platplat a écrit :J'ai pas des masses de sympathie pour les bleus en général, mais, bon, si au lieu de tirer en l'air, ils tiraient dans le mec qui les agresse, ca ferait un peu de ménage, pis ca ferait réfléchir les agresseurs.
Au passage quand ils en choppent un, de bastonneur, si il prenait 50 piges de retrait de la vie publique au lieu d'une bonne tape dans le dos, ca ferait aussi du ménage et de la reflexion pour ces attardés.
Pour une fois, je suis tout-à-fait en phase avec toi (tout arrive)
N'en déplaise aux bien pensants, pour être respecté, il faut être un minimum craint. En France, utiliser une arme, pour un policier, c'est devenu de fait interdit. Après l'affaire des policiers brûlés, on pensait que cela allait changer, mais finalement, non. Quand on regarde les reportages style "enquête d'action", on se rend compte des conséquences du laxisme de la justice : les groupes de délinquants, dans les quartiers, ont bien compris qu'ils peuvent s'amuser avec les policiers en toute impunité, ils ne cachent même plus leurs visages ! Ce qui est dramatique, c'est que la peur a changé de camp !
Dans un reportage TV récent, on voyait un type en scooter commettre des infractions en chaine, stoppé par une patrouille après un délit de fuite et une course poursuite, le gars les a pris de haut, prétextant le fait qu'il n'avait pas entendu la sirène ! Ensuite, sans se démonter, il a sorti son tél portable, et il a passé un appel. Le chef de patrouille a bien tenté de l'empêcher de téléphoner, mais l'autre a refusé et il n'a pas réussi à lui piquer son tél. Dès lors, la suite était écrite ! D'autres jeunes en scooter et à pied sont arrivés, et ont commencé à entourer la patrouille. Pour éviter de se faire molester ou caillasser, les policiers ont dû laisser filer le gars sans verbalisation.
Le pire, c'est que ce n'était pas dans une cité à risque, c'était dans Paris !
Les juges laxistes, on devrait les obliger de temps en temps à tourner avec une patrouille ...
Quand aux armes, au minimum, un tazer efficace, et tant pis si de temps en temps il y a un accident mortel, quand on refuse d'obtempérer, qu'on se rebelle, qu'on essaie de frapper les forces de l'ordre, on s'expose à ce genre de risque.