funquad a écrit :On est d'accord, Christian, mais sans remonter si loin, juste sur une génération ? Perso, on me déposait devant l'école, en minibus, payé par la boite qui employait mon père ...
Je pense que la polémique n'est pas sur le confort matériel, c'est sur les perspectives d'avenir. On était plus heureux avec un SMIC de 1990 que ceux qui sont au SMIC actuellement, non ?
Et oliv64-40 n'a pas tort, question environnement et gestion des ressources, on a souvent laissé faire l'exploitation à outrance, là aussi ...
Pour moi les gens comme toit étaient déjà privilégiés.
Sans déconner
Mon père bossait comme un dingue et était quasiment absent toute la semaine. le bus qui m'emmenait en cours était payant, le train aussi pour la suite.
Ma mère bossait plus on était 3 gosses à la maison, et à l'époque (année 80/90) ça existait encore beaucoup les mères au foyer.
Et question environnement, pourquoi "on a souvent laissé faire..."

C'est autrement aujourd'hui

On laisse plus faire ?

J'ai pas l'impression
Sinon je pense comme Christian. Et sans remonter lion en arrière.
Aujourd'hui comme avant, ceux qui se sortent les doigts du cul, en générale, s'en sortent.
Je dit pas qu'il deviennent riches, mais qu'ils arrivent, parfois tant bien que mal, parfois mieux, à joindre les deux bouts et à faire leur vie.
Ceux qui se bouge le minimum et passent leur temps à se plaindre on plus de mal... mais pas forcément parce qu'ils ont moins. Souvent c'est juste parce qu'ils croient ne pas avoir assez et ne sont pas capable de voir le bonheur à leur pied
Et ceux qui veulent rien foutre s'en sortent ou pas, d'une manière ou d'une autre, grâce à la collectivité en profitant tout ça tout ça... pour eux passer leur temps à se plaindre c'est facile... et hypocrite.
C'est comme ça aujourd'hui, c'était pareil avant.
Quand vous faites la gueule, vous utiliser 7 fois plus de muscles du visage que quand vous souriez.
Pour le reste c'est pareil... râler sans arrêt est une dépense d'énergie très souvent complètement inutile... ça vous fatigue, vous mine, vous accable, vous déprime, encore plus que ce que votre situation réelle ne fait d'elle même.
Ne pensez pas en permanence à ce qui ne va pas, à ce qui vous manque.
Pensez essentiellement à ce qui tourne rond et à 'où' vous voulez que vos actions vous mène. Concentrez vous sur vos objectifs.
Rajouter le nécessaire d'amour pour vous même et pour vos proches, et vous devriez finir par y arriver.
ça ne sera probablement pas facile... le chemin est certainement long, escarpé, et jalonné de montagne à contourner ou à franchir... mais l'apitoiement et le renoncement ne sont pas des options valable pour y parvenir
