11 septembre

[sebrunner]

1 seul chose toute simple fait qu'on doit se poser des questions concernant les deux tours :
La famille rockefeller à qui elles apartenait donc les a revendu 6 mois avant les attentat pour 2 milliards de dollar (ce qui franchement parait peut vu le nombre de loyer perçu dans ces buldings).
Et savez vous de combien était la prime d'assurance en cas de "disparition" des deux tours (pour raison x ou y bien sur) ??

[pat 25]

Le double de la valeur réelles des tours.........

[christian.styling]

le PDG de la compagnie d'assurances était vraiment con ... ... ...

[sebrunner]

7 milliards.... rien que ça !!

Et je ne parle pas du fait que cet attentat à permis de faire la guerre là où l'on sais ce qui à permis de relnacer le marché de la drogue et donc de redonner un élan nouveau à l'économie qui tourne au tour...

'tention hein, je suis pas en train de dire que l'attentat à été prémédité par quelqu'un dans ce but préci... je dit juste que c'est drôlement bien tombé (sans mauvais jeux de mot )

[christian.styling]

il arrive que la réalité soit tellement énorme (des avions de ligne détournés avec des cutters)... qu'on imagine autre chose de bien plus évident : le complot des services secrets...

[sebrunner]

ce qui est dingue aussi c'est le peut de dégat subit par le pantagone par l'avion crashé dessus... et très rapidement, plus d'info ni d'image de disponible

[christian.styling]

ébin c'est secret... circulez y a rien à voir...

normal non ?

[sebrunner]

[christian.styling]

ils devaient pas être fier de montrer les traces de la claque qu'ils venaient de prendre...
j'ai du mal à croire au complot...

[christian.styling]

faut pas oublier que ben laden est un enfant du pentagone et ça rappelle une autre époque :

parmi les conjurés qui ont tué César il y avait Brutus le fils que césar avait conçu avec sa maîtresse Servilia. en le voyant parmi ceux qui le poignardaient il lui lance en grec (la langue de l'élite romaine): «Kai su teknon», ce que les chroniqueurs latins ont traduit par un mot de dépit: «Tu quoque, mi fili» (Toi aussi, mon fils).