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re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 9:58 am
par JLMTOY120
pour sur il y a différents cas de figure par chez moi les propriétés grossissent et du coup on regroupe un ou deux champs ou plus et oups plus de chemins

re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 10:21 am
par beurk
jack74 a écrit :Article intéressant

On fera suivre...
Par contre n'est ce pas une évolution logique ? Le sens de l'histoire comme ont dit...
C'est aussi ce que je pense.
En plus l'entretien des chemins ruraux étaient soumis à “corvée” obligatoire.
Je doute que les quatreux ici présents veulent faire le job.....pour entretenir le linéaire, la journée des chemins du codever fait figure de cosmétique pour bobo

re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 10:24 am
par beurk
Jo49 a écrit :Oui mais les agriculteurs éleveurs tombent de plus en plus dans la polyculture. Quand une haie disparaît, le chemin qui la longe ne tarde pas à suivre, même en zone d'élevage
Tu es en plaine

Du coup mon inter est encore d'actualité.
Par chez moi, le bocage (patures+haies) à un millénaire (clunisiens) je pense que dans ce laps de temps, des chemins se sont créer, puis ont disparus aussi.
La faute au bitume

qui nous prive de chemins

re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 10:34 am
par Titane31
C'est un peu aussi la "faute" à la non utilisation
Exemple :
Ce chemin la, très peu utilisé (uniquement par l'agriculteur) permet un bon raccourcie
https://www.google.fr/maps/place/43%C2% ... 5862?hl=fr
Celui-la par contre est interdit sauf ayant droit ...
https://www.google.fr/maps/place/43%C2% ... 6107?hl=fr
re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 10:49 am
par ejeepsien
beurk a écrit :Tu es en plaine
En ce qui me concerne je suis en bord de rivière,
elle est traversante et n'est pas domaniale, de ce fait je n'ai pas à aménager ni à maintenir un chemin de rive (ce que les notaires appellent une "servitude de marche à pied")
mais bien que le lit de la rivière m'appartienne de droit, je dois en laisser libre le cours si un un canoéiste ou un nageur venu de l'amont veut l'emprunter vers l'aval (dans le sens inverse c'est plus exceptionnel)
en contrepartie de mes droits de propriété j'ai des obligations d'entretien du cours d'eau et de la végétation
re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 12:31 pm
par jack74
Une des causes, qui fait que cela va dans le sens de l'histoire.
http://www.un.org/fr/development/desa/n ... pects.html
Sinon pour nous, ben a nous de les prendre et reprendre ces chemins...
re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 1:13 pm
par Cosaque
beurk a écrit :C'est valable dans les plaines agricoles ou la culture est plus que dominante. Dans des territoires d'élevage c'est nettement moins le cas.
faut dire que dans les territoires d'élevage, on laboure beaucoup moins

re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 1:42 pm
par ejeepsien
Cosaque a écrit :dans les territoires d'élevage, on la boure beaucoup moins
Tu parles de la femme d'éleveur ?
re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 1:53 pm
par platplat
Ca va, ca vient, en fonction des besoins.
Et un passage de quatreux tous les quatre matins suffit pas a maintenir des chemins en etat...
Ceci dit, je connais un GR qui va finir par devenir impraticable, si les usagers n'arretent pas de penser que le paysan dont la propriété est traversee par le dit chemin est aussi celui qui fait office de poubellier, ou que sous pretexte que le chemin passe devant sa maison, la terrasse est de fait un lieu de repos pour boire un coup, ou faire une sieste.

re: Nos chemins disparaissent...
Posté : lun. sept. 05, 2016 2:17 pm
par ejeepsien
Je préfère les chèvres de fossé,
aux troupeaux de marcheurs à pieds ou aux essaims de cyclotouristes
les canettes vides, les papiers de barres chocolatées, ces soi-disants adeptes de nature sont des salopeurs