phylou a écrit :oui mais il a paye pour le co² depensée...
donc quand tu paye tu peut pollué...
tu comprend pour quoi pinault et besson....
je ne suis pas assez riche pour etre ecologiste...
Moi non plus, mais on va être "assez" riches pour payer les nouvelles taxes qu'ils vont nous "pondre" ces "bulbés" du CO²......
""""""""""""""""""""""""voila ce qu'a pondu un vert de mon quartier !!
L’assemblée Nationale rejette le projet de loi de « conversion écologique de l’économie »
3 juin 2009, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Développement Durable
Le 2 juin, François de Rugy (Député vert de Loire Atlantique) a présenté un projet de loi « conversion écologique de l’économie » au nom des 4 députés verts.
Ce projet proposait, par exemple,
l’instauration d’une contribution climat-énergie (taxe carbone améliorée) fondée sur le principe innovant de redistribution intégrale aux ménages et aux entreprises.
l’amélioration de la performance énergétique : obligation de construire des bâtiments basse consommation à partir de 2012
de développer les énergies renouvelables et les transports en commun : réorientation des investissements publics vers les transports en commun ; interdiction de financement public pour la construction de tout nouvel aéroport ; qualifier les installations d’énergies renouvelables d’intérêt général.
de développer la fiscalité verte : instauration de zones franches vertes et de zones franches coopératives
Ce projet a été rejeté par l’UMP et le Nouveau Centre, ainsi que par plusieurs députés de gauche : Maxime Gremetz du Parti Communiste, Christian Bataille, Jean-Michel Boucheron, Pierre Moscovici et Plilippe Plisson du Parti Socialiste.
"Plus étonnante est l’abstention de l’ensemble du groupe socialiste qui a pourtant salué l’intérêt d’un grand nombre de propositions. L’explication du vote socialiste est pour ainsi dire la même que celle du groupe UMP : le temps n’est pas encore venu de prendre des décisions ou de faire des choix clairs, notamment tout ce qui pourrait empêcher la construction des autoroutes et des aéroports ou la poursuite des subventions publiques à la filière électro-nucléaire.
Il est étrange de voir des députés de gauche s’en remettre au laisser-faire lorsqu’il s’agit d’écologie. Dès lors, quel crédit accorder aux grands discours sur la régulation, revenus à la mode depuis le déclenchement de la crise ?
Si les discours peuvent donner l’impression de changer et d’intégrer les préoccupations écologiques , les actes, eux, ne changent pas. A quelques jours d’un rendez-vous électoral, cela en dit long sur le double langage dont font preuve les partis traditionnels sur les enjeux écologiques." (extrait des réactions de François de Rugy, suite à ce vote)
"""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""fin du billet vert