains : adultes avec leurs enfants donc ayant précisé que les parents devaient voyager avec leurs enfants !... et que si le groupe pouvait voyager ensemble ce serait top mais qu'on n'exigeait rien... ils ont validé !

une fois sur le ferry on s'est aperçu que nos enfants ne seraient pas avec nous... même pas sur le même pont... même situation d'angoisse pour tous les parents. on est allé voir l'officier de pont de la sncm qui nous a envoyé chier malpoliment. alors qu'on était en pleine détresse : sur un bateau tu peux même pas te barrer et rentrer chez toi...

comme on n'était pas les seuls... jusqu'à minuit passé on a cherché d'autres parents en détresse pour troquer des billets.

INNOMMABLE

alors la sncm franchement c'est pas comme si je m'en foutais, c'est pire : j'ai la sensation d'un compte à régler... l'attitude du personnel à notre égard je ne l'ai pas oubliée.

et je suis peut être un peu corse : je ne pardonne pas...

Depuis plus de dix ans, la SNCM n'a pas connu un seul résultat d'exploitation positif.
Aujourd'hui, la Commission européenne exige qu'elle rende 450 millions d'euros de subventions.
C'est presque risible puisque le chiffre d'affaires annuel n'atteint même pas 300 millions d'euros, aides comprises.

source http://www.lepoint.fr/editos-du-point/s ... 0_2134.php

christian.styling a écrit :je suis allé en corse via la sncm; réservation longtemps à l'avance. un groupe de copains : adultes avec leurs enfants donc ayant précisé que les parents devaient voyager avec leurs enfants !... et que si le groupe pouvait voyager ensemble ce serait top mais qu'on n'exigeait rien... ils ont validé !

une fois sur le ferry on s'est aperçu que nos enfants ne seraient pas avec nous... même pas sur le même pont... même situation d'angoisse pour tous les parents. on est allé voir l'officier de pont de la sncm qui nous a envoyé chier malpoliment. alors qu'on était en pleine détresse : sur un bateau tu peux même pas te barrer et rentrer chez toi...

comme on n'était pas les seuls... jusqu'à minuit passé on a cherché d'autres parents en détresse pour troquer des billets.

INNOMMABLE

alors la sncm franchement c'est pas comme si je m'en foutais, c'est pire : j'ai la sensation d'un compte à régler... l'attitude du personnel à notre égard je ne l'ai pas oubliée.

et je suis peut être un peu corse : je ne pardonne pas...

je compatis et je comprends, mais ce n'est pas parce que le personnel SNCM nous emmanchent à un niveau, que l'on doit se faire emmancher par la direction de la CF à un autre niveau. je me demande si tout cela ne tient pas de stratégie des GS, qui ont fait disparaitre ces voleurs de petits commerçants pas sympathiques, et qui à présent maquent les producteurs, et les clients, pense y

earl a écrit :je précise que je ne milite pas,

Ouf , on a eu peur !

Pfffffffffffff! Les marins Méditerranéens.......

je comprends qu'on veuille faire durer une compagnie dans laquelle nous avons tellement investi...

c'est vrai que si ça doit s'arrêter... tout ce pognon pour rien... c'est embêtant