Facile à trouver sur le site.pat 25 a écrit :Tu as les dates de Geko...........................
Monique
Notre voyage 4x4 en Algérie
Modérateurs : ToyoDzo, christian.styling, tprangy
-
ToyoDzo
- Administrateur
- Messages : 10193
- Date d’inscription : décembre 2009
- Localisation : Région de la Gruyère, Suisse
- Statut : Hors ligne
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Monique
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
-
Oldcruiser
- Quatre-Quatreux
- Messages : 1041
- Date d’inscription : septembre 2014
- Statut : Hors ligne
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Modestement, en collaboration avec mon frère et quelques photographes de talents, oui.pat 25 a écrit :C'est ton film................................?
-
ToyoDzo
- Administrateur
- Messages : 10193
- Date d’inscription : décembre 2009
- Localisation : Région de la Gruyère, Suisse
- Statut : Hors ligne
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Merci Bernard.Oldcruiser a écrit :Modestement, en collaboration avec mon frère et quelques photographes de talents, oui.
Est-ce que c’est le bon prénom ?
Joker pour la réponse.
Magnifique. Beau souvenir.
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Vraiment beau.....Oldcruiser a écrit :Modestement, en collaboration avec mon frère et quelques photographes de talents, oui.
_______________________________________________
Un nouvel arrivant, c'est pour MAINTENANT
KZJ90 remplacé par une Aygo
HDJ 100 2006 bva5 pour les voyages
Peugeot Expert nucléaire
Un nouvel arrivant, c'est pour MAINTENANT
KZJ90 remplacé par une Aygo
HDJ 100 2006 bva5 pour les voyages
Peugeot Expert nucléaire
-
ToyoDzo
- Administrateur
- Messages : 10193
- Date d’inscription : décembre 2009
- Localisation : Région de la Gruyère, Suisse
- Statut : Hors ligne
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Hello à toutes et tous,
Pour la deuxième partie du voyage, nous avons un nouveau guide touareg. Il a un peu plus de 60 ans et a connu l'âge d'or du tourisme. Il conduisait des voyages dans le désert avec des dromadaires et en possédait plusieurs. Lors de l'arrêt du tourisme, il a perdu son travail et n'a pas pu garder ses bêtes. Beaucoup de personnes de la région se sont trouvées dans la même situation difficile.
Il a l'air plus pauvre que notre premier guide. Il ne faut pas se fier aux apparences. Nous avons appris qu'il a pu prendre une deuxième épouse et a un fils de 2 ans environ.
Le guide nous mène sur un site où des débris d’outils d'avant Jésus-Christ peuvent être trouvés. Il y a des pierres taillées et de la céramique. En cherchant bien, il est possible de trouver deux morceaux qui s'imbriquent l'un dans l'autre.
Ça fait une drôle d'impression de marcher sur le sable craquelé par la sécheresse. Ça se casse. Quand c'est assez loin de l'eau, ça se transforme en sable. Au milieu, ce sont des plaques de "terre cuite" prêtes à passer au four. Et près de l'eau, ça devient boueux et on s'en met plein les chaussures. Et donc plein la voiture.
De toute façon, nous ne regardons plus ce que nous amenons dans la voiture. Nous avons décidé de faire nettoyer tout ça à notre retour : il y en a trop.
Qui aurait pensé que nous trouverions le Mont Cervin (Matterhorn) dans le désert. Bon, il est petit. Mais il a de belles peintures rupestres.
Passage de dune. Je crois que c'est moi qui conduis et Paul qui a fait la photo. Là, je ne me suis pas plantée.
J'avais trouvé de belles branches pour le guide touareg. On dirait une voiture/renne.
Le moindre brin d’herbe bougé par le vent pose sa marque sur le sable. Parfois, c’est surprenant.
Le photographe qui photographie le photographieur.
Plusieurs commentaires sur cette images qui a été publiée sur Facebook.
Un qui regarde et les autres qui travaillent.
Presque tous à la prière.
Le déplantage a été réussi. Donc la prière était bonne.
Nous avons passé plusieurs moments dans ces journées à nous amuser dans les dunes. C’est bien rendu dans la vidéo de Nicolas.
En effet, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.
Donc nous sommes tous parfaitement conscients qu’un chemin plus facile existe. Si un équipage désire le prendre, il n’y a aucun souci.
Tenter le challenge du passage de dune, du plantage ou pas est rigolo.
Surtout qu’il n’y a pas de danger.
Nous avons sorti nos pelles, des plaques, des sangles et observons chaque véhicule.
Et à chaque dune : va-t-il passer ou pas ?
Ça dépend de tant de détails : l’état du sable, passage en premier ou en dernier, vitesse, trajectoire (les centimètres comptent), les essais.
Comme personne ne se moque de qui que ce soit, tous les hommes essaient.
Les dames sont beaucoup moins tentées.
Pour mon compte je me suis aussi lancée au volant. Les deux premières avec Paul à côté de moi pour m’aider puis toute seule.
Je ne vois pas pourquoi je ne m’amuserai pas aussi.
À la fin de notre périple, pour rejoindre la balise Berliet, nous avons tracé au cap sur le sable dur. C'est assez enivrant.
[video]https://blogailleurs.net/wp-content/upl ... TENERE.mov[/bbvideo]
Petite récupération cachée au fond de notre véhicule. Nous n’avons pas vu les bêtes, seulement les cornes.
Corne de mouflon (la cuillère à café sert à donner un ordre de grandeur)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouflon_à_manchettes
C’est le moment de penser à revenir à la maison.
Nous reprenons la montée et retrouvons les gendarmes à partir de Illizy.
Nous ne bivouaquons pas dans le même camp qu’à l’aller, l’endroit où il faut une grande vie intérieure.
Nicolas a trouvé un parking qui dépend d’un hôtel. Il nous indique que si les participants le désirent, il y a des chambres disponibles, à nos frais.
Paul et moi préférons dormir dans notre lit, dans la tente de toit.
Bien nous en a pris. Ceux qui ont opté pour l’hôtel n’ont pas trouvé de bonnes conditions. Entre la propreté générale, les draps déjà utilisés et pas changés, les fuites d’eau dans les salles de bain, aucun équipage n’est content.
Nous connaissons la routine pour remonter. L’attente de l’escorte, une étape, l’attente de l’escorte, etc.
Nous arrivons de jour à l’hôtel où nous étions arrivés très tard lors de la descente. On ne peut pas dire que le paysage soit fantastique : ce sont des gisements de gaz ou de pétrole dans un smog de pollution. Beurk!
Nous sommes à l’hôtel que certains n’avaient pas trouvé magnifique à la descente.
Tout le monde est très, très content de le retrouver. Notre avis a complètement changé. 
Nous faisons le plein juste avant de passer la frontière algérienne pour profiter des prix intéressants.
La douane algérienne se passe sans problème et rapidement.
Nous sommes tous contents.
Nous arrivons à la douane tunisienne. Et là, ça coince.
Un tampon n’est pas en ordre ou manque. Comme 20 jours avant, c’est moi qui passe en premier. Ça ne me dérange pas.
Les douaniers cherchent, consultent leurs ordinateurs. Et trouvent.
En fait, administrativement, nous ne sommes jamais sortis de Tunisie.
Et ça devient la débrouille. Ils sortent un tampon, de l’encre et nous créent un tampon rétroactif pour notre sortie de Tunisie. Un faux quoi !
Et ça dans chaque passeport.
Puis nous font entrer légalement dans leur pays : un nouveau tampon dans chaque passeport.
Bon, ce n’était pas méchant et la solution a été trouvée rapidement.
Il fait nuit et nous avons un hôtel super, le même qu’à l’aller.
Pour le dernier jour, nous avons la transition en Tunisie. Nicolas propose que chaque équipage roule comme il l’entend et il nous donne l’adresse de l’hôtel du soir.
Il y a aussi la possibilité de rester avec lui. C’est ce que nous choisissons. Nous nous quittons un peu avant l’hôtel car il a une course à faire.
Nous sommes les premiers arrivés à l’hôtel, tout le personnel est à notre disposition et nous expliquent l’histoire de ce bâtiment. C’est passionnant.
Depuis notre chambre, nous assistons à un coucher de soleil magnifique.
Et nous avons le dernier repas de fête en commun, au restaurant. Un délice. Miam !
Le lendemain, nous prenons un ferry pour rejoindre Gênes. J’ai un peu mal au dos et je prends toujours un matelas auto-gonflable avec moi sur un ferry.
Et bien là, je suis bien inspirée. Le ferry est très vieux, le plus vieux que nous ayons vu et le matelas du lit est presqu’inexistant.
J’ai ce qu’il me faut pour soulager mon dos.
J’avais remarqué que le prix de la traversée était peu élevé. J’ai compris pourquoi.
Le retour se passe sans problème.
À la maison, nous effectuons le vrai tri et déménagement de nos affaires depuis le Toy dans Ulysse.
C’est une chouette activité.
Comme nous sommes le 9 décembre 2018, nous avons plutôt la tête au ski et pas aux bivouacs.
Ce que nous pouvons faire juste avant Noël.
À bientôt. Monique
Pour la deuxième partie du voyage, nous avons un nouveau guide touareg. Il a un peu plus de 60 ans et a connu l'âge d'or du tourisme. Il conduisait des voyages dans le désert avec des dromadaires et en possédait plusieurs. Lors de l'arrêt du tourisme, il a perdu son travail et n'a pas pu garder ses bêtes. Beaucoup de personnes de la région se sont trouvées dans la même situation difficile.
Il a l'air plus pauvre que notre premier guide. Il ne faut pas se fier aux apparences. Nous avons appris qu'il a pu prendre une deuxième épouse et a un fils de 2 ans environ.
Le guide nous mène sur un site où des débris d’outils d'avant Jésus-Christ peuvent être trouvés. Il y a des pierres taillées et de la céramique. En cherchant bien, il est possible de trouver deux morceaux qui s'imbriquent l'un dans l'autre.
Ça fait une drôle d'impression de marcher sur le sable craquelé par la sécheresse. Ça se casse. Quand c'est assez loin de l'eau, ça se transforme en sable. Au milieu, ce sont des plaques de "terre cuite" prêtes à passer au four. Et près de l'eau, ça devient boueux et on s'en met plein les chaussures. Et donc plein la voiture.
De toute façon, nous ne regardons plus ce que nous amenons dans la voiture. Nous avons décidé de faire nettoyer tout ça à notre retour : il y en a trop.
Qui aurait pensé que nous trouverions le Mont Cervin (Matterhorn) dans le désert. Bon, il est petit. Mais il a de belles peintures rupestres.
Passage de dune. Je crois que c'est moi qui conduis et Paul qui a fait la photo. Là, je ne me suis pas plantée.
J'avais trouvé de belles branches pour le guide touareg. On dirait une voiture/renne.
Le moindre brin d’herbe bougé par le vent pose sa marque sur le sable. Parfois, c’est surprenant.
Le photographe qui photographie le photographieur.
Plusieurs commentaires sur cette images qui a été publiée sur Facebook.
Un qui regarde et les autres qui travaillent.
Presque tous à la prière.
Le déplantage a été réussi. Donc la prière était bonne.
Nous avons passé plusieurs moments dans ces journées à nous amuser dans les dunes. C’est bien rendu dans la vidéo de Nicolas.
En effet, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.
Donc nous sommes tous parfaitement conscients qu’un chemin plus facile existe. Si un équipage désire le prendre, il n’y a aucun souci.
Tenter le challenge du passage de dune, du plantage ou pas est rigolo.
Surtout qu’il n’y a pas de danger.
Nous avons sorti nos pelles, des plaques, des sangles et observons chaque véhicule.
Et à chaque dune : va-t-il passer ou pas ?
Ça dépend de tant de détails : l’état du sable, passage en premier ou en dernier, vitesse, trajectoire (les centimètres comptent), les essais.
Comme personne ne se moque de qui que ce soit, tous les hommes essaient.
Les dames sont beaucoup moins tentées.
Pour mon compte je me suis aussi lancée au volant. Les deux premières avec Paul à côté de moi pour m’aider puis toute seule.
Je ne vois pas pourquoi je ne m’amuserai pas aussi.
À la fin de notre périple, pour rejoindre la balise Berliet, nous avons tracé au cap sur le sable dur. C'est assez enivrant.
[video]https://blogailleurs.net/wp-content/upl ... TENERE.mov[/bbvideo]
Petite récupération cachée au fond de notre véhicule. Nous n’avons pas vu les bêtes, seulement les cornes.
Corne de mouflon (la cuillère à café sert à donner un ordre de grandeur)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouflon_à_manchettes
C’est le moment de penser à revenir à la maison.
Nous reprenons la montée et retrouvons les gendarmes à partir de Illizy.
Nous ne bivouaquons pas dans le même camp qu’à l’aller, l’endroit où il faut une grande vie intérieure.
Nicolas a trouvé un parking qui dépend d’un hôtel. Il nous indique que si les participants le désirent, il y a des chambres disponibles, à nos frais.
Paul et moi préférons dormir dans notre lit, dans la tente de toit.
Bien nous en a pris. Ceux qui ont opté pour l’hôtel n’ont pas trouvé de bonnes conditions. Entre la propreté générale, les draps déjà utilisés et pas changés, les fuites d’eau dans les salles de bain, aucun équipage n’est content.
Nous connaissons la routine pour remonter. L’attente de l’escorte, une étape, l’attente de l’escorte, etc.
Nous arrivons de jour à l’hôtel où nous étions arrivés très tard lors de la descente. On ne peut pas dire que le paysage soit fantastique : ce sont des gisements de gaz ou de pétrole dans un smog de pollution. Beurk!
Nous sommes à l’hôtel que certains n’avaient pas trouvé magnifique à la descente.
Tout le monde est très, très content de le retrouver. Notre avis a complètement changé.
Nous faisons le plein juste avant de passer la frontière algérienne pour profiter des prix intéressants.
La douane algérienne se passe sans problème et rapidement.
Nous sommes tous contents.
Nous arrivons à la douane tunisienne. Et là, ça coince.
Un tampon n’est pas en ordre ou manque. Comme 20 jours avant, c’est moi qui passe en premier. Ça ne me dérange pas.
Les douaniers cherchent, consultent leurs ordinateurs. Et trouvent.
En fait, administrativement, nous ne sommes jamais sortis de Tunisie.
Et ça devient la débrouille. Ils sortent un tampon, de l’encre et nous créent un tampon rétroactif pour notre sortie de Tunisie. Un faux quoi !
Et ça dans chaque passeport.
Puis nous font entrer légalement dans leur pays : un nouveau tampon dans chaque passeport.
Bon, ce n’était pas méchant et la solution a été trouvée rapidement.
Il fait nuit et nous avons un hôtel super, le même qu’à l’aller.
Pour le dernier jour, nous avons la transition en Tunisie. Nicolas propose que chaque équipage roule comme il l’entend et il nous donne l’adresse de l’hôtel du soir.
Il y a aussi la possibilité de rester avec lui. C’est ce que nous choisissons. Nous nous quittons un peu avant l’hôtel car il a une course à faire.
Nous sommes les premiers arrivés à l’hôtel, tout le personnel est à notre disposition et nous expliquent l’histoire de ce bâtiment. C’est passionnant.
Depuis notre chambre, nous assistons à un coucher de soleil magnifique.
Et nous avons le dernier repas de fête en commun, au restaurant. Un délice. Miam !
Le lendemain, nous prenons un ferry pour rejoindre Gênes. J’ai un peu mal au dos et je prends toujours un matelas auto-gonflable avec moi sur un ferry.
Et bien là, je suis bien inspirée. Le ferry est très vieux, le plus vieux que nous ayons vu et le matelas du lit est presqu’inexistant.
J’ai ce qu’il me faut pour soulager mon dos.
J’avais remarqué que le prix de la traversée était peu élevé. J’ai compris pourquoi.
Le retour se passe sans problème.
À la maison, nous effectuons le vrai tri et déménagement de nos affaires depuis le Toy dans Ulysse.
C’est une chouette activité.
Comme nous sommes le 9 décembre 2018, nous avons plutôt la tête au ski et pas aux bivouacs.
Ce que nous pouvons faire juste avant Noël.
À bientôt. Monique
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Merci pour cette histoire et ces photos magnifiques ,bon pas trop de mérite les paysages sont tellement beaux,je plaisante pour le mérite :Dj'avais des amis qui partaient pour plusieurs mois en Afrique avec un Land 109 et quand j'allais chez eux on passaient des soirées à regarder des photos et je me rappelle de magnifiques photos du Hoggar ils allaient tous les ans jusqu'à ou ils n'ont plus eu le droit
:Dj'avais des amis qui partaient pour plusieurs mois en Afrique avec un Land 109 et quand j'allais chez eux on passaient des soirées à regarder des photos et je me rappelle de magnifiques photos du Hoggar ils allaient tous les ans jusqu'à ou ils n'ont plus eu le droit SUZUKI VITARA ALLGRIP
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Merci pour ce récit qui était agréable a lire, et surtout qui donne envie d'y aller.....................
_______________________________________________
Un nouvel arrivant, c'est pour MAINTENANT
KZJ90 remplacé par une Aygo
HDJ 100 2006 bva5 pour les voyages
Peugeot Expert nucléaire
Un nouvel arrivant, c'est pour MAINTENANT
KZJ90 remplacé par une Aygo
HDJ 100 2006 bva5 pour les voyages
Peugeot Expert nucléaire
-
ToyoDzo
- Administrateur
- Messages : 10193
- Date d’inscription : décembre 2009
- Localisation : Région de la Gruyère, Suisse
- Statut : Hors ligne
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Merci à vous deux.
L’Algérie n’était pas un pays qui m’attirait.
Ce que j’y ai vu et vécu a été génial.
Paul et moi, nous nous sommes sentis privilégiés. En effet, il n’est pas simple d’y aller, surtout du point de vue administratif.
Et ça a été longtemps fermé.
Je recommande ce voyage, quelle que soit l’organisation.
Je crois que vous l’avez compris.
L’Algérie n’était pas un pays qui m’attirait.
Ce que j’y ai vu et vécu a été génial.
Paul et moi, nous nous sommes sentis privilégiés. En effet, il n’est pas simple d’y aller, surtout du point de vue administratif.
Et ça a été longtemps fermé.
Je recommande ce voyage, quelle que soit l’organisation.
Je crois que vous l’avez compris.
-
rover17
- Quatre-Quatreux
- Messages : 13372
- Date d’inscription : décembre 2004
- Localisation : 17
- Statut : Hors ligne
re: Notre voyage 4x4 en Algérie
Oui jolies photos , beau voyage
Le pic de lave , étonnant
J'ai une question depuis le début sur votre tente de toit , elle est immense , c'est quoi comme modèle - marque ?
Le pic de lave , étonnant
J'ai une question depuis le début sur votre tente de toit , elle est immense , c'est quoi comme modèle - marque ?
Des faits , pas des impressions ...
Vous saviez , vous n'avez rien fait ...
€uropéen de souche ...
Vous saviez , vous n'avez rien fait ...
€uropéen de souche ...