L'électricité vient d'augmenter (au mois de mai) de 8%, alors que nous vendons de l'électricité à l'Espagne, à l'Allemagne, mais nous en achetons à l'Italie... Va comprendre, Charles !snow lover a écrit :moi aussi je voudrais bien qu'on me rende des ....
non concerné : l'électricité , car produite dans notre pays par le nucléaire ; c'est vrai , çà rejette pas de co² , mais on sait pas traiter les déchets radioactifs ; prochaine étape , une taxe sur les radiations ?
le gouvernement a dit que pour ne pas peser sur le pouvoir d'achat , les charges sur les salaires seraient allégées ; bien , mais pour le moment , la seule mesure c'est suppression de la taxe professionnelle , MAIS il n'est dit nulle part que l'argent devrait aller dans la poche des salariés , donc on en verra pas la couleur
..... çà commence déjà à en discuter![]()
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(N.B.la production d'électricité rejette du CO2 quand elle est le fait des centrales thermiques, qui utilisent du charbon).
Pour ce qui est des charges (qui rappelons-le, servent majoritairement à financer, à travers l'URSAFF, l'UNEDIC (le chômage ) la CNAM (la couverture maladie), la CNAV (les retraites), et les Allocations Familiales), on ne peut pratiquement pas toucher aux charges, compte tenu du déficit de la Sécurité Sociale, qui était, au 1er juillet, de 20,1 milliards d'euros


Seuls moyens de réduire le déficit:
- réduire les dépenses,
- par exemple: (entre autres...)
- limiter le nombre d'ayant-droits à la retraite aux seuls salariés ayant fait toute leur carrière dans des entreprises payant leurs impôts en France...)
- limiter les prestations chômage aux seuls ressortissants français
- traquer les arrêts-maladie bidons

- indexer les Allocations Familiales de manière inversement proportionnelle aux revenus perçus
- diminuer le nombre de fonctionnaires pour réduire la masse monétaire engloutie par les salaires de la Fonction Publique (44% du Budget de l'Etat!!!...)

- augmenter les charges sociales (nous y voilà...:no

CQFD...
Cela dit, la pression fiscale sur les entreprises françaises, proche de 80% entre les contributions directes et indirectes, place nos entreprises parmi les moins compétitives du monde, les obligeants à être parmi les plus productives pour compenser, et, avec la peur suscitée par le pouvoir des syndicats, décourage les sociétés étrangères d'investir en France.
Arrivera-t-on un jour à faire baisser la pression fiscale des entreprises sans toucher à la fiscalité des particuliers, ni compromettre le remboursement de la dette de la France ?
J'en doute fortement, même avec la Taxe Carbone...
